15 Mars 2025

UN SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS

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AUVILLARS 

Canton de Cambremer

Les habitants de la commune sont des Auvillargeois, Auvillargeoises


Février 1831    -    Cour d'Assises du Calvados.   -   Présidence de M. Desprez, conseiller.

- En 1829, deux cartouches de 6 fr. furent volées au domicile des époux Grainville, dans la commune d'Auvillars. On s'était introduit dans leur maison à l'aide d'une échelle, et une porte avait été forcée à l'intérieur. Une fille Désirée Suzanne, âgée de 18 ans, qui demeurait dans le voisinage, fut soupçonnée du vol et prit la fuite. Depuis ce moment jusqu'en 1830, elle demeura à Rouen et s'y conduisit fort bien, mais ayant appris que sa retraite était connue, elle vint d'elle-même se mettre aux mains de la justice, et fit l'aveu de sa faute. La déclaration de plusieurs témoins, les circonstances dans lesquelles le vol avait été commis, ont donné lieu de penser que cette fille avait pu avoir en le commettant un moment d'absence.

Elle a été acquittée. Toutefois, elle a été maintenue sous les verroux, sur les réserves du ministère public qui lui impute un petit vol antérieur à celui dont il s'agissait.   (Le Pilote du Calvados)

 

Février 1860   -   Nomination.   -   Par arrêté, M. Fosse (Victor), est nommé adjoint de la commune d'Auvillars, canton de Cambremer, en remplacement de M. Bloche, démissionnaire. ( Le Pays d'Auge )

 

Janvier 1862   -   Les listes électorales.   -   C'est aujourd'hui 25, à minuit, que seront closes les listes électorales dans les 89 départements, 373 arrondissements, 2 938 cantons et les 37 510 communes de l'empire français. (l’Ordre et la Liberté)

 

Février 1862   -   Par arrêtés préfectoraux sont nommés.   -   Adjoint de la commune d'Auvillars, canton de Cambremer, M. Fosse (Victor), en remplacement de M. Bloche, démissionnaire.

-        Adjoint de la commune de Villers-sur-Mer, canton de Dozulé, M. le baron Gombault de Rasac, en remplacement de M. Leguillon, démissionnaire.

-        Adjoint de la commune de Saint-Pierre-Azif, canton de Dozulé, M. de Guestiers (Adrien), en remplacement de M. de Guestiers (Charles), décédé. (l’Ordre et la Liberté)

 

Mai 1868   -   Une circulaire.   -   Quelques du cas de morve s'étant produits dans le département, M. le préfet croit devoir rappeler à MM. les maires que, au terme de la loi, les détenteurs de chevaux morveux doivent immédiatement avertir l'administration municipale, qui, de son côté, doit aussitôt faire visiter, par un vétérinaire, les animaux infectés. Cette visite donne lieu à la rédaction d'un procès verbal, dans lequel les parties intéressées peuvent insérer leurs observations.

Les chevaux reconnus atteints de la morve doivent être abattus, tailladés et enfouis sur le champ. Les écuries dans lesquelles ils auront séjourné devront être purifiées et leur harnais désaffectés.

 

Mai 1868   -   Le climat.   -   L'élévation de la température qui n'a cessé de régner pendant la majeure partie du mois qui se termine, est un événement assez rare dans nos climats, où la chaleur n'atteint son maximum que vers le mois de juillet.

Voici à cette occasion la nomenclature des plus fortes chaleurs observées depuis un siècle et demi :

En 1702, le thermomètre monta à 39 degrés centigrades au dessus de zéro.

En 1753 et 1793, à 38 degrés.

En 1825, à 37 degrés.

En 1800 et en 1830, à 36 degrés.

La moyenne de la chaleur des étés et de 30 degrés. Cette moyenne à presque été atteinte dans la dernière quinzaine de mai 1868.

 

Juin 1868   -   Un proverbe.   -   Tout le monde connaît ce proverbe agricole :

Du mois de mai la chaleur.

De tout l'an et de valeur.

On pourrait, dans certaines années, le varier ainsi :

Du mois de mai la chaleur.

Des pommiers brûle la fleur.

En effet, comme ces arbres précieux fleurissent généralement pendant ce mois, il en résulte que quand la chaleur est excessive à cette époque, elle brûle la fleur des arbres dont il s'agit et détruit l'espoir du cultivateur, car on sait que les pommiers exigent une température fraîche et modérée pour opérer leur floraison dans de bonnes conditions.

Si une chaleur trop forte leur est nuisible, il en est de même d'un froid vif et rigoureux, ces deux extrêmes produisent le même résultat : ils détruisent ou paralysent la floraison.

Ces inconvénients ne sont pas à redouter cette année, attendu que la température que nous avons depuis quelque temps et on ne peut plus favorable à la phase de la floraison et qu'elle n'a plus rien à craindre des variations atmosphériques. Les premières et secondes fleurs sont dès à présent assurées, et les dernières, qui sont actuellement dans de bonnes conditions, se développent dans des circonstances tout à fait satisfaisantes. On peut donc espérer avoir une abondante récolte de pommes l'automne prochain, du reste les vieux cidres commencent à baisser dans le Pays d'Auge.

 

Juillet 1872   -  Accident.   -  Le 2 juillets vers 10 heures du matin, un accident déplorable a eu lieu dans la commune d'Auvillars, canton de Cambremer. Le jeune Ernest Fosse,

Agé de 14 ans, élève au collège de Lisieux , était venu voir ses parents, lorsque l'idée lui vint de jauger une tonne vide, d’une capacité d'environ 1.600 litres renfermée dans un cellier. Sa mère ne le voyant pas revenir est allée voir au cellier, où elle trouva son malheureux fils engagé dans la tonne et ne donnant plus aucun signe de vie. On s'est empressé de le retirer, et M. Prévost, médecin à Cambremer, appelé en toute hâte, n’a pu que constater la mort par suite d'une congestion cérébrale par asphyxie.

 

Septembre 1872   -  Accidents.  -  Samedi, vers 10 heures du soir, le nommé Alexandre Hue, âgé de 45 ans, journalier à S-Philbert-des-Champs, canton de Blangy, s'est tué en tombant du haut d'un escalier de son domicile. La cause de cet accident est due à l'état d'ivresse dans lequel il se trouvait au moment de sa chute.

   -   Le même jour et pareille heure, le nommé Célestin Lerre âgé de 65 ans, journalier à St-André-de-Fontenay, canton de Bourguébus, tombait de la croisée de la chambre qu'il occupait et se fracturait le crâne. La mort fut instantanée. Le sieur Lerre était aussi dans un état complet  d'ivresse.

  -   Le 27 septembre dernier, le jeune Alfred Cuiller, âgé de 5 ans, était à jouer avec ses deux jeunes sœurs dans l'atelier de son père, charron à Auvillars, canton de Cambremer, lorsque, par une circonstance malheureuse, l'établi fut renversé sur ce petit malheureux qui à eu la tête écrasée. Malgré les soins empressés de M. le docteur Doyère, il expira environ une heure après l'accident.

 

Décembre 1873   -   Visites du premier janvier.   -  C’est le moment, ou jamais, de s’occuper des cartes qu’il est dans l’usage d’échanger à l’occasion du premier de l’an. C’est seulement à l’époque du 1er  janvier qu’on peut envoyer des cartes par la poste, c’est-à-dire sous enveloppe. Les cartes envoyées sous enveloppe doivent être affranchies à 5 cent, pour le rayon du bureau de distribution, en dehors du bureau de distribution, l’affranchissement est de 10 cent. Les cartes ne doivent porter que le nom, la profession et l’adresse. On peut en mettre deux sous la même enveloppe. Une dame ne peut envoyer sa carte à un homme non marié, une demoiselle, quel que soit son âge, n’envoie jamais de carte.

 

Janvier 1874   -   Vol. -  Depuis trois mois, le sieur Auguste Baux était employé comme batteur en grange chez le sieur Julienne, fermier à Auvillars, canton de Cambremer, lorsque, dernièrement, il quitta la maison de son maître. Depuis, on le vit rôder autour de la maison, et peu après on s'aperçut de la disparition : d'une somme de 1 fr. 10 et d'une paire de souliers neufs au préjudice du sieur Pourchain ; d'une grosse montre en argent et de deux blouses en toile de Flandre appartenant au sieur Baril ; d'une tourte de pain, d'une parisienne en toile et une oie au préjudice du sieur Delaunay. L'oie a été retrouvée, mais en quel état. Le voleur l'avait plumée, enfilée à une broche de bois placée sur deux petites fourches, rôtie et à demi mangée. On recherche activement le voleur. 

 

Août 1889.   -   Terrible accident.   -   Mercredi, à Auvillars, le sieur Henri Roux, 15 ans, conduisait à la main des chevaux attelés à une moissonneuse. Le conducteur était sur son siège. Roux abandonna la bride et s'effaça pour laisser passer l'attelage. Il ne se recula pas assez et la machine lui attrapa le pied qui fut littéralement haché. ( Bonhomme Normand)

 

Juin 1896  -  Mort violente.  -  On signale la mort violente, sur la voie publique, du sieur Victor Martin dit Leval, journalier à Auvillars. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Décembre 1897  -  Les femmes témoins.  -  On vient de promulguer la loi accordant aux femmes le droit d'être témoins dans les actes de l'état civil et dans les actes instrumentaires en général. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Décembre 1897  -  Destruction d’un chien.    Le sieur Pierre Mousset, propriétaire à Auvillars, a détruit un chien de 250 francs au sieur Constant Soyer, fermier. Pourquoi ? Mystère.  (Source  : Le Bonhomme Normand)  

 

Juin 1901   -   Mort accidentelle.  -   Le sieur Paul Becquemont, 26 ans, cocher à Auvillar, prés Cambremer, est mort des suites d’un coup de feu accidentel. (Source : Le Bonhomme Normand)  

 

Août 1901   -   Menaces de Mort.  -   Le sieur Victor Lemonnier, journalier à Auvillars, a porté plainte à la gendarmerie de Cambremer pour menaces de mort proférées contre lui par son frère Alfred, journalier même commune. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Mai 1903    -   Pauvre femme.  -   Hippolyte Duval, 38 ans, demeurant à Auviilars, arrondissement de Pont-l’Évêque, a quitté sa femme en laissant quatre enfants à sa charge. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Novembre 1903  -   Voleurs d’eau-de-vie.   -   Constant Sabine, 30 ans, journalier à Auvillars, et Edmond Legouez, 36 -ans, à Formentin, sont entrés, la nuit, chez le sieur Cavelier, à Auviliars, canton de Cambremer. Ils ont enfoncé la porte du pressoir et rempli d'eau-de-vie de cidre un seau de cinq litres et un baril d'une cinquantaine de litres qu'ils prirent dans la cave.

Leurs empreintes les firent découvrir et ils avouèrent le vol. « C'était pour boire », ont-ils dit à l'audience. Legouez, qui avait été entraîné et saoulé par son camarade, est acquitté : quant à Sabine, il est condamné à 2 ans de prison. — Défenseurs : Mes Leroy et Lemonnier. (Source : Le Bonhomme Normand)  

 

Mai 1904  -   Mauvaise mère.   -  La fille mère Marie Callard, 29 ans, demeurant à Auvillars, près Cambremer, a un petit garçon de cinq ans qui paraît en avoir deux au plus. Elle le privait de soins, d'aliments et le battait. Un jour même, elle l'a couché sur des charbons ardents.

Le tribunal de Pont-l'Évêque a condamné cette marâtre à un mois de prison. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Mai  1919    -   Vol.   -  M. Émile Questel, cultivateur à Auvillars, a constaté, le 12 mai, qu'une somme de 3 400 fr. se trouvant dans un secrétaire placé dans sa chambre, lui avait été soustraite. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Octobre 1920   -   Les mères criminelles.   -   A la sortie des vêpres de l'hospice à Pont-l’Évêque, l'attention d'une religieuse fut attirée par des cris d'enfant qui semblaient provenir des cabinets. On fit des recherches et on trouva un nouveau-né dans la fosse d'aisances.

C'est la fille Marie Rose, 28 ans, de St-Etienne-la-Thillaye, canton de Pont-l’Évêque, qui avait mis au monde ce petit être et l'avait jeté dans la fosse.

Elle a fait des aveux. Entrée à l'hospice depuis six mois, elle s'était toujours défendue d’être enceinte.

—   Victoire Ronceray, 29 ans, journalière à Auvillars, canton de Cambremer, a mis au monde, ces jours-ci, un enfant qu'elle a étouffé dans des linges. Pour l'achever, elle l'a plongé dans un seau d'urine. Elle a déposé ensuite son cadavre dans un clapier.

Cette femme, qui a déjà deux enfants à l'Assistance Publique a été arrêtée. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Avril 1921  -  Cour d’Assises du Calvados.   -   Une mère coupable.   -   La fille Victoire Ronceray, 29 ans, journalière à Auvillards, canton de Cambremer, se sentit prise des douleurs de l'enfantement. 

Après avoir mis au monde un enfant du sexe masculin, elle l'étouffa. Enveloppant ensuite le cadavre dans un linge, la fille Ronceray alla le cacher dans une étable. 

La brusque disparition de son embonpoint éveilla les soupçons. Interrogée, l'inculpée commença par nier, mais au cours des recherches, les gendarmes découvrirent le cadavre et le lui présentèrent. Elle le reconnut pour celui de son enfant. 

La fille Ronceray n'a pas d'antécédents judiciaires, mais sa conduite est mauvaise. Elle a déjà deux enfants qu'elle a abandonnés à l'Assistance publique et dont elle ne s'occupe jamais. Victoire Ronceray est condamnée à 5 ans de réclusion. —  Défenseur: Me  Lelièvre. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Avril 1928  -  La guigne !  -  Pour détruire les rats qui décimaient ses volailles, Charles. Pouettre, domestique de ferme à Auvillars, canton de Cambremer, se dirigeait vers son poulailler, armé d'un fusil, lorsque, étant tombé, le coup est partit et traversa de part en part le bras du petit Pouettre, qui se trouvait à proximité. L'enfant a eté aussitôt porté à  l'hospice.

 

 Juin 1930  -  Fils indigne.  -  Ivre, le journalier Alexandre Colleville, d'Auvillars, canton de Cambremer, a violemment frappé son père, âgé de 77 ans.

Les voisins ont dû intervenir pour mettre fin aux brutalités de ce fils indigne, qui mérite une sévère condamnation.  

 

Janvier 1932   -   Un grave incendie.   -   Un violent incendie s’est déclaré vendredi dans la ferme de la Corterie, appartenant à Mrs Laisné frères. On ignore la cause du sinistre, mais il a pris rapidement de grandes proportions et anéanti un bâtiment de 50 mètres de long. 5 000 bottes de foin et un important matériel agricole.

Les pertes couvertes par une assurance, s'élèveraient à 60 000 francs. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Avril 1932   -   Exploits de brutes.   -   M. Achille Gardin, cultivateur à Auvillars, canton de Cambremer, a porté plainte contre des malfaiteurs qui ont blessé, dans un de ses herbages, une pouliche d'un an avec un instrument tranchant.

Déjà, en novembre dernier, les mêmes faits se sont produits deux fois. On croit à une vengeance. La trace de deux individus suspects a été relevée vers Repentigny. (Bonhomme Normand)

 

Avril 1932   -   Fête remise.   -   On a décidé de reporter au 15 mai, au delà de la période électorale, la fête nationale de Jeanne d'Arc, fixée au dimanche 8 mai. C'est donc seulement le dimanche 15 mai que les Monuments publics seront pavoisés et illuminés et qu'auront lieu les cérémonies et cortèges habituels en l'honneur de notre grande héroïne française. (Bonhomme Normand)

 

Janvier 1938  -  Une maison est la proie des flammes.  -  Vers 19 h. 45, un incendie a complément détruit, au lieu dit « la Ferme Cholet », une maison ne cinq pièces, située dans un herbage, appartenant à M. Placide Pesier, 60 ans, propriétaire à Auvillars, louée par ce dernier à son fils, et occupée par un ménage de gardiens, les époux Toutain. 

Les pompiers de Bonnebosq, alertés, accoururent mais ne purent amener leur matériel jusqu’à l'endroit du sinistre en raison du terrain détrempé.

L'immeuble sinistré était assuré pour une somme de 15 000 francs.

Congédiés, le 27 novembre dernier, par leur patron, les époux Toutain logeaient encore néanmoins dans l’habitation. Il semble établi qu'à l’heure du sinistre, ils se trouvaient à 1 500  mètres de là, chez des amis, les époux Jehan.

La gendarmerie de Cambremer en quête sur les causes de l'incendie. (Source  : Le Moniteur du Calvados)  

 

Mai 1939   -   Un violent incendie dans une briquerie.   -   Un grave incendie a éclaté dans la chambre des moteurs de la Briqueterie d'Auvillars, près de Bonnebosq, appartenant à M. Thouvenin, maire de Dives-sur-Mer.

Le chauffeur venait de procéder à la mise en marche d'un moteur, lorsque, brusquement, des flammes jaillirent de toutes parts. Les ouvriers de l'usine actionnèrent aussitôt les appareils de protection et parvinrent à isoler le réservoir de mazout et les transmissions, tandis que le Directeur alertait les pompiers de Bonnebosq qui localisèrent rapidement le foyer et, après une heure d'efforts, se rendirent maîtres du sinistre.

On ignore encore actuellement les causes de cet incendie, qui a causé des dommages très élevés, mais qui sont toutefois, couverts par une assurance.  (Source  : Le Moniteur du Calvados)  

 

Août 1939  -  Une auto renverse un pylône électrique.      M. Jean Laviec, agriculteur, demeurant au domaine d'Heudreville, à Auvillars, par Bonnebosq, revenait en automobile de cette dernière localité et rentrait à son domicile lorsqu'à hauteur de la briqueterie Thouvenin, sur la route de Beaufour à Bonnebosq, un pneu éclata.

La voiture fit une embardée, franchit le fossé bordant la route et heurta un pylône électrique qu'elle brisa. De ce fait, le courant fut interrompu dans les communes environnantes.

De la voiture très endommagée, on retira le conducteur assez grièvement blessé à la cuisse et souffrant de contusions multiples.

M. Jean Laviec, qui est père de dix enfants, a reçu les soins du docteur Gallichère, de Bonnebosq, et devra observer un long repos. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Décembre 1947  -  Une noyade accidentelle à Auvillars.  -  On a découvert dans une mare, à proximité de la maison qu’elle habitait, chemin du Haras, avec sa fille Mme Eugène Lecomte, cultivatrice, le cadavre de Mme Vve Alexandre Leveneur.

D’après les constatations, la mort serait due à des causes accidentelles. ( Le Bonhomme Libre )

 

Mai 1948   -   Un bébé tombe dans un lavoir.   -   Trompant la surveillance de Mme Coudray, cultivatrice à Auvillars, son bébé âgé de deux ans est tombé dans la mare de la ferme. La pauvre maman survint quelques minutes après et retira de l'eau l'enfant qui ne donnait plus signe de vie. C'est en vain que le docteur Duhamel, de Bonnebosq, tenta de le ranimer. ( Le Bonhomme Libre )

 

Août 1948   -   La cachette éventée.   -  Mettant à profit l'absence de M. Léopold Lebreton, l'agriculteur à Auvillars, occupé avec sa famille à des travaux de fenaison, un cambrioleur s'est introduit dans le grenier dans son domicile.

L'individu parfaitement au courant des maîtres de la maison, souleva une lame de parquet juste en dessous d'une armoire placée dans la chambre à coucher. Il n'eut ensuite qu'à poser la main à un angle de la corniche du meuble pour ramasser 30 billets de mille francs qui y étaient cachés. ( Le Bonhomme Libre ) 

AUVILLARS, par Bonnebosq (Calvados)

AUVILLARS, par Bonnebosq (Calvados) -  Mairie et Calvaire

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