15 Octobre 2024 |
UN
SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS |
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BOUGY |
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Canton de Évrecy |
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Quelques jours auparavant, sept autres moutons avaient été étranglés dans le parc du château de Bougy, tout près des fenêtres de la maison. (source : L’Indicateur de Bayeux)
Mai 1856 - Cour d’Assises du Calvados. - Présidence de Monsieur Bouffey, conseiller. Audience du 5 Mai. — Le 27 février dernier, un malfaiteur, profitant de l’absence des époux Tostain, demeurant en la commune de Bougy, ouvrit la croisée de leur cuisine après en avoir brisé une des vitres, s’introduisit dans la maison à l'aide d’escalade et s’empara d’un couteau, d’un gilet et d’une montre en argent. Les époux Tostain portèrent leurs soupçons sur le nommé Duval (Constant-Marin), âgé de 41 ans, journalier, sans domicile fixe. Cet homme fut immédiatement poursuivi et il ne tarda pas à être arrêté. On retrouva sur lui les objets volés, aussi fut-il obligé de confesser sa culpabilité. Il
a été condamné à vingt ans de travaux forcés. (Source : Le
journal de Honfleur)
Juin 1861 - Le canton d’Évrecy. - M. le marquis de Bougy appartient à une ancienne et noble famille de Normandie ; il a épousé la fille du comte de Saint-Pol, oncle du général de ce nom, tué devant Sébastopol. Maire depuis 1856 de la commune de Bougy, pour laquelle il constitue à lui seul un bureau de bienfaisance, il a restauré à ses frais l'église de ce bourg, et c'est lui qui se charge, à l'exemple de son père, des dépenses nécessaires au culte. M. de Bougy consacre la plus grande partie de son temps aux grands travaux d'utilité publique, et surtout à l'agriculture. En 1855, un mémoire transmis par lui à l'Empereur sur le véritable stock des denrées alimentaires lui a valu les éloges du chef de l'État. En 1858, il a entrepris à ses frais huit cent trente mètres de route destinés à relier les voies départementales de Caen à Aunay et de Caen å Vire. La confection de ces routes a nécessité la construction de deux ponts, l'un de six mètres d'une seule arche, l'autre de trois mètres, et M. de Bougy n'a reculé ni devant la dépense qu'exigeait de pareils travaux, ni devant les difficultés qu'ils présentaient. A
ces titres, M. de Bougy peut en ajouter d'autres qui tiennent de plus
près à son caractère et à ses qualités personnelles. Nous ne citerons
que pour mémoire le dévouement avec lequel lui et son frère, le comte
Gabriel de Bougy, ont, en 1852, sauvé d'une mort certaine l’équipage
d'un bâtiment qui faisait côte par une violente bourrasque en avant du
havre de Carteret (Manche). ( Le Moniteur du Calvados )
Août
1861 - Cours d’Assises du Calvados. - Présidence
de M. le Conseiller Coqueret. 1er
Affaire : Badet
(Victor), 51 ans, journalier, demeurant à Bougy. Cet
homme, qui était accusé d'un attentat à la pudeur sans violence sur une
jeune enfant de neuf ans, a été 2e
affaire : Collet
(Michel-Jean-Baptiste), 60 ans, journalier à Bougy. Un crime semblable
était reproché à Collet. Il a également été acquitté. Défenseur,
Me
de Soussay. ( L’Ordre et la
Liberté )
Juillet 1862 - Par arrêté du 12 juillet. - M. le préfet du Calvados a nommé M. Friday (Pierre) adjoint de la commune de Bougy. (l’Ordre et la Liberté)
Juillet
1862 -
Les bibliothèques.
- Le
Journal général de l'Instruction publique contient un arrêté de M.
Rouland, en date du 1er juin, portant qu'il sera établi dans
chaque école primaire publique une bibliothèque scolaire. A cet arrêté
sont jointes une circulaire aux préfets et une autre aux recteurs,
relatives à l'organisation de ces bibliothèques. (l’Ordre et la
Liberté)
Octobre 1868 - Les chasseurs. - D'après une statistique récente, il y aurait en France un million de chasseurs, parmi lesquels près de six cents mille sans ports d'armes. Le nombre des procès de chasse, dans le dernier exercice, s'est élevé à 30 000. Il faudra bientôt des tribunaux spéciaux.
Octobre 1868 - Les archives. - D'après une circulaire de M. le ministre de l'intérieur, la garde et la conservation des archives doivent être confiées désormais, dans les communes rurales dépourvues de mairie, à l'instituteur secrétaire de mairie. On déposerait à la maison d'école les archives communales, qui n'en resteraient pas moins sous l'autorité et la surveillance directe du maire.
Octobre 1868 - La garde nationale. - Les maires de toutes les communes de France viennent de recevoir du ministre de la guerre la liste des hommes inscrits pour faire partie de la garde nationale mobile.
Avril
1879 -
Écoles de filles, répartition de secours. - Le Conseil, conformément
au rapport de M. le Préfet, répartit une somme de 2 500 fr. à prendre
sur le crédit de 5 000 fr. inscrit au budget de 1879, pour établissement
et entretien d'écoles de filles. Gavrus et Bougy, 210 habitants, Mme Rillier (Appoline), 3
élèves payantes, 14 gratuites ; 500 fr. de traitement en 1878 ;
indemnité personnelle accordée 50 fr.
Juin
1889. -
Incendie. -
La
nuit de samedi, à Bougy, un incendie, de cause inconnue, a consumé un
corps de bâtiments, soixante bottes de foin et une charrette, à la dame
Salles, brodeuse, et au sieur Polyte Delalande, cultivateur. Perte 10 500
fr. Assuré pour 5 500 fr.
seulement. ( Bonhomme Normand)
Février
1881
- Tentative d’assassinat.
- Mercredi soir,
à Bougy, un des
gardes particuliers de la comtesse de Saint-Pol, le sieur Jean Vachot,
était à faire sa ronde, quand au bord d'un bois, il aperçut deux
individus qui furetaient. Sur son injonction de lui dire leurs noms et sur
leur refus, Vachot voulut les arrêter. C'est alors qu'une rixe effroyable
Novembre 1891 - Est-ce la fin du monde ? - Inondations dans le midi de la France ; neige en Espagne et à Madrid ; choléra à Damas ; influenza à Londres et en Australie, et même en France, dans Maine-et-Loire ; tremblement de terre au japon, 3 000 victimes ; disette dans le nord de la Suède, sans compter les accidents des chemins de fer. (Source : Le Bonhomme Normand)
Novembre
1891 -
Cheval furieux. -
Mardi, à Bougy,
le sieur Vallée, fermier, voulait arrêter un cheval échappé. Celui-ci
lui a broyé le bras, et, après l'avoir piétiné pendant plus
de 3 minutes, l'a traîné sur une longueur de 25 mètres. L'état du
fermier est grave. (Source :
Le Bonhomme Normand)
Décembre 1893 - Chronique judiciaire. - Marie Noël, femme Caillet, 53 ans, journalière à Bougy, vol de javelles d'avoine, dans les champs au sieur Chapelle, à Évrecy, 15 jours, 16 fr. (Loi B.). Joséphine Féron, femme Tostain, 45 ans, journalière à Curcy, vol de javelles d'avoine dans les champs, au préjudice du sieur Vente, 2 mois, 16 francs. (Source : Le Bonhomme Normand)
Janvier 1896 - Tentative de meurtre. – Dimanche, le sieur Constant Legras, charpentier à Bougy, entendant du bruit du côté de son atelier, soupçonna que quelque rôdeur s'y était introduit. Legras se munit d'un parement de fagot et sortit. Il trouva un homme couché dans son atelier et, lui demandant ce qu'il faisait là, il ne reçut aucune réponse. Il saisit alors cet homme par la cravate, mais le rôdeur le frappa à la cuisse gauche d'un coup de couteau. Des voisins accoururent et arrêtèrent l'individu. C'est un nommé Louis Bandu, qui est âgé de 34 ans. (Source : Le Bonhomme Normand)
Janvier 1898 - Effet de la boisson. - Cette affaire remonte à quelques mois et cependant le tribunal ne s'en est occupé que jeudi. Le sieur Bordeaux, cultivateur à Bougy, avait envoyé ses domestiques chercher des voitures de bourrées. En revenant, on s'arrêta à boire et, pour rattraper le temps perdu, les domestiques voulurent se dépêcher, mais les chevaux d'une des voitures bordèrent et le petit valet, un nommé Plaisant, tomba si malheureusement qu'il fut écrasé net. Le grand valet, Amédée Vital, 25 ans, poursuivi pour homicide par imprudence, a été condamné à 80 fr. d'amende, son maître a été déclaré civilement responsable. (Source : Le Bonhomme Normand)
Soudain un éboulement se produisit. Heureusement que cet ouvrier se trouvait sur une chaise en fer, surmontée de barres de fer qui le protégèrent. Hubert appela du secours et demanda un prêtre, croyant qu'il ne serait pas retiré vivant. Pendant
que le curé d'Évrecy l'exhortait à espérer, le sieur Richard,
demeurant à Noyers, descendait dans le puits. Des secours ayant été
organisés, le malheureux jeune homme,
fut retiré du puits sans blessures graves, après neuf heures
d'ensevelissement. (Source : Le Bonhomme Normand)
Décembre
1900 - Sauvetage de Bougy.
- Aux noms
des courageux citoyens qui ont sauvé la vie au sieur Hubert, enseveli
dans un puits à Bougy, il convient d'ajouter celui du sieur Eugène
Marie, ouvrier chez le sieur Bence, mécanicien à Caen, boulevard
Bertrand. (Source : Le
Bonhomme Normand)
Mai 1903 - Pour s’amuser. - Julia Legrand, 14 ans, habite chez ses parents à Bougy, près Evrecy. C'est un petit monstre de cruauté. Il n'est pas de mauvais traitements qu'elle n'ait fait subir au petit Letellier, âgé de 4 ans « Pour jouer », dit-elle, un jour, elle introduisit le pauvre petit dans un sac et lui comprima le ventre avec une telle force qu'il est mort, quelques jours après, d'une péritonite. Un médecin avait d'abord soigné le petit Letellier pour la grippe, mais, après sérieux examen, le docteur Catois, médecin-légiste, a conclu à une mort déterminée par les mauvais traitements que la fille Legrand avait fait subir à l’enfant. Le tribunal a décidé qu'elle serait enfermée jusqu'à 21 ans dans une maison de correction. (Source : Le Bonhomme Normand)
Septembre 1904 - Incendies. - A Monts, d'une maison à la dame Lecornu, institutrice à Sermentot. Pertes, 2 000 fr. Assuré pour 1 600 f. —
Le feu à été mis, par malveillance, à une cabane, dans les
champs, appartenant à M. de Saint-Pol, à Bougy. Les deux jeunes
domestiques, qui y étaient couchés, ont failli être asphyxiés.
(Source :
Le Bonhomme Normand)
Janvier 1911 - Monuments historiques. - Classement des églises d’Amblie, de Maltot et du Château de Courseulles, M. Fernand Engerand, député du Calvados, a reçu, le 14 janvier 1911, une lettre de M. le sous-secrétaire d’État aux Beaux-arts, l'informant du classement comme monuments historiques des églises d’Amblie et de Maltot ainsi que plusieurs parties du château de Courseulles. M. Dujardin-Beaumetz ajoute : «La question du classement des églises de Tessel-Bretteville. de Villons-les-Buissons, de Bougy et d'Authie sera soumise à la Commission des Monuments historiques dans une de ses plus prochaines séances, et je souhaite que l'avis de cette assemblée me permette de répondre au désir que vous m'avez exprimé ».
Avril 1914 - Les monuments historiques du Calvados. - Voici, d'après le officiel, la liste des immeubles classés parmi les monuments historiques avant la promulgation de la loi du 31 décembre 1913, pour le département du Calvados : Biéville-sur-Orne : Église ; Bougy : Église ; Boulon : Portail de l'église ; Brécy : Château ; parties classées : le portail formant entrée de la cour, les façades du corps de logis à l'exclusion des intérieurs, les dispositions architectoniques et décoratives du jardin ; Bricqueville : Église ; Cagny : Chœur de l'église ; Campigny : Tour de l'église ; Cheux : Église ; Cintheaux : Église ; Colleville-sur-mer : Église ; Colombiers-sur-Seulles : Clocher de l'église, Menhir ; Condé-sur-Ifs : Église, Menhir dit " Pierre Cornue " ; Courseulles-sur-mer : Château, parties classées, le corps de logis principal, y compris la cheminée située au premier étage du pavillon de droite ; Creully : Église ; Cricqueville-en-Bessin : Église ; Dives : Église ; Douvres : Clocher de l'église ; Ducy-Sainte-Marguerite : Clocher de l'église ; Ellon : Clocher de l'église ; Ernes : Clocher de l'église ; Etreham : Église, etc...
Mars 1919 - Abandon d'enfant. - La semaine dernière, on découvrait à la porte des époux Laville, débitants à Bougy, un paquet contenant un nouveau-né, âgé de quelques jours seulement. Sur le maillot, se trouvait une enveloppe renfermant un billet de 10 fr. et une lettre signée Charlotte Laville. L'enfant, bien portant, a été confié aux soin d'une femme de la localité. ( Source : Le Moniteur du Calvados )
Juin
1926 -
Le flair des gendarmes.
-
Il y
a quelques
jours,
deux gendarmes
se présentaient
chez M.
Petit Kléber,
56 ans,
journalier
à Bougy,
pour lui
demander
certains renseignements. La
femme Petit
leur déclara
que son
mari était
absent
pour la
journée.
Les gendarmes
allaient
repartir
lorsqu'ils
aperçurent
le journalier
qui regagnait
son domicile.
A leur
vue, il
se débarrassa
d'une musette
dont il
était
porteur.
Après
lui avoir
exposé
l’objet
de leur
visite, les gendarmes se
rendirent
à l'endroit
où avait
été abandonnée
la musette.
Ils découvrirent
17 lignes
de fond
et une
truite
qui venait
de sortir
de l'eau.
Cette
découverte
valut
au
journalier
un
procès-verbal
pour
pèche
à
l'aide
Août 1926 - Demande de subvention. - Le Conseil général du Calvados, adopte les propositions de M. le Préfet pour la répartition de la somme de 5 600 francs, pour subventions aux communes en vue de les aider à acquitter les dépenses de réparation aux maisons d'école et aux mobiliers scolaires. La somme de 5 600 francs proposée se répartit ainsi qu'il suit : Bougy. — Travaux à l'école 400 fr.
Janvier
1938 -
Un dépassement
dangereux.
- Le 1er novembre 1937, Lavigne Léon, 47 ans, demeurant
à Bougy, conduisait sa voiture automobile sur la route de Caen à Villers, il heurta
à
Tracy-Bocage, en effectuant son dépassement, M. Chippey, qui circulait à bicyclette, sur
la droite de la chaussée. C'était
à la tombée de la nuit. M. Chippey était régulièrement éclairé
et les phares de la voiture étaient en code, Lavigne, assisté de Me Denieau.
a été condamné à 50 fr. d'amende.
(Source : Le Moniteur
du Calvados)
Février
1940 -
C’était
la guerre partout.
-
Le 2
septembre, date
dont les
générations conserveront
le souvenir,
deux cultivateurs
ne surent
pas profiter
des événements
pour faire
taire leur
animosité. Bien
au contraire,
il semble
que cela
les ait incités
à liquider
rapidement
leurs querelles. C'est
ainsi que
M. Paul
Duval, cultivateur
à Bougy,
reçut de
la part
de M. Léon
Clément, cultivateur
à Le Locheur,
un certain
nombre de
coups de
bâton sur
la figure
qui lui occasionnèrent
des blessures. Le tribunal correctionnel a eu à sanctionner ces faits. Il a condamné M. Clément à 48 heures d'emprisonnement et 25 francs d'amende. La victime, qui s'était portée partie civile et avait confié la défense de ses intérêts à Me Jouanne, a obtenu une somme de 500 francs au titre de réparations.
Juillet 1944 - Recherche des enfants perdus. - Il est créé à la mairie de Caen un service spécial destiné à la recherche des enfants perdus. Toute personne ayant un enfant égaré ou ayant recueilli un enfant abandonné est priée d'en faire la déclaration au Lycée Malherbe. ( Liberté de Normandie )
Juillet 1944 - Sur tous les fronts de guerre. - De Londres, 17 Juillet 1944. Samedi, les troupes britanniques ont repris Esquay-Notre-Dame et se sont emparé hier des villages de Bougy, de Gavrus et du hameau de Brettevillette ; elles ont occupé la cote 113, le point le plus élevé au nord d'Évrecy et à 1 km. de cette localité. Les Allemands ont tenté en vain de reprendre cette hauteur ainsi que la cote 112, perdue par eux ces jours derniers. Un violent barrage d'artillerie déclenché hier dans l'après-midi a désorganisé une attaque allemande, et une avance locale des Britannique a été constatée. Ils ont élargi leur saillant au-delà de l'Odon et consolidé leurs positions. Dans les milieux autorisés on déclare que ces opérations n'ont qu'un caractère secondaire. Au
nord-ouest de Saint-Lô, les Américains ont avancé d'un kilomètre. De
violents combats se livrent aux abords de Lessay. Dans cette région, les
SS ont transformé en
Octobre 1946 - Un suicide à Bougy. - Très affecté à la pensée d’avoir à se présenter devant le s Tribunaux pour se justifier d’une accusation portée contre lui, M. Aimé Vauvrecy, 58 ans, s’est pendu à son domicile. Dans une lettre adressée à son épouse, le défunt a renouvelé ses protestations d’innocence. (Source : Le Bonhomme Libre)
Janvier 1948 - Écrasé sous une remorque. - Venant de Caen, un cycliste, M. Michel Chenet, 16 ans, qui lutter contre la tempête pour regagner Sainte-Honorine-du-Fay, commit l'imprudence de s'accrocher à une remorque chargé de paille, près de Bougy. Pour une cause non déterminée, le jeune homme tomba sous le véhicule dont une roue lui écrasa la tête. (Source : Le Bonhomme Libre)
Janvier 1949 - Le Calvados à l'honneur. - Enfin ! Enfin ! Après Caen, Falaise, Lisieux, Vire, Saint-Aubin-sur-Mer, un nombre imposant de localités de notre département viennent de se voir discerner la Croix de Guerre que leur ont mérité leur martyre au cours des combats pour la libération. Voici l'éloquent tableau d'honneur que nous sommes heureux de publier en espérant que ceux de nos villages encore oublié vienne bientôt ajouter leurs noms au livre d'or de l'héroïsme. Les lettres placées entre les parenthèses indique lors de la citation : R : régiment ; D : division. Arrondissement de Caen Canton d'Évrecy. - Évrecy (A) ; Amayé-sur-Orne (D) ; Avenay (D) ; Baron-sur-Odon (R) ; Bougy (R) ; Rully (R) ; La Caine (R) ; Curcy (R) ; Esquy-Notre-Dame (D) ; Éterville (D) ; Feuguerolles-sur-Orne (D) ; Fontaine-Étoupefour (R) ; Gavrus (R) ; Goupillières (R) ; Hamars (R) ; Maizet (R) ; Maltot (D) ; Montigny (R) ; Neuilly-Le-Malherbe (R) ; Ouffieres (R) ; Prèaux-Bocage (R) ; Sainte-Honorine-du-Fay (R) ; Saint-Martin-de-Sallen (R) ; Tourville-sur-Odon (R) ; Troismonts (R) ; Vacognes (R) ; Verson (R) ; Vieux (D). (Source : Le Bonhomme Libre)
Mai 1949 - Sept Croix de Guerre. - Avec le cérémonial traditionnel, M. Villatte, secrétaire général de la Préfecture, a remis dimanche la Croix de Guerre aux communes de Neuilly-le-Malherbe, Bougy, Verson, Fontaine-Etoupefour, Baron et Tourville-sur-Odon. A Verson, le représentant du Préfet qui était accompagné du docteur Gosselin, conseiller général du canton d'Évrecy, remit la Médaille d'Honneur Départementale à M. Dubosq, ancien maire et inaugura la rue du Général- Leclerc. (Source : Le Bonhomme Libre)
Septembre 2000 - Classés aux monuments historiques. - Le château de Bougy (XVIIIe siècle) fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 25 septembre 2000. |
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Château de BOUGY (Calvados) |
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