1er Octobre 2024

UN SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS

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BELLOU

Canton de Livarot

Les habitants de la commune de Bellou sont nommés les  ...


Janvier 1833  -  En 1833, Bellou (327 habitants) absorbe Bellouet (161 habitants), au nord de son territoire. La commune de Bellouet correspond aujourd'hui aux hameaux du Bas de Bellouet et du Haut de Bellouet.

 

Août 1856   -   Le Tribunal correctionnelle.  -   Dans son audience du 29 juillet dernier, le tribunal de police correctionnelle de Lisieux a condamné la dame Crespin (Prudence), femme Troté, demeurant à Bellou, à six jours de prison, 100 francs d’amende, insertion de l’extrait du jugement dans les deux journaux de Lisieux « Le Lexovien » et « Le Normand », apposition de 12 affiches, dont une à la porte de son domicile, une à la mairie de Bellou, 5 à Livarot, 5 à Vimoutiers, le tout à ses frais, et aux dépens, pour avoir exposé et mis en vente au marché de Livarot, plusieurs pains de beurre présentant un déficit considérable.

— Dans la même, audience, la dame Botrel, femme Caillot, ayant exposé en vente, au marché de Livarot, du beurre n’ayant pas le poids désigné, a été condamnée à 5 francs d’amende et aux dépens. (Source : Le journal de Honfleur)

 

Novembre 1865   -   Un viol.  -  Jeudi, la justice s'est transportée à Bellou pour constater dit le Lexovien un viol commis sur une demoiselle âgée d'environ cinquante ans.

La gendarmerie amenait vendredi, et écrouait à la maison d'arrêt de Lisieux, un individu prévenu d'être l'auteur de ce crime. (l’Ordre et la Liberté)

 

Janvier 1868  -  Découverte d’un cadavre.  -  Le 13 de ce mois, à trois heures après-midi, le cadavre de la nommée Anne Montour, femme Bardel, âgée de 74 ans, cultivatrice à Bellou a été trouvé dans un champ labouré, à 1 500 mètres environ de son domicile. 

La levée du cadavre a fait connaître que la mort était le résultat d'une congestion cérébrale, occasionnée par l'ivresse et par le froid.

 

Mars 1873   -   Tirage au sort.   -  On procède en ce moment au Tirage au sort. Malgré l’établissement du, service militaire obligatoire, ce tirage à été maintenu. Il a, du reste, une certaine importance, les jeunes gens qui tireront les numéros les plus élevés ne feront qu'une année de service, où même six mois, s'ils passent avec succès, au corps leurs examens. Les jeunes gens qui tireront les numéros les plus bas, 1, 2, 3, etc……, jusqu'à un chiffre que le ministre à la guerre fixera suivant le nombre de soldats dont il aura besoin chaque année, feront cinq ans de service.

 

Mars 1873   -   Prenez garde à vous !   -  Nous rappelons à nos lecteurs qu'il est interdit d'introduire dans les colis expédiés par voiture ou chemin de fer, des lettres ou circulaires assujetties à des droits de poste. Et si nous faisons cette remarque, c'est qu'en ce moment l'administration des postes fait fouiller tous les colis à leur arrivée dans les gares de chemins de fer et dans les bureaux de voitures publiques. De nombreuses contraventions ont été constatées en ces derniers jours.

 

Avril 1873   -   Suicide.   -  Mardi, le nommé François-Désiré Roger, âgé de 28 ans, journalier à Bellou, canton de Livarot, a été trouvé pendu dans sa chambre. Il avait quitté sa maison quelques instants et était rentré dans sa chambre, en passant par une fenêtre. L'appartement dans lequel sa femme exerce son métier de tisserande est contigu à cette chambre, et aucun bruit n'est venu lui donner l'éveil de l'acte qui s'accomplissait à quelques pas d'elle. Ce n'est qu'en entrant dans sa chambre qu'elle aperçut le corps de son mari pendu auprès de son petit enfant qui dormait dans un berceau.

 

Mars 1880  -  Les voleurs d’église.  -  Dans la nuit de mercredi de la semaine dernière, des voleurs se sont introduits dans l’église de Saint-Paul-de-Courtonne, par la fenêtre de la sacristie, et ont dérobé environ 35 f.

— Vendredi, pendant la nuit, des voleurs ont pénétré dans l'église de Saint-Mars-de-Fresne et ont volé une somme d'environ : 60 fr. Ils sont entrés dans l’église en escaladant la fenêtre du chœur.

— Des vols ont eu lieu également dans les églises de Bellou et de Courson. A Bellou, les voleurs se s'ont introduits dans l'église en arrachant les barreaux en fer d'une fenêtre et s'en sont servis pour fracturer les troncs et les coffres.  

 

Février 1881  -  Un vieillard brûlé.  -  Mercredi, à Bellou, le sieur Moisy, âgé de 75 ans, propriétaire, qui était paralytique depuis plusieurs années, a été trouvé, par sa femme, mort dans l’âtre de la cheminée, où il était tombé, il avait le côté gauche entièrement brûlé, depuis la ceinture jusque et y compris la tête. On présume que la chute avait été causée par une attaque d'apoplexie.  

 

Mai 1888  -  Le drame de Bellou.  -  La fille Armandine Levillain, aujourd'hui âgée de 45 ans, était au service d'un vieillard nommé Beaulieu, propriétaire à Bellou, canton de Livarot. Pour la récompenser de ses bons et agréables services, Beaulieu avait laissé, par testament, tout son bien à sa servante. Devenue propriétaire, Armandine n'eut qu'à choisir des amis. L'un des premiers fut son voisin, un nommé Chedel, âgé de 50 ans, maçon de son état. Sous prétexte qu’elle avait peur dans le logis, ou Beaulieu était mort, elle faisait couché dans la maison, certain disent dans son lit, le maçon Chedel. Les choses allèrent assez bien pendant un bout de temps, mais Chedel avait comme ouvrier un nommé Desportes, âgé de 24 ans seulement. Il fit de l’œil à Armandine, ou elle lui en fit, le maître maçon s'en aperçut et en eut jalousie. 

Voulant sans doute se débarrasser de ce vilain jaloux, la fille Levillain acheta un revolver « pour sauver son honneur, » dit-elle, et, au milieu de la nuit, elle appela Chedel. Celui-ci se leva et il eut à essuyer plusieurs coups de revolver tirés par Armandine et un coup de fusil tiré par le jeune Desportes. De cette fusillade, Chedel récolta 3 balles, mais, heureusement, ses blessures, deux à la tête et une au poignet, sont sans gravité. La fille Levillain et son complice ont été arrêtés, et le blessé transporté à l'hospice de Livarot. L'acharnement qu'a mis la fille Levillain pourrait faire supposer qu'elle avait, pour vouloir ainsi se débarrasser de Chedel, des motifs graves que l'enquête nous fera probablement connaître.  

 

Octobre 1891  -  Menaces de mort.  - Le sieur Paul Lallier, briquetier à Bellou, passait, la nuit, sur la route de Livarot. Apercevant deux individus en train de braconner. Lallier leur dit : « Vous profitez de l'absence du garde, n'est-ce pas ? » Aussitôt, les deux braconniers s'approchèrent de lui et, le mettant en joue, un d'eux s'écria : « Je te vas f….. une balle dans l'oreille... » Lallier, à la vue du danger, ne répondit pas et continua tranquillement sa roule, mais les deux hommes l'escortèrent jusqu'à une certaine distance, proférant toujours des  menaces. Plainte a été portée à la gendarmerie.  (Source  : Le Bonhomme Normand) 

 

Septembre 1893  -  Mort accidentelle.  -  Le sieur Gustave Jonquet, 66 ans, propriétaire à Bellou, canton de Livarot, a été trouvé noyé dans sa mare. Cette mort ne peut être attribuée qu'à un accident, car le matin M. Jouquet vaquait à ses affaires comme à l'usage, et, au moment où sa petite-fille elle-même faisait la lugubre découverte, sa famille le croyait à travailler.  (Source  : Le Bonhomme Normand) 

 

Janvier 1895  -  Veau phénomène.   -  Une vache appartenant à M. Heutrais, propriétaire à Bellou, a mis bas un veau à deux têtes bien formées et bien séparées, un seul poitrail, deux pattes de devant et quatre pattes de derrière. Ce veau est mort, sa mère aussi. (Source  : Le Bonhomme Normand) 

 

Janvier 1895  -  La cocotte.   -  Le Bulletin sanitaire constate, pour la plupart des régions, une certaine amélioration en ce qui concerne la fièvre aphteuse. Les loyers signalés en Normandie se sont atténués sensiblement. (Source  : Le Bonhomme Normand) 

 

Janvier 1895  -  Mortalité des bestiaux.   -  Les cultivateurs qui voulaient assurer leurs bestiaux contre la mortalité étaient obligés de s'adresser a des compagnies parisiennes ou étrangères avec lesquelles les rapports étaient très difficiles. Nous apprenons qu'une assurance locale vient de se constituer. L'expérience de M. A. Porin qu'elle a désigné pour son directeur et l'honorabilité des membres du conseil d'administration sont des garanties de bonne administration qui lui amèneront, nous l'espérons, de nombreux adhérents. (Source  : Le Bonhomme Normand) 

 

Avril 1898  -  Vol d’une vache.  -  Une vache a été volée la semaine dernière chez le sieur Camus, cultivateur à Bellou. Le voleur doit avoir des complices, car on a trouvé dans l'herbage, une lettre chiffrée où il était dit que l'on comptait sur lui pour avoir le produit du vol. On suppose que le voleur s'est dirigé sur Vimoutiers. (Source  : Le Bonhomme Normand) 

 

Août 1900   -   Une vieille affaire.  -  En 1891, la dame Jonquet et le sieur Canet, à Bellou, près Livarot, avaient été victimes de vols dont l’auteur n'avait pu être découvert.

Le voleur vient de se faire connaître : c'est le nommé Auguste David, ouvrier maréchal à Fervaques, condamné, dernièrement, à 5 ans de réclusion et à la relégation pour vol.

À la prison de Beaulieu où il est en ce moment, David a raconté les circonstances, reconnues exactes, dans lesquelles il avait commis les vols, il a déclaré aussi avoir mis le feu à des meules de blé à Sourds, près Chartres (Eure-et-Loir). (Source  : Le Bonhomme Normand)  

 

Janvier 1901   -   Vol d’une vache.  -   On a volé, la nuit, dans un herbage, une vache de 400 fr. au sieur Baillargeau, propriétaire à Bellou, près Livarot. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Novembre 1901    -   Voleurs de vaches.  -   Le sieur Langevin, aubergiste à Caen, avait reçu une vache pour le sieur Gustave Lequest, boucher. Un rôdeur, Désire Madeleine, 30 ans, demeurant à Missy, qui se trouvait là par hasard, se présenta une heure après en disant qu'il venait chercher la vache du sieur Lequest. Sans défiance, l'aubergiste la livra, et quand le propriétaire vint la réclamer, il fut étonné d'apprendre qu'on était venu chercher la bête en son nom.

Heureusement que l'on put rattraper le voleur, qui avait pris la route de Bretteville. Il a été condamné à trois mois de prison.

— Etant domestique chez le sieur Pichard, cultivateur à Vieux-Pont, près Saint-Pierre-sur-Dives, Édouard Bazin, 28 ans, quittait brusquement sa place avec une servante de la ferme qu'il promit d'épouser, bien qu'il fût marié et père de plusieurs enfants.

N'ayant pas d'argent, Bazin vola une vache à son maître et, avec le prix, il mit sa maîtresse dans ses meubles, à Lisieux. Quand il fut à sec, Bazin fut voler une seconde, vache au sieur Pichard, mais il fut arrêté au moment I où il venait de la vendre sur le marché aux bestiaux de Caen. Il a été condamné à trois ans de prison.

— A la foire de Condé-sur-Noireau, Eugène Roullée, courtier en chevaux, avait vendu un cheval de 3 ans pour le prix dérisoire de 150 fr. à un marchand de chevaux des environs de Vire. La bête valait le double. L'acheteur, mis en éveil par ce bon marché et par les allures louches de son vendeur, prévint les gendarmes qui arrêtèrent Roullée.

Celui-ci dit que le cheval lui appartient, reste à le prouver.

— La nuit, on a dérobé une vache de 400 francs appartenant au sieur Célestin Mancel, propriétaire à Secqueville-en-Bessin, canton de Creully.

— Une vache appartenant au sieur Alphonse Marie, cultivateur à Bellou, canton de Livarot, a été volée la nuit. On croit que cette vache a été vendue au marché de Gacé. (Source : Le Bonhomme Normand)  

 

Août 1903  -  Grave accident.   -  Un journalier de Bellou, canton de Livarot, ayant pris son fusil pour tuer une pie, s'y est pris si malencontreusement que la charge atteignit son frère à l'épaule. Celui-ci est grièvement blessé. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Juillet 1908  -  Enfant noyée.  -  Samedi dernier à la petite Yolande Hamelin, âgée de 18 mois, trompant la surveillance de ses parents est tombée dans une mare. Quand elle fut retirée,  la malheureuse enfant avait cessé de vivre.

 

Avril 1913  -  La vengeance d'un mari évincé  -  Victor Lermier, 54 ans, journalier à Bellou, est père de huit enfants et passe dans la commune pour un bon homme. Au mois de février sa femme le quitta pour se placer comme servante chez M. Duros, propriétaire au même lieu, avec le gendre duquel elle est, paraît-il, en termes plutôt familier. Furieux, Lermier s'arma d'un fusil de chasse et en tira un coup dans la fenêtre de la chambre ou couchait sa moitié et il  fit voler en éclats tous les carreaux.  Poursuivi pour voies de fait sur sa femme, il est relaxé de ce chef, mais attrape 25 francs d'amende pour avoir brisé les carreaux de la fenêtre de M. Duros.  

 

Mai 1920  -  Fatale imprudence.   -   M. Lemesle, cultivateur à Bellou, canton de Livarot, voulant nettoyer un revolver, ne s'assura pas, par malheur, qu'une balle était restée dans le canon. Le coup partit et atteignit en pleine poitrine Mme Blandin, 84 ans. 

Malgré le grand âge de la blessée, et la gravité de la blessure, on espère que cet accident n'aura pas de suites fatales. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Septembre 1921  -   Crime ou accident ?   -  A la suite de renseignements recueillis tout dernièrement, le Parquet de Lisieux a fait arrêter le nommé Gaston Lemesle de Bellou, canton de Livarot.

Au mois d'avril de l'année dernière, Lemesle aurait soi-disant blessé accidentellement sa tante, la veuve Blandin, d'une balle dans la poitrine. Cette dernière est morte quinze jours après. Il paraîtrait maintenant, que c'est bien volontairement que Lemesle aurait blessé sa tante. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Décembre 1922   -  Le baptême du lait.   -   Inculpée d'avoir fraudé du lait en y ajoutant de l'eau, Mme Marie Bunel, 50 ans, cultivatrice à Bellou, canton de Livarot, est condamnée à 2 mois de prison avec sursis, 500 francs d'amende affichage et insertion du jugement. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Avril  1923  -  En lavant, une femme se noie.  -  Par suite d'un faux mouvement en lavant son linge à un lavoir, Mme Vve Godin, âgée de 72 ans, domiciliée à Bellou, tomba à l'eau.
Sa petite fille Mlle Louise Lavellie, qui était avec elle, appela aussitôt au secours. A ses cris, son père accourut et parvint à retirer de l'eau la pauvre femme qui ne donnait plus signe de vie. Des soins énergiques lui furent prodigués et la respiration artificielle immédiatement pratiquée. Mais, malgré tous ces soins, on ne put la ranimer.

 

Avril 1923   -  Noyade accidentelle.   -    En lavant son linge, Mme veuve Godin, 72 ans, à Bellou, canton de Livarot, a fait un faux mouvement et est tombée dans le lavoir. Sa petite fille, la jeune Lavieille, qui se trouvait près d'elle, appela son père qui accourut aussitôt. Trop tard, hélas ! la pauvre femme avait cessé de vivre. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Août 1923   -   Le feu.   -   Un bâtiment sis à Bellou, canton de Livarot, servant de grange à pressoir et de remise à M. Launay, propriétaire, a été complètement détruit par les flammes. Une meule de foin à M. Grudel, cantonnier, qui se trouvait à proximité a également été détruite. On ignore la cause de ce sinistre.

— L'imprudence de Ferdinand Barnier domestique qui, en allumant une cigarette a jeté son allumette enflammée dans des taillis, a provoqué un incendie. M. Tanquerel, meunier, à Malloué, canton du Bény-Bocage, a éprouvé un préjudice de 1 000 fr. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Août 1924  -  Inauguration du monument aux morts.  -  L'inauguration du monument aux morts de la commune de Bellou aura lieu dimanche prochain 24 août.
A 10 h. 15, service anniversaire à la moire des soldats morts pour la France, avec le concours de l'Harmonie Municipale de Livarot, sous la direction de M. Leroy. Allocution par M. le Curé-Doyen de Livarot.
A midi, banquet par souscription. Inauguration du monument sous la présidence de M. Laniel. conseiller général, et de M. Bisson, conseiller d'arrondissement. 

A 3 heures, à la mairie, réception des autorités et des sociétés de combattants. Défilé des sociétés, de l'Harmonie Municipale, des tambours et clairons de la Jeanne-d'Arc de Livarot.
A 3 heures et demie, vêpres des morts. Après le sermon départ en cortège pour l'inauguration.
Retour à la mairie en défilé et dislocation.

 

Mars 1925  -  Nécrologie.  -  On annonce la mort de M. Émile Louvet, maire de Bellou, décédé à la suite d'une longue et douloureuse maladie.

 

Décembre 1937  -  Les Prix Cognacq-Jay dans le Calvados.  - L'Académie française a attribué hier les prix de la dotation Cognacq-Jay. Voici les attributions qui concernent le Calvados :

Prix de 20 000 fr. : M. Maurice Gervais, cantonnier à Bellou, arrondissement de Lisieux ; 12 enfants vivants.

Prix de 8 000 fr. : époux Le Febvre Ernest, ouvrier d'usine, à Dives-sur-Mer ; 9 enfants.

— Époux Salaün Édouard, ouvrier d'usine, à Colombelles ; 9 enfants.

— Époux Vautier Séraphin, chauffeur, Tournières ; 9 enfant. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Mai 1942  -  Fait divers.  -  En travaillant un jardin chez M. Vincent à Bellou, M. Alphonse Maheut, 47 ans, ouvrier agricole à Notre-Dame-de-Courson, s'est noyé dans une mare voisine. L'enquête médicale a conclu à une mort accidentelle.

 

Avril 1948  -   Un motocycliste grièvement blessé.   -   A Bellou, lieu-dit le « Haut de Bellouet » Un cultivateur de la localité M. René Chérel, qui circulait à motocyclette, est entré en collision avec une auto du secteur électrique de Livarot pilotée par le chauffeur M. Bliaut. Assez grièvement blessé, M. Chérel a été transporté à son domicile. . (Source  : Le Bonhomme Libre)

BELLOU (Calvados)  -  L'Église

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