15 Octobre 2024

UN SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS

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BAVENT

Canton de Cabourg

Les habitants de la commune sont des Baventais, Baventaises


Février 1877   -  Un malheur ne vient jamais seul.  -  La semaine dernière, le sieur Victor Langevin, à Bavent, se rendit en voiture à Caen, pour acheter de la marchandise,  Comme il retournait chez lui, une charrette attelée d’un cheval qui allait en sens inverse, vint donner dans le poitrail de son cheval, l’animal fut blessé si grièvement qu'il dut le laisser dans une  écurie à Caen. Le lendemain, le sieur Langevin retournait à Caen avec une charrette attelée d'un cheval qu'il avait emprunté. Comme il se trouvait près d'Hérouvillette, le cheval qu'il  conduisait tomba mort en route.  

 

Mai 1877   -  Une femme écrasée par un arbre.  -  Mardi, la dame Joseph Paul, demeurant à Bavent, alla porter à dîner à son mari qui était à abattre des chênes sur la ferme exploitée  par M. Lemaître-Dupart. Pendant que son mari prenait son repas, la dame Paul voulut continuer sa besogne, mais, comme elle était baissée, un chêne se détacha du sol et lui tomba sur les reins. Elle fut reportée chez elle dans un état pitoyable et couverte de sang. Cette infortunée, qui était âgée de 24 ans, a succombé à ses blessures.

 

Avril 1878.   -   Les suites de l’ivresse.   -   Le 31 mars, vers cinq heures du soir, le sieur Alexandre Marie, âgé de 53 ans, journalier à Herouvillette, s'étant enivré à Bavent, fut rencontré, portant sur ses épaules sa petite fille, âgée de quelques années. Son allure titubante lui faisait faire des écarts tellement désordonnés, qu'il tomba dans un fossé plein d'eau et de vase bordant la route.

Des témoins de sa chute s'empressèrent de lui porter secours, ils retirèrent l'enfant qui était tombée sous lui et était en danger de périr. On conduisit le père et l'enfant dans une maison voisine, où ils reçurent des soins.

Pendant la nuit, Marie fut pris subitement de mal et il expira quelques instants après, sans pouvoir prononcer une parole. Quant à la petite fille, elle n'a pas été incommodée. ( Bonhomme Normand)

 

Août 1880  -  Orages.  -  Les orages de la semaine dernière ont causé dans le département plusieurs sinistres. A Trouville, plusieurs rues ont été inondées. Les marchandises contenues dans les caves ont été entièrement endommagées. Les pertes de ce chef dépassent 10 000 francs. La foudre est tombée à différentes reprises à Trouville et à Deauville. Près le Salon et la rue des Dunes, elle a coupé un arbre par le pied, sur le quai Joinville, sur le banc de sable près le Casino de Deauville, elle n'a fait aucun dégât.

A Bonneville-sur-Touques, elle est tombée sur une maison dont elle a dépavé la salle. Un boucher a eu deux de ses bœufs tués.  A Bavent, il y a eu plusieurs accidents, la foudre est tombée, notamment, sur un appartement à usage d'écurie, appartenant au sieur Giret. Une partie des tuiles de la toiture a été enlevée.

Dans le marais, Pierre Gady et sa femme, occupés à faner, ont été surpris par l'orage. Gady, atteint par le fluide, a dû être transporté chez lui sans connaissance. Sa vie n'est pas en danger. La femme a été renversée, ainsi que d'autres personnes qui se trouvaient dans le voisinage. A Robehomme3 la foudre est tombée en plusieurs endroits, mais sans occasionner de dégâts. Dans la commune de Meulles, la foudre est tombée sur un bâtiment à usage de cave et grange, appartenant à M. Gondouin. Le feu s'est communiqué sur toute l'étendue du bâtiment, et a consumé environ 1 000 bottes de foin. Les secours, apportés par les habitants du bourg, qui ont courageusement fait la part du feu, ont réussi à préserver les planchers et les murailles. Deux tonneaux de cidre ont pu être préservés de la destruction. La perte s'élève à 3 000 fr. environ. Un domestique de la maison, un nommé Thibout, qui se trouvait à 15 mètres du bâtiment, a été renversé par la foudre, mais sans qu'il en eût aucun mal, il a pu se relever et appeler du secours pour l'incendie.

 

Octobre 1881  -  Tentative de meurtre.  -  Samedi, à Bavent, entre 9 1/2 et 10 heures du soir, le nommé Charles Lepère, âgé de 21 ans, journalier, porteur d'un fusil chargé, voulut pénétrer de force dans une maison de la commune, habitée par le sieur Lavarde, 69 ans, journalier, et la fille Lahogue, âgée de 40 ans, sa concubine. Lepère, qui était en état  d'ivresse,  se présenta deux fois pour se faire ouvrir, et fut toujours repoussé, alors il défonça la porte à coups de crosse de fusil. Lavarde s'étant levé, reçut un coup de feu dans l'épaule droite et la poitrine, et tomba sur le sol. Ce malheureux vieillard a reçu quinze plombs dans la figure, dont quelques-uns ont atteint l'œil gauche, qu'il perdra. Il en a dans  l'épaule droite et la poitrine.  

 

Avril 1883  -  Chasse. –  Depuis quelque temps, des sangliers ravageaient les environs des bois de Bavent. Une battue a eu lieu mardi sous la direction de M. E. Quérière. Un renard a été tué par M. Delarbre et un sanglier de 57 kilos a été abattu par M. A. Quérière. Déjà, l'an dernier, un sanglier de 69 kilos avait été abattu par ce même chasseur, dans les bois de Bavent.  

 

Février 1886  -  Mort de faim.  -  Le cadavre du nommé Édouard Panchy, 70 ans, toucheur de bestiaux, demeurant à Bavent, hameau de Benanville, a été trouvé dans sa  demeure. La levée et les constatations du cadavre ont fait connaître que la mort, qui remonte à deux ou trois jours, est due au manque de nourriture.

 

Juin 1889.   -   Vols de vaches.   -   Dans la nuit de vendredi, une vache a été volée, à St-Martin-des-Entrées, à M. Hallard cultivateur.

-  Deux autres vaches ont été volées la nuit à St Come-du-Mont.

- Louis Bellard, 38 ans, toucheur de bœufs à Bavent, a été condamné à 10 mois de prison par le tribunal de Pont-l'Évêque pour vol d'une vache. (Bonhomme Normand)

 

Avril 1890  -  Est-ce possible ?  -  Dernièrement, un sanglier était chassé dans les bois de Bavent. Soudain, l’animal disparaît au nez et à la barbe des chasseurs. Et si le dîner ne les avait remis, nous ne savons ce qu'il serait advenu de leur noir désespoir. Quant au sanglier, criblé de balles, il errait dans les marais de Varaville, lorsqu'il fut aperçu et abattu d'un coup de fusil par un gardien d'herbages. Il paraît qu'on menace de poursuivre le malheureux garde pour chasse sans permis. Est-ce possible ? (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Août 1891  -  Fête.  -  Dimanche 30 et lundi 31 août, fête St-Louis. Jeux divertissements, courses de vélocipèdes, tombola, bal, feu d'artifice. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Janvier 1892  -  Mauvaise mère.  -  Marie Noël, veuve Vimont, 42 ans, journalière à Bavent, a une conduite déplorable. Non contente de donner à sa  fille, à peine âgée de 15 ans, les plus déplorables exemples, elle la forçait à se livrer à la prostitution. La veuve Vimont a été condamnée à deux ans de prison.  (Source  : Le Bonhomme Normand)  

Juin 1893  -  A propos de sécheresse.  -  La plus grande que nous avions eue en Normandie est celle de 1559. De Pâques à la Toussaint la chaleur fut fort grande, dit M. de Bras. Le temps était toujours à l'orage et, pendant plus de six mois, il ne tomba pas, ou très peu d'eau. L'hiver qui suivit fut très doux et les violettes de mars parurent en janvier. Les arbres,  trop avancés, donnèrent peu de fruits. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Juillet 1893  -  Un voiturier écrasé.  -  Vendredi, le sieur Cabouret, conducteur de la voiture de Bavent, a trouvé, sur le territoire de Colombelles, le corps encore chaud du nommé Louis Hubert, 53 ans, domestique chez M. Charles Complet, fabricant de tuiles à Bavent. Cet homme avait la tête et la main droite écrasées, il tenait encore son fouet dans cette main. Cet homme buvait, quelquefois, mais, cependant, son maître déclare qu'il n'était pas un ivrogne, il avait la mauvaise habitude de monter sur le côté de sa voiture. Il revenait de Caen avec deux voitures chargées de charbon et on peut supposer que c'est en regardant en arrière qu'il aura perdu l'équilibre. Hébert était marié et  laisse trois enfants. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Août 1893  -  Cour d'assises du Calvados.   -  Vol qualifié.  -   François Fouques, 35 ans, cultivateur à Ranville ; François Fremin, 31 ans, charron, Numa Breville, 49 ans, carrier ; Auguste Beaumont, 48 ans, domestique ; femme Breville, 56 ans, couturière, demeurant tous à Hérouvillette, et François Nemèse, dit Kroumir, journalier à Lingèvres, ont littéralement dévalisé les environs de Bavent. Ils ont été condamnés ; Fouques, à 5 ans de travaux forcés ; Fremin, Breville et Beaumont, à 4 ans de prison ; Nemèse à 3 ans. La femme Breville a été acquittée. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Mai 1894  -  Tentative de viol.  -  Le nommé Picot, journalier à Bavent, marié, sachant qu'une jeune servante de 17 ans avait un bon ami, se dit que, comme ami du bon ami, il pouvait bien partager les faveurs de la demoiselle. Il accosta la jeune fille dans un herbage de Varaville où elle était en train de traire. La jeune fille se sauva, Picot courut après et la rattrapa, mais il ne put arriver à ses fins. Plainte ayant été portée, procès-verbal a été dressé. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Septembre 1894  -  Fête attristée.   -   L'autre dimanche, à l'occasion de la fête de Bavent, des jeux divers avaient été organisés. Pendant la course aux canards, se tenant sur la mare communale, le nommé Adrien Gardon, 20 ans, domestique à Amfréville, s'est noyé, frappé par une congestion cérébrale. Les secours furent immédiatement organisés, mais on ne  ramena que le cadavre du malheureux. (Source  : Le Bonhomme Normand)

Octobre 1894  -  Morts accidentelles.   -  La demoiselle Célestine Fleuriot, 19 ans, servante chez M. Lebreton, cafetier à Bavent, étant allée laver du linge au lavoir communal, est  tombée accidentellement à l'eau et s'est noyée. On suppose qu'en se penchant en avant pour laver, elle aura perdu l'équilibre et sera tombée au fond du lavoir où elle s'est envasée.

— M. Leconte, boulanger au bourg de la Graverie, allant porter du pain à Beaumesnil, arrondissement de Vire, est tombé on ne sait comment, de sa voiture, mais si malheureusement que la tète a été fendue et que la mort a été presque instantanée. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Novembre 1894  -  Incendie.   -  Vendredi, le sieur Gardie, maréchal ferrant à Bavent, mettait un robinet à un tonneau d'eau-de-vie, en s'éclairant d'une chandelle. Le jet atteignit la lumière, le feu se déclara et causa 3 400 fr. de dommages. Le sieur Gardie eut les deux avant-bras brûlés. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Février 1896  -  Mari brutal.  -  Le soir du mardi gras, Henri Lemoine, 30 ans, journalier à Bavent, rentrait à son domicile, pris de boisson. Il se jeta sur sa femme, la roua de coups de pied et de coups de poing, puis la saisit à la gorge, la renversa sur le sol et continua longtemps encore à la frapper. La malheureuse, tout en sang, se réfugia chez des voisins avec son enfant. Elle a déposé plainte. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Février 1896  -  Défiez-vous .  -  Deux femmes, au teint fortement basané, parcourent la région. Elles s'introduisent chez les commerçants, leur demandant à acheter au-dessus de leur valeur certaines pièces de monnaie, puis profitent d'un moment propice pour dérober de l'argent ou divers objets. Ces voleuses font sans doute partie d'une bande. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Février 1896  -  Respect au règlement .  -  Plusieurs personnes ont été bousculées cette semaine dans les rues de Caen, par des bicyclistes qui n'avaient pas la sonnette réglementaire. Espérons qu'on fera désormais observer le règlement qui les oblige à l'avoir. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Mai 1897  -  Brûlée vive.  -  La veuve Laplanche, née Rose Decaen, 82 ans, sans profession, à Bavent, a été trouvée carbonisée sur le seuil de sa porte. On attribue cette mort à l’imprudence de la victime qui, pour se chauffer, avait la mauvaise habitude de mettre des vieux chiffons dans sa chaufferette.  (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Décembre 1898  -  Recensement.  -  Les propriétaires de chevaux, juments, mulets et mules et de voitures attelées, devront, sous peine de poursuites, se présenter à la mairie, avant le 1er janvier, pour en faire la déclaration. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Décembre 1898  -  Morts accidentelles.  -  La dame Henriette Chardine, 73 ans, dentellière à Bavent, est tombée, la tête la première, dans une mare ou elle lavait du linge.  Les jambes étaient maintenues élevées par le « carrosse » qui flottait sur l'eau. Retirée peu après, elle n'a pu être rappelée à la vie. 

— Le sieur Alphonse Leroy, 34 ans, cultivateur à Douville, qui chargeait des pommes en gare à Dives, a été tamponné par des wagons auprès du hall des marchandises. Le malheureux a succombé quelques jours après dans d'horribles souffrances. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Juillet 1899  -  Médailles d’honneur des cantonniers.   -  MM. Charles, dit Jeanne, à Noyers ; François, dit Marie, à Bretteville-le-Rabet ; Alexandre Grin, à Glanville ; Louis Lecornu, à Mézidon ; Auguste Leblanc, à Bavent ; Auguste Ruault, à Villers-Canivet ; Auguste Madeleine, à Maisy ; Armand Taupin, à Clarbec ; Jean Vaultier, à Torteval. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Octobre 1899   -   Incendies.   -   A St-Germain-d'Ectot, d'un bâtiment renfermant 700 bottes d'avoine, 2 600 bottes de foin, 300 bottes de paille, un pressoir et des outils aratoires au sieur Ballière, de Soliers. Pertes, 12 000 fr. Assuré.

— D'un bâtiment au sieur Dupont et exploité par le sieur Leconte, à Lassy. 2 porcs ont péri dans les flammes. Pertes pour le propriétaire, 600 fr.; pour le locataire, 285 fr. Assurés.

— Dans le bois de sapins au sieur Bezière, à Bavent. Pertes, 60 fr.

— A St-Gatien-des-Bois, d'un bâtiment à usage de cave, buanderie, etc…, appartenant au sieur Beaumais et loué aux sieurs Lebas et Preger. Pertes, 4 000 fr. Assuré en partie.

— De la maison de la dame Toscan, à Touques. Pertes, 3 800 fr. Assuré.

— D'une maison au sieur Bures, à Tour. Pertes, 2 000 fr. Assuré.

— A Reux, dans la ferme du sieur de Sesseyalle, exploitée par le sieur Rebut, d'un bâtiment de 58 mètres de longueur, où se trouvaient un pressoir, 5 000 bottes de foin, 1 200 rasières de fruits et 200 hect. de cidre. (source :  le Bonhomme Normand)

 

Octobre 1899   -   Le brouillard.   -   Nous avons eu pendant plusieurs nuits un épais brouillard. Mais qu'est-ce auprès de celui de Londres, où la circulation a dû être  interrompue samedi, à partir de 2 heures de l'après-midi. (source : le Bonhomme Normand)

 

Novembre 1899   -   Gaminerie cruelle.   -   Le jeune Céré, 13 ans, domestique chez le sieur Gervais, cultivateur à Bavent, profitant de l'absence de ce dernier, a enfoncé un manche à balai dans la mamelle d'une truie allaitant neuf petits. La perte subie s'élève à 300 francs. (source : le Bonhomme Normand)

 

Novembre 1899   -   Le bulletin des parlers normands.   -   Langue et littérature populaire normande est entré dans sa troisième année.

Grâce à l'impulsion que lui a donnée son directeur, M. Ch.Guerlin de Guer, les collaborateurs y affluent de tous les points du département.

Abonnement : 3 fr. par an. Le numéro, 6 fr. 50. Conditions spéciales pour MM. les instituteurs. On s'abonne, à Caen, 111, rue Saint-Pierre. (source : le Bonhomme Normand)  

 

Août 1900   -   A propos de fièvre aphteuse.  -  M. Médéric Guilbert, propriétaire à Mosles ; Adolphe Revel, propriétaire à Saint-Manvieu ; Morel, propriétaire à Creully ; Henri Audrieu, propriétaire à Bavent ; Martine, maire de Brucourt ; Martine, maire de Varaville, et Bézières, propriétaire à Saint-Pierre-du-Jonquet, étaient poursuivis devant le juge de paix pour avoir refusé d'ouvrir la bouche de leurs bœufs, sur l'injonction du vétérinaire sanitaire chargé de la visite du marché de Caen. Tous ont été acquitté. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Septembre 1900   -   Chevaux effrayés par des automobiles.  -  Lundi, la dame Gervais, demeurant à Bavent, son jeune enfant et un domestique revenaient en voiture. Le long de la rivière, près du pont de Beneauville, le cheval fut effrayé par une automobile allant à toute vitesse. Il recula et tomba dans l'eau avec la voiture. On eut grand'peine à retirer Mme Gervais, dont l'état est grave. L'enfant et le domestique n'ont rien eu. 

Cet accident décidera-t-il l'administration à faire mettre en cet endroit une palissade qui protégera les voyageurs ? 

— Mercredi, à Falaise, une trentaine de voitures du 10e corps d'armée stationnaient sur la route de Caen, près de l'octroi. Le cheval de l'une d'elles effrayé par une automobile, s'emballa. La voiture fut renversée. Son conducteur, un réserviste, employé chez un marchand de porcs de Thorigny-sur-Vire, fut pris dessous. Il eut trois côtes  cassées. (Source  : Le Bonhomme Normand)  

BAVENT (Calvados)  -   L'École des Filles

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