15 Mai 2025 |
UN SIÈCLE D'HISTOIRE
DU CALVADOS |
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AMMEVILLE (Cne d'Oudon) |
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Canton de Saint-Pierre-sur-Dives |
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Les
communes de Vaudeloges et de Réveillon, même arrondissement, sont réunies
en une seule, dont le chef-lieu est fixé à Vaudeloges. Fera, en outre,
partie de la nouvelle commune, la portion de territoire dépendant de
l'ancienne commune d'Abbeville, située sur la rive gauche de l'Oudon. La
portion dépendant de l'ancienne commune d'Abbeville, située sur la rive
droite de l'Oudon, fera partie de la commune d'Ammeville.
(Mémorial du Calvados)
Avril 1863 - Par arrêté du 24 mars. - M. le préfet du Calvados a nommé M. Lemaître (Louis-Désiré) maire de la commune d'Ammeville, en remplacement de M. Lemaître (Jacques), démissionnaire. (l’Ordre et la Liberté)
Avril
1868 -
Un accident de chasse. - Vendredi
soir, un accident est arrivé à M. de Quetteville fils, demeurant à
Falaise. Ce
jeune homme, accompagné de plusieurs personnes était à chasser des
blaireaux sur le territoire de la commune d'Ammeville. L'un
de ces animaux sortit de son terrier plus tôt qu'on ne s'y attendait, et
vint se jeter dans les jambes de M. de Quetteville, auquel il fit perdre
l'équilibre. À
ce moment, l'un des chasseurs tirait sur le blaireau, mais le coup faisant
balle traversa le pied de M. de Quetteville, qui tomba en poussant des
cris de douleur. Les
premiers soins lui ont été donnés par M. Colas, médecin à
Saint-Pierre-sur-Dives. Aujourd'hui l'état du blessé est aussi
satisfaisant que possible.
Mars 1872 - Le gel. - Les désastres occasionnés par les gelées des nuits dernières sont plus graves qu'on ne je suppose généralement. Les lettres que nous recevons de divers points de la Normandie sont unanimes pour le reconnaître. Avril 1872 - Les travaux des églises. - Pour travaux à leurs églises, les communes ci-après ont reçu : Canteloup, 1.000 fr. ; Fontenay-le-Pesnel, 6.000 fr. ; Ouézy, 1.500 fr. ; Vieux, 5.000 fr. ; Cossesseville, 2.000fr. ; Ammeville, 2.000 fr.
Juillet 1874 - Le réchauffement climatique. - La comète n'est pas étrangère aux grandes chaleurs que nous subissons. En 1811, une comète fut visible, et les chaleurs et la sécheresse furent telles qu'un grand nombre de rivière tarirent, en 1846, nouvelle comète, nouvelle sécheresse, l'eau devint tellement rare dans certains endroits que des bestiaux périrent de soif. En 1811 comme en 1846, le vin fut abondant et d'une qualité supérieure, on espère qu'il en sera de même en 1874, aussi les cours des vins sont-ils en baisse de 10 fr. par hectolitre. A Marseille, le thermomètre a marqué, à l'ombre, 40 degrés, à Paris, au soleil, 44 degrés. De nombreux cas d'insolation sont signalés.
Août
1874
- Mort par imprudence.
- Samedi,
vers quatre heures du soir, un ouvrier couvreur, le nommé Victor Julien
Guillardeau, âgé de 18 ans, travaillant à la réparation de la toiture
de l’habitation de M. Faucillon, à Ammeville, a été victime de son
imprudence. Son travail consistait, au moment de l'accident, à réparer
la toiture
Février 1875 - La Cour. - La Cour de Cassation a décidé : 1° que, seuls les propriétaires ou les fermiers avaient le droit exceptionnel de tirer sur les poules des voisins ; 2° qu'ils ne pouvaient les tuer qu'au moment où elles commettaient un dégât actuel et effectif ; 3° et sur les lieux mêmes où le dommage était causé. Ceci s'applique aussi aux pigeons.
Février 1875 - Danger des armes à feu. - Dimanche, le sieur Michel Guet, maître couvreur à St-Pierre-sur-Dives, était occupé à travailler à Ammeville pour le compte de M. Faucillon. Le garde de la propriété et l'un des ouvriers couvreurs essayèrent en vain d'atteindre avec une arme a feu un but fixé à l'avance. Guet paria de l'atteindre, et il s'arma d'un fusil mal chargé ou chargé en double qui lui éclata dans la main et lui enleva un doigt de la main et entamé deux autres.
Avril
1879
-
Secours. -
Le
Gouvernement a bien voulu accorder des secours aux communes ci-après :
Guéron, pour établissement d'une école mixte, 1 500 francs ; Bernesq,
pour construction d'école, 1 300 francs ; la Ferrière-au-Doyen, pour
construction d'une école mixte, 9 800 francs ; Montviette, travaux aux
écoles, 1 600 francs. A la fabrique de l'église de Luc-sur-Mer, 260
francs ; à la fabrique de l'église d'Ammeville, 300 fr., pour
achat d'objets mobiliers.
Juillet
1880
- Les allumettes de
fraude. -
Une fabrication
clandestine d'allumettes chimiques a été découverte mercredi, à
Ammeville par les gendarmes de Saint-Pierre-sur-Dives. Ils virent un
individu se sauver à leur aspect à travers les champs et jeter dans un
fossé un sac assez volumineux, ce sac contenait une grande quantité
d'allumettes préparées pour la vente. L'enquête fit découvrir que le
fabricant était le sieur Adéric Lemoine, âgé de 35 ans, et le
colporteur ou vendeur, un nommé Édouard Vattier, âgé de 50 ans,
journalier à Pontigny. Ils ont été arrêtés.
Décembre
1888 -
Vols dans les églises. - Dans la nuit de lundi à mardi de la semaine dernière, deux
voleurs se sont introduits dans les églises de Beaumais et de Crocy. A
Beaumais, ils se sont empares d’ornements et de vases évalues a une
centaine de francs. A Crocy ils ont enlevé la couronne de saine Joseph et
celle de la Vierge, valant ensemble une vingtaine de francs. Ils ont
pris le contenu d'un tronc renfermant 5 fr. ces malfaiteurs connaissent
bien les habitudes des lieux, ou ils ont opéré. A Crocy, en effet, ils
sont allés dénicher dans une haie ou elle était cachée l'échelle du
fossoyeur et s'en sont servis pour pénétrer par une fenêtre. Les
églises d'Ammeville et de Grand-Mesnil ont été également
visitées par des individus
qui, à l'aide d'escalade et d’effraction, ont dérobé dans
chacune d'elles des objets estimés 900 fr.
Janvier 1898 - Les femmes témoins dans les Postes. - La nouvelle loi sur les femmes témoins, vient de recevoir une utile application dans les postes. Les femmes pourront être témoins dans les opérations de la caisse d'épargne postale, pour les remboursements ne dépassant pas 150 fr., ainsi que pour les mandats postaux. Toutefois, le mari et la femme ne pourront être témoins pour la même quittance. (Source : Le Bonhomme Normand)
Janvier 1898 - Disparitions de maris. - Un cordonnier d'Ammeville, canton de St-Pierre-sur-Dives, ayant dépassé la quarantaine, a disparu du domicile conjugal, emmenant avec lui une jeunesse d'une vingtaine d'années. Un matin, les deux tourtereaux firent leurs paquets qu'ils portèrent chez le maire, puis ils endossèrent leurs plus beaux habits, comme pour une noce. Ils montèrent ensuite dans la voiture même de monsieur le maire, qui n'a rien à refuser à ses administrés et à ses administrées, et partirent pour Falaise. Le maire a attendu le couple toute l'après-midi, mais, ne le voyant pas apparaître, il est revenu seul à Ammeville. Le cordonnier laisse femme et enfants, la demoiselle, n'ayant plus rien à perdre, ne laisse rien du tout. Le cordonnier a emporté le capital de la communauté : 3 000 fr. environ. On espère que, lorsqu'ils seront absorbés, le mari déserteur reviendra au domicile conjugal, où il sera, dit-on, malgré son escapade, encore le bien reçu. — Une jeune femme de Deauville vient aussi d'avoir la douleur de perdre un époux appelé Désiré. Elle promet une récompense honnête à qui lui ramènera son Désiré, qu'elle désire ardemment. Cela se comprend, la délaissée n'a pas encore vingt ans. (Source : Le Bonhomme Normand)
Juillet
1901 - Médailles d’honneur.
- Une
médaille d'honneur a été décernée aux cantonniers : Marlette, à
Livry ; Basley, à Commes ; Marie, à Isigny ; Gallo, à
Saint-Martin-aux-Chartrains ; Laverge, à Ammeville ; Moisson, à
Notre-Dame-de-Courson ; Godard, à St-Jean-des-Essartiers ; Prosper
Desmottes, à Viessoix ; Lechevalier, à St-Manvieu. (Source : Le
Bonhomme Normand)
Septembre 1903 - Visites nocturnes. - Des voleurs qui ont du toupet, ce sont ceux qui, la nuit, ont visité la commune du Pin, arrondissement de Lisieux, et pénétré dans l'église, la mairie, le bureau télégraphique et chez l'instituteur, M. Louis Capitrel. De leur quadruple visite, ils n'ont pas retiré grand chose : 18 fr, à la mairie et 2 fr. 50 chez l'instituteur. Seulement, ils ont toujours récolté un bon souper, car ils se sont attablés à manger du civet de lièvre laissé sur un fourneau, ils l'ont arrosé d'eau-de-vie et ils ont joué ensuite une partie de Zanzibar. Bref, ils ont fait comme chez eux.
Novembre 1903 - Vols qualifiés. - Edmond Vauquelin, 23 ans, et Antoine Dauphin, 27 ans, journaliers, sont accusés de vols nombreux et peu importants commis à Ste-Marguerite-des-Loges, à Tortisambert, à Mesnil-Mauger, à St-Pierre-des-Ifs et à Ammeville. Vauquelin et Dauphin sont deux récidivistes. Les Caennais connaissent Dauphin, c'était lui qui, habillé en sauvage et surnommé Racaco, mangeait, à la foire de Caen, des rats vivants, et de la viande pourrie. Vauquelin a été condamné à 5 ans de prison et Racaco à 6 ans de travaux forcés, qu'il demandait, d'ailleurs, en promettant de recommencer son temps fait. — Défenseurs : Mes Goujet et Villey-Desmezerets. —
Un récidiviste, Louis Boissel, 21 ans, journalier, qui a déjà subi 7
condamnations, était accusé de vols nombreux, mais de peu d'importance,
commis à Gonneville-sur-Honfleur. Il était passible de la relégation,
mais ayant obtenu les circonstances atténuantes il l'évitera pour cette
fois et ne fera que trois mois de prison. — Défenseur : Me
Desportes. (Source : Le Bonhomme Normand)
Mars 1904 - Dans la cave. - Trois ivrognes, les frères Constant et Germain Lecourt, et Octave Cagnard, à Ammeville, canton de St-Pierre-sur-Dives, ont trouvé un singulier moyen de mettre les tonneaux en perce. Ils sont entrés dans la cave de M. Chevalier, propriétaire, ils ont empli un seau de cidre, ils l'ont vidé deux fois, et, ne pouvant emporter le reste, ils ont tiré un coup de fusil dans le tonneau pour le défoncer. Procès-verbal a été dressé. (Source : Le Bonhomme Normand)
Mai 1912 - On recherche activement un dangereux individu qui caché dans la haie d'un herbage se serait jeté sur Mme Marie, propriétaire, et à trois reprises aurait essayé de la violenter. A la suite de cette attentat Mme Marie a du s'aliter.
Juin
1912 - Noyée
dans une mare. - M. Besnard, inquiet de la disparition de
sa femme, se mit à sa recherche. Il ne retrouva que son cadavre flottant
dans une mare située dans un herbage appartenant à M. Belliard. Elle y
était tombée accidentellement en voulant puiser de l'eau. Mme Besnard,
née Varin, était âgée de 28 ans. Elle laisse
Mai
1919 -
Suicide. -
Le 20 mai, Madame veuve Blanchard s'est noyée dans une mare
située dans la cour d'habitation de son gendre. M. Rault, cultivateur à
Ammerville. Madame Blanchard, malade depuis longtemps, avait manifesté
l'intention de se suicider. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Novembre
1923 -
Grave incendie dans une ferme.
- Un
violent incendié
s'est déclaré
la nuit
dans un
bâtiment dépendant
d'une ferme
occupée par
M Petit,
agriculteur et
appartenant à
M. Fresnel.
Juin
1925 -
Délit de chasse et menace de mort.
-
M. Martel,
domestique chez
M. Lehongre,
ayant entendu
un coup
de feu
dans l'herbage
non loin
de l'habitation,
et s'étant
dirigé vers
cet endroit,
aperçut un
enfant
de 7 à
8 ans,
tenant à
la main
un couteau
à cran d'arrêt.
Interpellé, l'enfant
répondit
qu'il coupait
une baguette
de coudre
pour un
nommé Duval,
qui était
caché dans
une cabane
en planches
à proximité,
et qui venait
de tirer
un coup
de feu. Dès
qu'il fut
sorti de
sa retraite,
cet individu
renouvela ses
menaces et
finalement abandonna
son fusil
près d'une
mare. Les
gendarmes prévenus
ouvrirent une
enquête et
apprirent que
Duval était
non seulement
un braconnier,
mais qu'il
devait, être
un voleur
en effet,
la rumeur
publique l'accusait
d'avoir soustrait
deux billets
de 50 francs
à M. Guillun,
épicier à
Ammeville. Duval, interrogé sur ce vol, avoua, après quelques difficultés être le voleur et avoir dépensé en libations les deux billets. Duval a été arrêté et conduit à la prison de Lisieux.
Novembre
1926 -
Une femme
blessée par
un coup
de fusil. - Mme
Fernande
Langlois,
âgé de 27
ans, cultivatrice
à Ammeville,
accompagnait
son mari
chez un
nommé
Clarence,
où elle
devait
ramasser
des pommes. A
un moment
donné,
M. Langlois
saisit
le fusil
de M.
Clarence
afin de
l'emporter
pour tuer
un lapin.
Sachant
l'arme
chargée,
M. Clarence
prévint
M. Langlois
de faire
attention.
Ce dernier
voulut
faire basculer
le canon
pour en
extraire
les cartouches,
soudain,
un coup
de fusil
éclata
et la
charge
atteignit
Mme Langlois,
qui se
tenait
baissée
à environ
un mètre
de son
mari, la
blessant
grièvement
la fesse
gauche.
Mme
Langlois
fut transportée
à son
domicile
où elle
reçut
les soins
de M.
le docteur
Sorel,
de Livarot.
L'enquête ouverte par la gendarmerie fit découvrir les coupables. Ce sont les nommés Charles Verrier, 29 ans, journalier à Montpinçon et Léon Paton, 17 ans, gardien à Garnetot, qui avaient passé la journée à chasser ensemble. Après dîner, ils décidèrent de chasser à nouveau, c'est alors que se trouvant en présence de deux hommes, Verrier tira. Il a été arrêté ainsi que Paton, et écroués pour chasse la nuit et violences.
Décembre 1929 - L'état des cultures. - L'état des cultures est le suivant dans le Calvados, d'après le Journal Officiel : Les semailles sont presque terminées. Les blés et avoines d'hiver ont une levée régulière et une bonne végétation. Ces cultures ont à souffrir en divers points des dépréciations des corbeaux. Par suite de la douceur de la température, l'herbe continue à pousser dans les prairies. Les bas-fonds commencent à être submergés par suite de l'abondance des pluies.
Mai 1936 - Suicide. - M. Sabine Florent, 50 ans, cultivateur, se rendant dans un bâtiment isolé de sa ferme, situé dans un herbage, découvrit le corps d'un homme pendu à une poutre. Dans les vêtements on découvrit une carte, d'ancien combattant au nom de Raymond Legrand, 43 ans, né à Paris, gardien de phare à Berck-Plage, et des lettres où l'intéressé donnait les motifs de son suicide. Le désespéré devait se rendre dans sa famille à Beaumais. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Octobre
1938 -
Mauvais époux et père indigne.
- Maurice
Laze, 42 ans, né à Escures-sur-Favières, journalier à Ammeville, vient
d'être arrêté par la gendarmerie de Morteaux-Coulibœuf pour des
faits permettant de le considérer comme mauvais époux, mauvais voisin et
père indigne. Lasse
d'être battue, menacée et maltraitée ainsi que ses enfants, la femme
Laze, après une nuit passée dehors, à la suite d'une scène de
violences dont elle fut victime ainsi que son fils Raymond, se décida à
porter plainte. L'enquête
menée par les gendarmes de Morteaux, révéla des agissements singuliers
à la charge du journalier. Non
content de maltraiter les siens, Laze, quand il a bu, ce qui arrive très
souvent, insulte et menace ses voisins. Fait plus grave, il associe à des
pratiques immorales son fils de 8 ans. Après aveux partiels, le Parquet de Lisieux informé, a délivré un mandat d'amener, qui fut exécuté par la gendarmerie de Morteaux, pour violences et outrages publics à la pudeur. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Leur
premier
soin fut
de couper
les fils
du téléphone.
Tandis
que l'un
d'eux faisait
le guet
aux abords
de la
ferme,
les quatre
autres,
tenant
en respect
Mme Bisson
et ses
serviteurs,
se firent
ouvrir
tout les
meubles
du rez-de-chaussée
et des
chambres.
Ils fouillèrent
de fond
en comble
et découvrirent
ainsi une
somme de
350.000
francs
et environ
150.000
francs
de bijoux.
Ils s’en
emparèrent. Les gendarmes de Morteaux-Coulibœuf n'ont été prévenus que jeudi à 11 h. 30, par un coup de téléphone transmis depuis Livarot. Ils poursuivent leur enquête pour découvrir les auteurs de ce vol.
Avril
1944 -
Fait divers.
- Des
malfaiteurs ont pénétré chez M. Verrier, cultivateur à Ammeville,
prés St-Pierre-sur-Dives, où ils ont soustrait 200.000 francs et des
bijoux. (Source : Le
Bonhomme Normand)
Avril
1945 -
Exploits de vandales. -
Des inconnus se sont introduits
par infraction à Ammeville, dans une habitation appartenant à Mme
Bernard, demeurant à St-Mandé (Seine). Ils ont brisé portes, vitres et
glaces, lacéré trois tableau de maîtres, saccagé la bibliothèque
contenant des livres rares, et sérieusement détérioré le mobilier.
Janvier 1973 - La commune de L'Oudon a été créée par la fusion-association, décrétée le 26 décembre 1972, des communes d'Ammeville (171 habitants en 1968), Berville (160 habitants), Écots (95 habitants), Notre-Dame-de-Fresnay (159 habitants), Garnetot (89 habitants), Grandmesnil (123 habitants), Lieury (242 habitants), Montpinçon (167 habitants), Saint-Martin-de-Fresnay (169 habitants) et Tôtes (125 habitants). Saint-Martin-de-Fresnay est alors désigné chef-lieu de l'association.
Janvier 1990 - Par arrêté le chef-lieu est transféré à la commune de Tôtes, dont l'ancien code INSEE (14697) devient le nouveau code de L'Oudon. |
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AMMEVILLE (Calvados) Le Château de la Punaye (Façade principale) |
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AMMEVILLE - Manoir du Houlme |
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AMMEVILLE (Calvados) - La tour de Pumaye |
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AMMEVILLE (Calvados) Château de la Punaye, Les Cascades |
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AMMEVILLE - Manoir du Houlme |
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AMMEVILLE - Ferme de l'Église |
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AMMEVILLE (Calvados) - La tour de Pumaye |
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AMMEVILLE - Vue générale |
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AMMEVILLE - Vue générale |
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