Juin
1852 - Cour d'Assises du Calvados. - Audience
du 24.
Le
nommé Collerest, tout jeune homme, a volé à Branville (arrondissement
de Pont-l’Évêque) un fusil dans une maison où il était domestique et
plus tard à Angerville des vêlements, contenus dans un coffre qu'il
avait brisé. Vu son extrême jeunesse, le jury lui accorde des
circonstances atténuantes, la cour abaisse de deux degrés la peine
applicable et ne le punit que de deux ans de prison
—
Un nommé Bertrand, marchand d'ardoises à Caumont-l'Éventé (arrondissement de Bayeux), a fait et négocié en 1850 et
1851 onze faux billets à ordre et étant tombé en août de cette
dernière année a détourné une partie de son actif.
Il
avoue tous ces crimes, le jury se montre indulgent et la cour ne le
condamne qu'à trois ans d'emprisonnement. Cette audience a été la
dernière de cette longue session. (Source :
Le Journal de Honfleur)
Août
1854 - Cour d'Assises du Calvados.
-
Présidence de
M. Lemenuet de la Jugannière. Audience
du 4 août.
Le
4 juin dernier, André Viel, âgé de 44 ans, journalier, né à Reux,
demeurant à Bourgeauville, pénétra à l'aide d'escalade et d'effraction
dans une maison sise à Branville et occupée par le sieur Lepecq,
cultivateur. Dans une armoire, qu'il ouvrit à l'aide d'effraction, il
vola une somme de 50 centimes, puis, dans la cuisine, il prit un morceau
de pain, de la viande, du fromage, une bouteille d'eau-de-vie et un
mouchoir.
Viel,
qui a déjà deux fois été repris de justice, subira pour ces nouveaux
méfaits, la peine de 6 années de travaux forcés. (Source : Le Journal
de Honfleur)
Février
1858 - Le danger des armes à feu. - Le
20 de ce mois, le nommé Lecoq (Elie-Auguste), âgé de 19 ans,
charpentier, demeurant à Branville, était en marche de vendre à l’un
de ses camarades un fusil que celui-ci ne voulait acheter que sous la
condition que l'arme serait essayée en sa présence.
On
se rendit donc chez Lecoq. Celui-ci chargea l’arme et lâcha le coup,
mais l’explosion fit éclater le canon à la hauteur du tonnerre, et
Lecoq reçut dans la figure une blessure qui, heureusement, n’aura pas
toute la gravité qu'on pouvait craindre d’abord. Il en sera quitte pour
une cicatrice au visage. (Source : Le journal de Honfleur)
Janvier
1862 -
Un incendie. -
Le 3 du courant,
un incendie a réduit en cendres un bâtiment à usage de boulangerie et
de distillerie, appartenant au sieur Lecocq, propriétaire à Branville,
et dont le sieur Londais est fermier.
Le
bâtiment seul était assuré pour une somme le 400 fr. à la compagnie la
Mutuelle ; la perte s'élève à près de 2 000 fr.
La
cause de cet incendie est accidentelle et due à la mauvaise construction
de la cheminée. ( L’Ordre et la Liberté )
Janvier
1863 - Un accident de la route.
- Le
18 décembre, un pauvre vieillard infirme, marchant avec des béquilles, a
été renversé par une charrette sur la route conduisant de Banville à
Courseulles. La roue lui a passé sur le cou, et la mort a été instantanée.
(l’Ordre et
la Liberté)
Septembre
1886 -
Chiche. -
Depuis
quelque temps, la femme à Rendmal reprochait à son époux de ne plus
l'aimer et de n'être plus bon à rien.
—
Qui qu'tu dis ? répondait le mari... D'mande à toutes les filles d'Branville,
a t'diront que j'sieux un gas cailli.
—
Té ! reprenait la dame... T'es un propr' à rin !... Tu n's'rais pas
capable d'faire comm' Piqueterre, qui s'est j'té par la f’nêtre par
amour pour sa femme...
—
Tu cré ?... Eh ben ! tiens... Et sur ce, Rendmal sauta par la fenêtre,
et, en tombant, se foula le pied et autre chose itout.
Sa
femme le regrette. Car elle n'est pas plus avancée qu'avant, au contraire
!
Juillet
1893 -
Une
bande de voleurs. -
Une bande
de voleurs exploite, depuis quelque temps, les cantons de Dozulé et de
Mézidon. À Heuland, à Bourgeauville, à Branville, c'est du
cidre, ce sont des volailles qui disparaissent, A Cricqueville, les mêmes
malfaiteurs, sans doute, en l'absence d'une dame Vimont, propriétaire, et
de sa servante, sont
entrés avec effraction et sont partis en emportant cinq billets de 100
francs, deux montres en or, une chaîne et des bijoux, le tout évalué à
1 200 francs.
A
Cléville, des malfaiteurs se sont introduits dans la maison de M. Pigache,
maire, et ont fouillé les appartements, pendant que les maîtres et les
domestiques étaient à la messe. Ils n'ont trouvé que le porte-monnaie
de Mme Pigache, contenant 80 fr., et ont emporté les chaussures du fils
Pigache, également absent.
Des
malfaiteurs sont entrés dans la maison de M. Fontaine, demeurant à
Beaufour, et ont volé un billet de banque de 100 francs et quelques
bijoux d'une valeur d'environ 400 fr. Ils n'ont pu heureusement réussir
à forcer la serrure du coffre-fort. (source,
le Bonhomme Normand)
Juillet
1897 -
Vol d’argent. -
La
dame Petit,
32 ans, propriétaire à Branville, a été victime, à la gare de
Lisieux, d'un vol de 900 fr.
(source B.N.)
Mai
1899 -
Fichue rencontre. -
Henri
Goguet, 23 ans, soldat en permission en garnison à Versailles, avait
rencontré la femme Marie Tabarin, 44 ans, sur la route de Branville,
canton de Dozulé.
Tous
les deux se taquinèrent. « jeux
de main, jeux de vilain », se dirent les passants. Ça va drôlement
finir. En effet, à force de s'agacer, le jeune soldat et la femme furent
pris, devant plusieurs personnes, d'une folie amoureuse qui leur a valu à
chacun quatre mois de prison pour outrage public à la pudeur.
(source, le Bonhomme Normand)
Novembre
1899 - Morts subites. -
On a trouvé mort, dans le cimetière de Dives-surMer, le sieur
Armand Lame, 73 ans. L'infortuné avait été frappé d'une congestion
cérébrale pendant qu'il ratissait les allées du cimetière.
—
Le sieur François Varin, âgé de 66 ans, propriétaire à Branville,
près Dozulé, est mort subitement. (source, le Bonhomme Normand)
Décembre
1899 -
En revenant de l’école.
-
Le jeune Esnault, dont les parents demeurent à Branville, près
Dozulé, est entré avec ses camarades, en revenant de la
classe, dans une pièce où un âne était au piquet. Chacun des enfants
monta sur l’animal à tour de rôle, mais le petit Esnault, probablement
moins souple, est tombé, et, dans sa chute, s'est cassé un bras. (Source :
Le Bonhomme Normand)
Décembre
1900 - La grève
du pot. -
Le personnel du
château de Branville, canton de Dozulé, s'est mis en grève, parce que
le régisseur leur refusait du cidre en disant
qu'ils pouvaient se désaltérer avec l'eau du ciel qui tombe depuis un
mois. (Source :
Le Bonhomme Normand)
Mars
1901 -
Attentats à la pudeur. -
Les
nommés Aimable Gilles, charpentier ; Pierre Fouques, domestique, tous
deux à Sept-vents, et Louis Godefroy, charpentier à Cahagnes, ont
été arrêtés, à la suite d'une enquête sur un attentat à la pudeur,
à Sept-vents.
—
Pris en flagrant délit d'attentat à la pudeur avec violences, Gustave
Ozerais, domestique, à Branville, a été mis en état d'arrestation par
la gendarmerie de Villers-sur-Mer. (Source : Le Bonhomme Normand)
Juillet
1904 -
tué par une automobile.
-
M. Ernest Sorel, fermier à Branville, près Dozulé, conduisait,
sur la route de Pont-l’Évêque, une voiture attelée d'une jeune
jument.
L'automobile
de M. Bertrand, demeurant à Houlgate, arrivant à toute vitesse derrière
la voiture, la jument fit un saut qui renversa l'attelage. Le conducteur,
projeté en l'air avec violence, retomba sur la tête. Le chauffeur le
releva, le ramena chez lui et chercha un médecin, mais le pauvre Sorel
mourut dans la nuit. Il laisse six enfants. (Source :
Le Bonhomme Normand)
Novembre
1904 -
Fête. -
Dimanche 6 novembre, grande
fête et l'occasion de la remise de l'écharpe à M. le maire.
Illumination, banquet, retraite aux flambeaux et feu d'artifice fourni par
la maison du Bonhomme. (Source : Le Bonhomme Normand)
Juillet
1916 -
Les
faiseuses d’anges.
-
Une femme Letorey,
27 ans, gardienne d'herbages à Branville, s'étant trouvée enceinte,
sans doute contre son gré, eut recours aux bons, ou plutôt aux
mauvais offices d'une femme
Lefort, 30 ans, journalière à Cricqueville, pour la tirer de cette
situation, qu'elle jugeait encombrante. La femme Letorey fit des
confidences, les langues marchèrent et la justice eut vent de l'affaire.
Malgré les aveux de sa complice, la femme Lefort nia toute participation
au crime. Les deux accusées ont une mauvaise réputation, le femme Lefort,
notamment, passe, dans la contrée, pour une professionnelle du genre
d'opérations qu'on lui reproche. Elles ont été condamnées : la femme
Lefort, à deux an de prison ; femme Letorey, à un an de la même peine.
Avril
1921 -
Visite domiciliaire. -
Mme
Lacroix, propriétaire à Branville, canton de Dozulé, avait quitté son
domicile pour aller promener ses enfants. Quand elle revint, elle trouva
le grillage, d’une fenêtre arraché et deux carreaux cassés. Elle
monta à sa chambre et constata que l'armoire avait été visitée. Une
somme de 1 400 fr., et
une montre en or avaient disparu.
Le
cambrioleur devait bien connaître les habitudes de la maison. On le
recherche. (Source : Le Bonhomme Normand)
Novembre
1922 -
Une scène violente. -
Un vacher, Albert Dupré, 33 ans, furieux des observations que
lui faisait M. Boulard, régisseur de ferme, à Branville, canton
de Dozulé, s'arma d'un bâton, en frappa le régisseur, lui écorcha la
figure et le mordit à la main.
Dupré
prétend qu'il il a fait que se défendre, mais les témoins de cette
sauvage agression, l'accusent formellement. (Source : Le Bonhomme
Normand)
Avril
1924 -
Mort accidentelle.
- Les gendarmes
ont découvert
sur la
route de
Touques à
Beaufour,
le cadavre
de M.
Langlois François,
65 ans,
domestique à la
ferme des
Chartreux à
Branville. Des
voisins ont
aperçu M.
Langlois quelques
instants avant
l'accident monté
sur un
mulet avec
un chargement
de quelques
bottes de
foin. Tout
porte à
croire que
c'est par
suite
d'un brusque
écart de
l'animal que
la victime
fut projeté
à terre
avec violence
et ne put
se relever.
Le médecin,
mandé en
hâte, ne
put que
constater le
décès.
Juillet
1925 -
Inauguration du service des eaux.
- Cette fête
sera célébrée
à Branville,
le dimanche
9 août,
sous la
présidence de
M. Chéron,
assisté de
M. Flandin,
député, et
du sous-préfet
de Pont-l'Évêque.
La fanfare
d'Houlgate prêtera
son concours.
A
12
heures, à la
Marie, réception
des autorités ;
à 12
h. 30,
banquet ; à
15 heures,
inauguration
du service
des eaux ;
à 16 heures,
course cycliste
; jeux nombreux
et fête
foraine.
A 21 heures,
retraite aux
flambeaux suivis
de feu
d'artifice et
bal.
Septembre
1926 -
Inauguration de vitraux. -
Une
très jolie
fête religieuse
a marqué
à Branville
l'inauguration
de cinq
fenêtres
refaites
dans leur
style primitif.
A
la messe,
un groupe
de jeunes
filles dirigé
par Mlle
Lepecq,
chanta
le
« Kyrie
»,
« le Sanctus »
et
« l'Agnus
Dei »
de Gounod.
Mgr Leboucher,
qui présidait
cette fête,
prononça
un magnifique
discours.
Aux
vêpres,
on put
entendre
la prière
de l'abbé
Perreyre,
chantée
par Mme
Dubosq.
Les chants
liturgiques
furent
donnés
par un
jeune enfant,
Gabriel
Desrues,
dont le
talent
précoce
est plein
de promesses.
La
coupe
tendue
par Mmes
C. Lepecq
et Y.
Le Bars
fut largement
remplie.
Cette fête
fut pour
la paroisse
une bien
belle journée,
dont le
souvenir
reste ineffaçable
dans la
mémoire
de tous
les paroissiens.
Juillet
1937 - Après
avoir chanté la messe des morts, il se pend….
-
M. Léon
Coupat, 65 ans, journalier, s'est pendu chez M. Filleul, ouvrier agricole,
auquel il avait demandé l'hospitalité pour une nuit. Durant celle-ci,
Coupat, qui était ivre, n'avait cessé de chanter la messe des Morts. On
ignore les motifs de
ce suicide. (source
le Moniteur du
Calvados)
Août
1937 -
Une grave collision. -
Une
collision s'est produite sur le territoire de Branville, le 20 août, vers
20 h. 30, dans les circonstances suivantes :
M.
René Schwob, demeurant à Paris, 250, rue Saint-Denis, conduisait sa
voiture automobile à une certaine vitesse quand, après le carrefour de
Branville, en face de la forge de M. Philippe, il entra en collision avec
une voiture hippomobile venant en sens inverse et conduite par M. Fauvel
Ernest, cultivateur à Annebault.
Le
choc fut très violent. Les brancards de la voiture hippomobile cassèrent
et l'un des montants se brisant sur l'extrémité gauche du pare-brise fit
ricochet sur la glace et M. Schwob fut très grièvement blessé à la
tête et dut être transporté d'urgence à la clinique Saint-François de
Trouville où le docteur Ebrard diagnostiqua une fracture du crâne.
La
gendarmerie de Villers enquête. (source
le Moniteur du Calvados)
Mai
1938 -
Une automobile Fauche deux fillettes.
- Hier,
vers 11 h. 30, la classe terminée, les enfants sortaient de l’école.
Deux fillettes : deux sœurs, les petites Simone et Lucienne Leroy,
âgées de 8 ans et 6 ans 1/2, se tenant par la main, traversaient la
route de Lisieux à Cabourg, qui passe devant les bâtiments scolaires.
Une
automobile survint, conduite par M. Lefebvre, âgé de 73 ans,
propriétaire à Bourgeauville. Le conducteur, qui, d'ailleurs, n'a pas
une très bonne vue, vit-il trop tard les fillettes qui, après avoir
traversé la chaussée, allaient monter sur le trottoir ? Il ne put, en
tous cas, éviter la rencontre.
Projetées
brutalement sur le sol, les deux fillettes furent immédiatement relevées
par des témoins de l'accident et transportées à l'école de Branville.
Malgré
les soins empressés que lui prodigua Mme Bernard, institutrice, la petite
Lucienne succomba à une fracture de la colonne vertébrale. Sa sœur, sur
l'ordre du docteur Le Herissey, de Villers, fut transportée à l'hôpital
de Pont-l'Évêque. Le fémur gauche brisé et souffrant de multiples
contusions, elle est dans un état grave.
Le
corps de la petite Lucienne a été déposé à l'école de Branville, où
une salle a été transformée en chapelle ardente.
Ce
terrible accident a causé une vive émotion à Branville, où les époux
Leroy, ouvriers agricoles, sont très estimés, ils avaient quatre enfants
et la mère en attendait un cinquième. (source le Moniteur du
Calvados)
Février
1939 -
Un cambrioleur casse une jambe à celui qui voulait l’arrêter.
- M.
Pain Joseph, épicier-débitant à Branville, eut affaire dans son débit,
le 4 février à un individu
suspect qui se fit servir une consommation et la régla. Puis voyant le
patron s’éloigner, l’individu tenta de fouiller le tiroir-caisse.
Mais, à ce moment, M.
Pain survint et surprit l'individu dans son travail. Ce que voyant,
l'homme tenta de s'enfuir, mais M. Pain alla chercher main-forte auprès
d'un voisin, M. Philippe, qui empêcha le voleur de quitter les lieux.
L'homme,
pour se venger, prit M. Philippe par les deux épaules et lui asséna un
violent coup de tête en pleine figure, puis un coup de pied à la jambe
gauche.
M.
Philippe, chancelant sous le choc, tomba à terre, et fut relevé avec la
jambe cassée. Le docteur Bougault, de Dozulé, mandé d'urgence, vint
donner ses premiers soins au
blessé, qu'il fit transporter à l'hôpital de Pont-l’Évêque.
Pendant
ce temps, le voleur prenait la clef des champs. Mais les gendarmes de la
brigade de Villers alertés, vinrent aussitôt, et furent assez heureux
pour surprendre le délinquant au moment où il cachait une musette
remplie des objets volés. Il fut immédiatement mis en état
d'arrestation et déclina son identité, c'est un certain Leclerc Armand,
âgé de 37 ans, journalier, demeurant à Glanville.
Transféré
à la maison de sûreté de Villers, l'individu profita d'un moment de
liberté dans sa cellule pour tenter l'évasion. Pour ce faire, il
réussit à desceller les barres de fer de la fenêtre, à se couler
au dehors et à franchir le corridor. Il n'alla pas plus loin, car il fut
surpris dans son travail d'évasion et immédiatement remis en geôle. II
a été transféré à la maison d’arrêt de Pont-l’Évêque. (Source
: Le Moniteur du Calvados)
Février
1940 -
Découverte macabre.
-
M.
Cointe,
journalier,
demeurant
à
Saint-Vaast-en-Auge,
qui
se
rendait
à
son
travail,
a découvert,
dans
un
fossé
du
chemin
de
grande
communication
n°
281,
à
Branville,
le
corps
de
M.
Émile
Lecarpentier,
âgé
de
60
ans,
ouvrier
agricole,
domicilié
à
Saint-Martin-aux-Chartrains.
Prévenu immédiatement,
M. Lepecq,
maire de
Branville,
fit mander
le docteur
Leherissey,
de Villers,
qui ne
put que
constater
le décès,
dû vraisemblablement
à une
congestion
provoquée
par le
froid.
Septembre
1942 - Pour les prisonniers. -
A Villers-sur-Mer, le Comité des Oeuvres de guerre du secteur de Villers,
Auberville, Branville, Saint-Pierre-Azif et Saint-Waast-en-Auge
organise pour le dimanche 27 septembre, à 14 h., au jardin public (en cas
de pluie, garage Delavenne, rue de Dives), une grande vente aux enchères
avec kermesse, loteries, jeux divers, concours de costumes normands, il y
sera vendu de tout... offert par la population du secteur, depuis les
produits complets de la ferme en partant de la terre, en passant par
l'étable, la basse-cour, le grenier, les arbres fruitiers, et également
des objets de commerce. Buvette, pâtisserie. Entrée gratuite, garage
pour vélos.
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