Octobre
1845 -
Fait divers. -
Dans la nuit du 20 au 21 de ce mois, un vol de linge et autres
objets a été commis, à l'aide d'escalade et d'effraction, dans le
domicile et au préjudice de la demoiselle Pain,
meunière à Barbeville. Les auteurs de ce crime sont encore inconnus.
(source : L’Indicateur de Bayeux)
Octobre
1845 -
Informations locales. -
Nous croyons
utile de donner de la publicité à une triste observation qu'a été
faite dernièrement et qui devra servir d'exemple aux intéressés :
Depuis
un mois environ, plus de trente voituriers ou préposés à la conduite
des voitures ont été tués ou très grièvement blessés sous les roues
de leurs charrettes, dans les deux seuls départements du Calvados et de
la Manche. Tous ces accidents étaient dus à l'imprudence ou à
l'ivrognerie. (source : L’Indicateur de Bayeux)
Février
1849 -
Avis aux cultivateurs. -
La
culture du Ricin ( Palma Christi ) est le moyen le plus sûr de chasser
les taupes d'un terrain qu'elles envahissent et bouleversent.
Deux
pieds de Ricin, par arc, suffisent pour en chasser les taupes. La culture
de cette plante est facile et son produit utilisé dans les pharmacies.
Il
serait bon de se précautionner de graines pour en semer dans les
potagers, les jardins, les prairies.
(source Journal de Honfleur)
Février
1849 -
Cour d'assises du Calvados. -
Présidence de M. le conseiller Le Menuet de la Juganniére.
- Audience du 6.
—
Le nommé Jacques Lelièvre,
âgé de 25 ans, domestique, né et demeurant à Arganchy était accusé
d'avoir, à Barbeville, le 19 septembre dernier, commis un attentat à la
pudeur, consommé ou tenté, avec violence, sur la personne de la jeune
Noëmie-Armandine Victoire Cadot, âgé de 9 ans.
Déclaré
coupable par le jury qui n'a point admis en sa faveur les circonstances
atténuantes, Lelièvre a été condamné à 10 ans de travaux forcés.
—
Le nommé Jean Couvert, âgé
de 49 ans, mégissier, né à St-Jean-de-Savigny, demeurant à
Monfréville, était accusé d'avoir, au mois de novembre 1847,
frauduleusement fabriqué ou fait fabriquer une fausse lettre de change de
350 fr, ; d'avoir, le 1er juin dernier, fabriqué ou fait
fabriquer une seconde lettre de change, également fausse et de pareille
somme, donnée par lui en remboursement de la première.
Couvert
a été acquitté — Ministère
public, M. Le Bastard-Delisle — Défenseur,
Me Girard.
—
Un acquittement a été également prononcé en faveur du nommé
Jean-François Sauton, âgé de 26 ans, maçon, né et domicilié à Ernes,
accusé d'avoir, vers la fin de 1847 ou le commencement de 1848,
volontairement porté des coups à son père légitime.
(source Journal de Honfleur)
Février
1859 - Des actes de sauvagerie.
- Mercredi
dernier, entre 7 et 8 heures du soir, une scène d'attaques nocturnes et
de violences graves s'est passée sur la route de Nihault à Barbeville.
Deux
individus (les deux frères, nous assure-t-on), revenaient de Bayeux, où
ils avaient, porté un tonneau de cidre, conduisant Ieur charrette. Ils
étaient en proie à une excitation alcoolique voisine de la folie, et
distribuaient aux passants inoffensifs de nombreux coups de fouet. Ils se
sont même servi d'un levier à l'aide duquel ils ont fait des blessures graves
à un ouvrier et au grand valet d'un propriétaire du voisinage. On nous
assure que procès-verbal de ces actes de sauvagerie a été dressé par
le garde-champêtre, il faut donc espérer qu'ils ne resteront pas
impunis. ( Source : L’Indicateur de Bayeux)
Juillet
1863 - Le vol d’une jument.
- Dans
la nuit du 14 au 15 juillet courant il a été volé, en la commune de
Barbeville, au préjudice du sieur Jean ADAM, une jument dont le
signalement suit :
Âgée
de 3 ans ; sous poil gris fer ; pelote en tête ; taille : 1 mètre 57 c.
; d'une valeur de mille francs.
MM.
les Officiers de police judiciaire sont priés de vouloir bien faire
rechercher la jument volée et de faire conduire, devant le soussigné,
tout détenteur qui ne justifierait pas de sa légitime possession.
Au
Parquet, à Bayeux, le 16 juillet 1863.
Le Procureur Impérial,
GODON. . (L 'Écho Bayeusain )
Juin
1868 - La
sécheresse. - Depuis
plus de 15 jours, nos cultivateurs demandaient de l'eau, leurs vœux sont
exaucés, il a plu. La terre est tellement sèche que cette pluie n'est
peut-être pas encore suffisante, mais elle aura toujours rendu de grands
services.
L'orage
de vendredi et dimanche a été peu violent à Caen, et les nouvelles que
nous recevons de divers points du département nous disent qu'il n'y a
occasionné que d'insignifiants dégâts. Il n'en a pas été de même
dans l'Eure où, outre la pluie, il est tombé de la grêle.
Dans
les environs de Bourg-Achard, de l'arrondissement du Havre, les colzas ont
légèrement souffert, ainsi que les blés qui se sont couchés en
quelques endroits. Somme toute, la grêle n'a pas occasionné trop
de graves avaries. La récolte des pommes de terre continue de donner des
plus belles espérances.
La
moisson est déjà commencée dans le Midi, et partout elle se présente
sous le plus belle aspect.
Décembre
1880 - Les
suites des expulsions. -
MM. .Gérard,
maire de Barbeville ; de Nolandé, maire de Cottun ; de Bonvouloir,
maire de Magny, et de Vaulogé, maire de Tour, arrondissement de Bayeux,
viennent d'être suspendus de leurs fonctions pour deux mois, par arrêté
préfectoral, pour avoir, lors de l'expulsion des Prémontrés de Mondaye,
pris part à la manifestation organisée contre les agents de l'autorité.
Le ministre de l'intérieur, qui est seul compétent pour prendre cette
mesure, vient de les révoquer par arrêté du 7 décembre.
Février
1888 - Vol
qualifié. -
Virginie Pesquerel, est âgée de 20 ans et demi, elle est née à
Neuilly. En novembre 1886, elle était, à Barbeville, au service des
époux Rolland, dont la femme était toujours souffrante. Elle quittait
cette maison au mois de juillet 1887, pour se placer à Castillon, chez le
sieur Féron. En partant, elle emporta une montre, une chaîne en or et
d'autres bijoux. On soupçonna une femme Lehoux, qui avait soigné la dame
Rolland. Cette femme fut arrêtée et fit trois semaines de prison
préventive. Le jury a été indulgent, il a accordé des circonstances à
la fille Pesquerel qui a été condamnée à 18 mois.
Mars
1888
- Les
voleurs de presbytères. -
Dimanche dernier, pendant
la grand'messe, et ce jour-là, fête des Rameaux, tout le monde était à
l'église, des voleurs se sont introduits
dans le presbytère de Barbeville. Ils ne se sont pas contentés de
dérober l'argent et autres objets de valeur qui leur sont tombés sous la
main, mais ils se sont en outre attaqués
avec rage sur les meubles du presbytère, qu'ils ont brisés avec un
acharnement qui ferait croire à une vengeance.
Janvier
1891 -
Mutilation d’animaux domestiques.
- Un individu inconnu
s'est introduit mercredi dans un herbage du sieur Hurel, cultivateur à
Barbeville, et a mutilé 12 veaux :
Perte, 58 fr.
Janvier
1896 - Mort
accidentelle. -
Dans la soirée, la
dame Virginie Bellery,73 ans, demeurant à Barbeville près Bayeux,
trompée par l'obscurité, en voulant traverser un pont en bois pour
se rendre a son domicile, est tombée si malheureusement dans le ruisseau
du bief quelle s'y est noyée. Elle a été retrouvée le lendemain
partant dans son tablier le bois qu'elle avait ramassé avant l’accident.
(Source :
Le Bonhomme Normand)
Janvier
1896 - Attention. - Le ministre
vient d'ordonner que les auteurs d'acte de cruauté ou de mauvais
traitements excessifs envers les animaux, soient rigoureusement
poursuivis, ainsi que les personnes qui se servant de chien pour faire
traîner leurs camions. (Source :
Le Bonhomme Normand)
Octobre
1898 -
Ne soupçonnez jamais à la légère.
- La
dame Lefortier, habitant à Bayeux,
s'était rendue chez sa fille, mariée à Barbeville. Elle avait ou
plutôt avait cru mettre un rouleau d'or de 800 fr. dans sa poche. Elle se
coucha, le lendemain, elle regarda dans la poche de sa jupe, pas de
rouleau d'or.
Aussitôt
les domestiques furent soupçonnés et la gendarmerie prévenue.
Heureusement qu'en rentrant chez elle la dame Lefortier retrouva le
rouleau. Mais si ces 800 fr. avaient été ramassés par une personne
indélicate, voilà de pauvres domestiques poursuivis et peut-être
condamnés. (Source :
Le Bonhomme Normand)
Juin
1899 -
Abandon d’enfants.
- La
gendarmerie d'Isigny recherche la fille Marie Haize, servante à la Cambe,
qui a abandonné ses deux enfants chez la veuve Vacquaire, à Barbeville. (Source :
Le Bonhomme Normand)
Avril
1903 - Folie. -
M. Génouin, curé de Barbeville, a été pris d'un accès de folie
samedi, comme il était au marché de Bayeux.
M.
Génouin a été envoyé au Bon-Sauveur. Ce prêtre est âgé de 32 ans,
il a été vicaire à St-Patrice de Bayeux et nommé curé de Barbeville
en 1901.
M.
Génouin avait la manie de la persécution et croyait que sa bonne voulait
l'empoisonner. Armé d'un revolver, il visait, dans l'église le vicaire
de St-Patrice, mais le sacristain lui arrêta le bras. On s'est
rendu maître du malheureux au moment où il menaçait un pharmacien de le
tuer. (Source : Le Bonhomme Normand)
Juin
1903 - A propos d’un fou.
- M. Genouin,
curé de Barbeville, près Bayeux, aujourd'hui interné au Bon-Sauveur,
n'a menacé personne du revolver qu'il portait sur lui. C'est
heureux, car il est inexplicable qu'on ait laissé cette arme entre les
mains d'un homme sujet à des accès de folie d'autant plus dangereux
qu'ils étaient motivés par la manie de la persécution.
(Source : Le Bonhomme Normand)
Avril
1913 - Une noyée - On a trouvé près
du pont de Barbeville, dans la Drôme, le cadavre d'une femme de grande
taille, âgée de 35 à 40 ans, paraissant étrangère au pays, vêtue
d'habits usagés ;
son identité n'a pu encore être établi.
Mai
1919 -
Faux en écritures. -
Madame Harache, couturière à Barbeville, prétendant que
l'instituteur de Barbeville frappait les enfants, avait adressé à M.
l'Inspecteur général à Caen, une lettre qu'elle avait signée du nom de
Mesdames Marcette, Sandie, Hamelin, Giffan et Marie.
Ces
dernières ont porté plainte pour faux en écriture. (Source : Le
Moniteur du Calvados)
Novembre
1921 -
Évasion manquée.
-
La femme de Mouchel, l’ex-meunier du Moulin Morin, à Barbeville,
canton de Bayeux, a été arrêtée et, conduite à la prison de Bayeux.
La
police avant appris que la femme Mouchel avait, momentanément confié à
une voisine une boite renfermant 29 000 fr., voulut savoir où était
cette somme. La femme Mouchel ayant déclaré que seul un fils de son mari
connaissait la cachette un mandat d'amener fut lancé contre ce fils, qui
est soldat à St-Denis.
Arrêté
à la caserne, il fut enfermé dans une cellule d'où il s'échappa, la
nuit. Les gendarmes le retrouvèrent à Barbeville pendant son sommeil. Il
a été écroué. (Source : Le Bonhomme Normand)
Août
1922 -
Bonne prise. - Une
femme disant s'appeler Marthe Lebidois, avait demandé à Mme Garnier,
épicière à Barbeville, canton de Bayeux, de prendre pension chez elle
pour 300 fr. par mois.
Le
lendemain de son arrivée, elle disparut après avoir dérobé dans sa
chambre une somme de 1 800 fr.
L'épicière
porta plainte et la gendarmerie se mit en route. La voleuse fut vite
pincée. C'est une nommée Marie Poussin, déjà condamnée, une dizaine
de fois pour divers délits et frappée d'une interdiction de séjour de
vingt ans dans le Calvados. On l'a écrouée à Caen. (Source : Le
Bonhomme Normand)
Mars
1929 -
Bois à bon compte. - Sur la
plainte de M. André Henri, cultivateur à Barbeville, la gendarmerie
s'est livrée à une enquête qui a permis de retrouver les auteurs de
différents vols de bois commis au préjudice du plaignant. C'est la
nommée Marie-Louise Sebire, ex-femme Mariette, demeurant à Barbeville,
et le nommé Joseph Livet, actuellement détenu à Caen. Ces
personnes auraient enlevé 300 perches en bois d'épine.
Août
1932 -
Trop nerveuse ! -
Mme Louise
Lhomme, 31 ans, femme de chambre à Caen, était venue voir ses enfants en
pension chez la veuve Bouillet, à Barbeville, canton
de Bayeux. Elle voulait également y retrouver son mari pour avoir, avec
lui, une explication au sujet du paiement des mois de nourrice. Elle le
retrouva au hameau de Nihault chez M. Auguste Amand, jardinier, qui essaya
d'éviter une querelle.
La
jeune femme, armée d'une clef et d'un couteau dissimulé dans un
mouchoir, s'approcha alors du médiateur et le frappa à la tempe, lui
faisant une profonde coupure. Tant il est vrai qu'il ne faut jamais
s'occuper des affaires d'autrui. (Bonhomme Normand)
Mars
1938 -
Élections municipale. -
Le Conseil municipal s'est réuni vendredi soir en vue de nommer le maire et l'adjoint. C'est M.
Jules Suhard, qui a été élu maire, et M. Alfred Brunet, adjoint, le premier
avec sept et le second avec huit voix sur dix volants.
(Source :
Le Moniteur du Calvados)
Août
1938 -
Noces d’or. -
Une
bien touchante cérémonie vient de se dérouler à Barbeville, où deux
époux très estimés ont eu la joie de fêter leurs noces d'or, au pied
du même autel, où fut béni leur union, voici 50 ans.
C'étaient
M. et Mme Frémont Arthur, âgés respectivement de 76 et 71 ans. Ils se
marièrent le 5 juin 1888, et de cette union naquirent huit fils, dont
deux malheureusement devaient
décéder, l'un à la guerre.
M.
Frémont, depuis 45 ans, a toujours été élu conseiller municipal à
Barbeville tout d'abord, puis à Vaucelles et à nouveau à Barbeville où
les vénérés jubilaires sont revenus se fixer.
Ils
furent accueillis à la porte de l'église par les enfants du pays, qui
leur offrirent avec, une belle gerbe de fleurs, des compliments et
formèrent ensuite un cortège d'honneur.
Les
deux époux firent alors leurs entrée solennelle, suivis de leurs enfants
et petits-enfants, dans l'église tout illuminée et parée de fleurs.
Après
une allocution de M. le Curé, une messe d'actions de grâces fut
célébrée.
A
l'issue de la cérémonie religieuse, un vin d'honneur a été offert par
la municipalité, réunie au complet autour de M. Suard, maire, qui
prononça une émouvante allocution et se fit l'interprète de tous pour
leur souhaiter de se retrouver encore dans 10 ans pour fêter leurs noces
de diamant. (Source :
Le Moniteur du Calvados)
Novembre
1938 -
Une
délicate affaire. -
Les gendarmes de Trévières viennent d'être saisis d'une
délicate et pénible affaire d'outrages à la pudeur, dans laquelle sont
mêlés plusieurs jeunes filles mineures, domestiques à
Sainte-Honorine-des-Pertes, Colleville-sur-Mer et Russy, ainsi cultivateur
de Surrain, un ouvrier agricole, de Russy, et un jeune homme actuellement
soldat à Cherbourg.
L'une
de ces jeunes filles, Mlle Odette B…….., dont les parents habitent
Barbeville, est actuellement en traitements à l'hôpital de Bayeux. Une
enquête sévère est ouverte sur cette affaire dont les tristes héros
ont avoué tout ou partie des faits.
(Source : Le Moniteur du Calvados)
Septembre
1939 -
La dernière dépêche de 15 h.
– Le
gouvernent a décrété la mobilisation générale et l'état de siège.
Le premier jour de la mobilisation est le samedi 2 septembre.
Le Parlement se réunira demain. (Source
: Le Moniteur du Calvados)
Septembre
1939 -
On arrête deux voleurs d’autos.
- La gendarmerie de
Trévières a procédé à l’arrestation des frères Eugène et Félix
Lepaton, 25 et 28 ans, tous deux journaliers à Barbeville. Se trouvant en
état d'ébriété, ces deux individus provoquèrent une bagarre.
Les
gendarmes, intervenant s'enquirent de la provenance d'une camionnette
trouvée en possession des frères Lepaton qui durent avouer l'avoir
volée à M. Prosper, boucher à Bayeux, après avoir fracturé la porte
d'entrée du garage de celui-ci. (Source
: Le Moniteur du Calvados)
Décembre
1944
-
Suites mortelles d’un accident.
-
M.
l’abbé Girardin, curé de Barbeville, qui avait été blessé très
grièvement par une automobile, est décédé à l’hôpital de Bayeux.
Août
1945 - De
fêtes en fêtes.
- De
grandes kermesses seront organisées au profit des prisonniers, dimanche 2
septembre, à Saint-Germain-du-Pert et à Vaux-sur-Aure. Le 9 septembre se
tiendra à Saint-Paul-du-Vernay, la grande assemblée Saint-Georges, le
même jour à Barbeville-Cussy, courses de chevaux dotées de
nombreux prix. (Source :
Le Bonhomme Libre)
Mars
1946 -
Une série rouge. - Dans
la nuit de vendredi à samedi, le feu a entièrement détruit une écurie
dépendant du château de Barbeville Les dégâts s’élèvent à 500 000
fr. La gendarmerie enquête sur les causes du sinistre. Toute idée de
malveillance paraît devoir être écartée.
- Autre incendie à
Isigny, au domicile de Mme Vve Pierre, demeurant, rue de Cherbourg.
Activé par un vent violent, le feu, qui avait pris naissance dans une
buanderie voisine de l’habitation menaça rapidement celle-ci qui ne fut
préservée que grâce à l’intervention rapide des pompiers. A signaler
le geste généreux de ces derniers qui ont spontanément abandonné au
profit de Mme Pierre, une part de leur indemnité de service.
- Enfin, un
commencement d’incendie s’est déclaré, également à Isigny, dans la
buanderie du logement du Directeur de l’école des garçons. Des
ouvriers travaillant à proximité accoururent et parvinrent à maîtriser
le feu. (Source :
Le Bonhomme Libre)
Mai
1946 -
La fin dramatique d’un bûcheron.
- MM.
Madeleine et Lucien Olive, 34 ans, débitaient des arbres à la ferme du
Catelet, à Barbeville, pour le compte de M. de Pimodan. Pour éclater une
souche, M. Madeleine s’était saisi d’un merlin et enfonçait un coin
dans le bois lorsqu’un éclat de l’outil se détacha et vint frapper
à la gorge M. Olive qui eut la carotide tranchée. Transporté aussitôt
à son domicile, le malheureux ouvrier succombait peu après. Il était
marié et père de trois enfants en bas age. (Source :
Le Bonhomme Libre)
Octobre
1948 -
L'alimentation en eau potable.
- En
conclusion d'un rapport présenté par M. Touraine sur l'état des travaux
en cours aux sources de Vaux sur Aure et de Barbeville, le conseil
municipal a décidé de traiter avec une compagnie de Genissiat pour le
forage de la source de Barbeville et de contracter un emprunt pour
l'achèvement des travaux à celle de Vaux-sur-Aure. (Source : Le
Bonhomme Libre)
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