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UN SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS

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BREUIL - en - AUGE

Canton de Blangy-le-Château

Les habitants de la commune de Le Breuil-en-Auge sont des ...

Avril 1931  -  Subventions.  -  La demande présentée par la commune du Breuil-en-Auge, en vue d'obtenir une subvention du département pour l'acquisition d'une moto-pompe.

Considérant que ladite commune, ne possède pas un corps de sapeurs-pompiers régulièrement organisé, qu'elle ne peut, de ce fait, prétendre au concours financier de l'État pour l'achat  de matériel d'incendie, regrette de ne pouvoir accueillir favorablement la demande qui lui est soumise.

En réponse : M. Duchesne-Fournet, précise, qu’il s'agit de l'achat, non pas d'une moto-pompe, mais d'une pompe à bras. La commune du Breuil-en-Auge a réalisé cet achat à bon compte, mais il lui faut maintenant acquérir le matériel nécessaire au fonctionnement de la pompe, et c'est pour payer cette acquisition supplémentaire que la commune  demande qu'une  subvention lui soit accordée sur le crédit de 2.000 francs inscrit au budget départemental pour cet objet.

 

Janvier 1932   -   Un puisatier victime d’un grave accident.   -   M. Ernest Hamel, puisatier à Littry, qui travaillait à la réparation d'un puits, chez M. Lebreton, au Breuil-en-Auge, a été victime d'un grave accident de travail.

Alors qu'il se trouvait dans le puits, à une certaine profondeur, un seau rempli de matériaux qu'un de ses ouvriers lui descendait, s'est brusquement détaché par suite de la rupture de la chaîne et est tombé sur M. Hamel. Projeté brutalement au fond du puits, ce dernier fut grièvement blessé et remonté après de nombreuses difficultés.

Le docteur Verney, appelé aussitôt prodigua ses soins à M. Hamel, qui avait un genou démis et plusieurs côtes brisées et se trouve, de ce fait, immobilisé pendant de longues semaines. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Mai 1936  -  Obsèques.  -  La semaine dernière, ont été célébrées, au Breuil-en-Auge, les obsèques de M. Arthur Blondel, décédé à Trouville dans sa 80e année.

M. Arthur Blondel avait été pendant longtemps propriétaire d'une importante fromagerie, au Breuil et du château voisin. Il avait été maire de la commune pendant 35 ans. Il était chevalier du Mérite Agricole et officier d'Académie.  

 

Décembre 1936  -   Les fluctuations du chômage en France.  -  Suivant les chiffres donnés par le service central de la main d'œuvre, pour la semaine du 16 au 21 novembre, il y avait, à cette dernière date et pour toute la France, 408 101 chômeurs, 308 824 hommes et 99 277 femmes. La semaine précédente, le total était de 406 444 et pendant la semaine  correspondante de l'année dernière de 404 228. Il y a donc, pour la semaine du 16 au 21 novembre 1936, une augmentation de 1 657 chômeurs sur la semaine précédente et de 3 873 sur l'année dernière. (Source : Le Moniteur du Calvados)

 

Décembre 1936  -   On demande des ouvriers pour les mines de fer de l’Est.  -  En vue de procurer aux mines de fer de l'Est, situées dans les départements de la Meurthe-et-Moselle et de la Moselle, la main-d’œuvre qui leur manque, l'Office Départemental de placement et de main-d’œuvre, rue Georges-Lebret, 9, à Caen, se tient pour tous renseignements jusqu'au 12  décembre courant, à la disposition des travailleurs en chômage français ou étrangers, âgés de 21 à 40 ans, et désireux de travailler dans ces  mines.

Sont aptes au travail de chargeur, tous les carriers, terrassiers et manœuvres vigoureux.

Ne seront acceptés que les ouvriers auxquels auront été reconnues les aptitudes physiques nécessaires.

Salaires journaliers pour les catégories recherchées : mineur: 38 à 45 frs. ; chargeur de minerai : 32 à 40 francs.

Les frais de voyage sont en principe à la charge de la Mine. (Source : Le Moniteur du Calvados)

 

Mai 1937  -  Tuée par l’automobile du constructeur Bugatti.    Samedi, vers 19 heures, à la suite d'un dérapage, une automobile conduite par M. Ettore Bugatti, qui se  dirigeait vers Deauville par la route nationale n° 813, a happé une jeune fille, Mlle Antoinette Denise, 17 ans, domestique chez M. Grancher, au Breuil-en-Auge, qui marchait sur le bord de la route.

Atteinte dans le dos, la malheureuse jeune fille fut projetée à une dizaine de mètres et tuée sur le coup. Son corps fut transporté chez ses parents, à Blangy-le-Château, où un médecin constata que la mort était due à une fracture du crâne.

La voiture continua son dérapage sur plus de 40 mètres, faucha un poteau télégraphique et s'arrêta enfin sur le talus. M. Bugatti et sa fille sont sortis indemnes de l'accident.

Les gendarmes de Blangy-le-Château, M. Thepault, procureur de la République à Pont-l'Evêque et M. Panel, expert judiciaire de la Cour d'appel de Caen, se sont rendus sur les lieux.

C'est le premier accident arrivé à M. Bugatti depuis quarante ans. (Source : Le Moniteur du Calvados)

 

Octobre 1938    -  Jugement rendu.  -   M. Bugatti, le constructeur d'autos bien connu, qui, le 22 mai de l'an dernier, avait fait une embardée pour éviter un camion et du même coup avait fauché, sur le bord de la route, une jeune fille, Mlle Denis, la tuant sans qu'elle eut le temps de se garer, s'entend condamner à 100 francs d'amende pour le délit et à 5 francs pour la contravention. (Source : Le Pays d’Auge)

 

Janvier 1939   -   Un voyageur imprudent sérieusement blessé.   -  M. Jules Eugène, 20 ans, travaillant chez M. Chéramy, hôtel de la Gare, a été victime d'une imprudence  dans les circonstances suivantes :

Il avait pris l'autorail se dirigeant vers Pont-l'Évêque et l'automotrice arrivait à une vingtaine de mètres de la gare du Breuil. Croyant l'arrêt presque complet, l'infortuné jeune homme ouvrit la portière à contre-voie et sauta sur le ballast et non sur le quai. Il se blessa grièvement à la jambe et à la tête.

Immédiatement relevé, grâce à l'appel au secours de son frère qui se trouvait dans la convoi, il fut mis dans l'autorail et dirigé sur l'hôpital de Pont-l'Évêque où l'on constata qu'il était atteint d'une fracture du tibia et des contusions à la tête. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Avril 1939   -   Un cycliste se jette sur une automobile.   -   Mardi, vers 19 h., M. Desombre, demeurant au Breuil-en-Auge, revenait à bicyclette du Torquesne, lorsqu'en arrivant au carrefour formé par la route du Torquesne et la nouvelle route de Lisieux, il se trouva face à face avec la voiture de M. Barbien, ébéniste à Lisieux, qui se dirigeait vers Pont-l'Évêque, et se jeta littéralement sur le véhicule.

Sur le coup, M. Desombre resta étendu sur la chaussée, perdant son sang abondamment. L'automobiliste se porta à son secours, aidé d'un témoin.

La gendarmerie de Blangy-le-Château fit transporter le blessé à l'hôpital de Pont-l'Évêque, où il reçut les soins du docteur Bureau, qui diagnostiqua une fracture du crâne. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Juillet 1939  -  Une auto fauche un poteau électrique.  -  Vers 22 heures, M. Desmazières, âgé de 50 ans, marchand de porcs, demeurant à Coquainvilliers, se rendait en automobile dans cette dernière commune, quand, par suite d'une embardée la voiture fit plusieurs mètres sur le  coté gauche de la route et vint faucher un poteau électrique. 

Projeté dans le pare-brise, un compagnon de route de M. Desmazières, M. Albert Hays, ouvrier agricole, demeurant à Fauguernon, a été grièvement blessé à la tête.  (Source  : Le Moniteur du Calvados)  

 

Août 1939  -  Un crime crapuleux     En revenant de traire, vers 17 h., Mme Marthe Guyet, domestique au service de M. Philippe Bellanger, 59 ans, cultivateur au Breuil-en-Auge, lieu dit « Le Mont-Massu », a découvert son patron étendu inanimé dans la cuisine de la ferme. M. Bellanger portait à la tête une profonde blessure d'où le sang s'échappait en abondance. Sur une table voisine se trouvaient trois verres et une miche de pain.

Un voisin, prévenu par Mme Guyet, affolée, alerta la gendarmerie qui avisa le Parquet de Pont-l'Évêque.

L'enquête paraît établir que M. Bellanger a été attaqué et dépouillé de son portefeuille contenant 3 000 francs environ par l'un de ses anciens employés, Maurice Guénet, 38 ans, ex-garde républicain, révoqué qu'il avait fait condamner pour vol et qui, paraît-il, avait juré de se venger. Guénet aurait été accompagné par un autre ancien ouvrier du cultivateur, Marcel Blot, 27 ans, dont il s'était séparé à la suite d'une querelle d'intérêts.

M. Bellanger, dont l'état est grave, a été transporté à l'hôpital de Pont-l'Évêque. (Source  : Le Moniteur du Calvados)  

 

Août 1939  -  Après la sauvage agression du Breuil-en-Auge.     Contrairement à ce qui a été annoncé vendredi matin par certains journaux, M. Philippe Bellenger, la victime du drame du Breuil-en-Auge, n'est pas décédée. M. Bellenger souffre d'une fracture du rocher avec perforation du tympan. Une amélioration légère s'est produite dans son état.

L'enquête pour découvrir les meurtriers continue. (Source  : Le Moniteur du Calvados)  

 

Août 1939  -  Un car fonce sur la terrasse d’un café.    Vers 20 heures, un autocar de Verdun suivait la route nationale 179, entre Pont-l’Évêque et Lisieux. Alors, qu'il traversait le bourg de Breuil-en-Auge, en direction de Lisieux, et qu'il allait aborder le croisement de la route nationale avec le chemin qui descend de l'église du Breuil, une voiture particulière, conduite par M. Édouard Julien, propriétaire au Breuil-en-Auge, obligea le chauffeur du car à donner un brusque coup de volant pour éviter la collision.

Ce faisant le car monta sur le trottoir devant le café-restaurant du Dauphin et faucha le matériel qui s'y trouvait, dont plusieurs caisses de fusains, et un pylône électrique, sur lequel il s'arrêta. Il n'y eut aucun blessé, mais les dégâts matériels son importants.

L'avant du car a été embouti dans sa partie inférieure. Il a été sorti de sa fâcheuse position par un garagiste. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Août 1939  -  Le drame de Breuil-en-Auge.     M. Maurice Bellenger, cultivateur au Breuil-en-Auge, est décédé à l'hôpital de Pont-l’Évêque, des suites des blessures reçues lors de l'attentat dont il a été victime mercredi matin.

L'autopsie a été pratiquée hier par le docteur Maurin, médecin-légiste à Pont-l'Évêque.

La gendarmerie de Blangy-le-Château a arrêté le nommé Marcel Blot, ouvrier de culture, l'un des auteurs présumés du crime du Breuil-en-Auge.

Après un long interrogatoire qui finit tard dans la soirée, Blot a été gardé à vue pour permettre les recoupements d'usage. La gendarmerie, de concert avec la police mobile de Rouen, poursuit activement l’enquête. (Source  : Le Moniteur du Calvados)  

 

Août 1939  -  Le crime du Breuil-en-Auge provoque l’arrestation d’un odieux individu.     A la suite du meurtre commis le 2 août, sur la personne de M. Bellenger, la gendarmerie de Pont-l'Évêque a, ainsi que nous l'avons relaté, arrêté un ancien employé de la victime, Maurice Blot.

Or, si Blot ne semble pas à ce jour avoir pris une part active à l'affaire du Breuil-en-Auge, l'enquête révéla qu'il s'était livré sur la fille de son amie, la jeune Ernestine Barreaux, âgée de 12 ans. à un odieux attentat.

Conduit devant le juge d'instruction. M. de Monti-Rossi, Blot, en présence de témoignages accablants, s'est reconnu coupable de l'attentat qui lui était reproché.

Blot a été écroué à la maison d'arrêt de Pont-l’Évêque. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Décembre 1939  -  Accident de la circulation.  -  Vendredi, dans la matinée, Mme Kerné, commerçante, demeurant à Pont-l'Evêque, qui circulait en automobile sur la route de Lisieux à Pont-l'Evêque, fut surprise, au Breuil-en-Auge, par l'arrivée inopinée d'une voiture débouchant du chemin de la Gare. Pour éviter la collision, Mme Kerné donna un brusque coup de volant qui projeta l'automobile dans le mur de la propriété de M. Leproux, bordant la route nationale.

Aucun blessé fort heureusement, mais les dégâts matériels sont importants.

 

Août 1939  -  L’un des auteurs présumé du crime du Breuil-en-Auge a été arrêté.     Sur mandat du Parquet de Pont-l'Evêque, des inspecteurs de police ont procédé à l'arrestation de Maurice Guénot, 37 ans, ancien garde républicain, garçon boulanger, accusé du meurtre de M. Bellanger, trouvé assommé le 5 août dernier dans sa ferme, au Breuil-en-Auge, et mort des suites de ses blessures.

Guénot, qui a été retrouvé à la cité-refuge de l'Armée du Salut de la rue Cantagrel, nie être l'auteur du crime. Il a été mis à la disposition du Parquet de Pont-l'Evêque.  (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Septembre 1939   -   La dernière dépêche de 15 h.      Le gouvernent a décrété la mobilisation générale et l'état de siège. Le premier jour de la mobilisation est le samedi 2 septembre. Le Parlement se réunira demain. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Septembre 1939   -   Un enfant perdu errait sur la route.   -  Un enfant de deux ans, de chevelure blonde, habillé d'un pull-over jaune et d'une culotte bleue, portant des chaussettes blanches et des souliers bas vernis noirs, a été trouvé errant sur la route de Norolles. S'adresser au bureau de Postes du Breuil-en-Auge. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Septembre 1939   -   Des journaux saisis dans le Calvados .     Les journaux : L'Enchaîné et La Normandie Populaire ont été saisis par les gendarmes et la police dans les dépôts du Calvados. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Février 1940  -  Un vrai mariage de guerre.  -  Un mariage a étélébré au Breuil-en-Auge, dans l'intimité par M. l'abbé Duclos, curé de la paroisse, actuellement maréchal des logis d'artillerie aux armées.
Il bénissait Mlle Isabelle Herrier, fille de M. Herrier, adjoint faisant fonctions de maire, et M. Henri Ehrhart, instituteur actuellement sous-lieutenant d'infanterie de forteresse aux armées. Le mariage civil avait été célébré par M. Hébert, maire du Breuil-en-Auge, mobilisé le lendemain comme brigadier d'artillerie aux armées.
Les fonctions de secrétaire de mairie étaient remplies pa
r le capitaine Chabassol, des Chasseurs alpins. Le témoin de la mariée était son frère, M. Gabriel Herrier, caporal dans un régiment de pionniers, et celui du marié, son beau-frère, M. Foessel, sergent-chef.  

 

Mars 1940  -  Giboulées de mars.  -  Une violente tempête s'est abattue sur la région de Pont-1'Evêque dans la journée de jeudi. Des rafales de vent, accompagnées de pluie et de grêle se succédèrent sans arrêt.

On ne signale aucun accident sérieux. Au Breuil-en-Auge pourtant, la chute d'un sapin sur une ligne à haute tension provoqua une interruption de courant à laquelle les services intéressés remédièrent le plus rapidement possible.

 

Mai 1943   -   Faits divers.   -    Dans le seul mois de mars, 47 bovins ont été abattus clandestinement chez M. C………, cultivateur au Breuil-en-Auge, avec la complicité de M. B……….,  cultivateur aux Authieux-sur-Calonne, pour le compte des frères D……, de Deauville.  

 

Mai 1945  -  Les engins de guerre ont fait de nouvelles victimes.  -  En maniant une grenade qu’il avait prise pour une fusée, M. Bernard Gauchat, 24, du Breuil-en-Auge, a été  grièvement blessé sur différentes parties du corps. Il a du subir l’amputation de la main gauche.  (Source : Le Bonhomme Libre)

 

Septembre 1945  -  Voies de communication.  -  Les voies de communication rurales comprennent les chemins vicinaux et les chemins ruraux reconnus ou non reconnus (chemins dits d'exploitation).

Aucune de ces voies de communication n'a été normalement entretenue depuis 1939, pour les chemins ruraux le défaut d'entretien remonte en fait beaucoup plus loin.

Il faut restaurer, élargir ces voies de communication, en construire d'autres partout où cela est nécessaire, et dans les régions sinistrées procéder rapidement à leur réfection en application de l'ordonnance du 10 avril 1945.  (Source : Le Bonhomme Libre)

 

Octobre 1946  -  Une heureuse amélioration.  -  Alerté par les usagers du chemin de fer des gares du Breuil-en-Auge et de Fierville-les-Parcs désireux de voir un train s’arrêter au début de l’après-midi dans la direction de Lisieux, avec retour vers la fin de la journée, M. Caplan, conseiller général est intervenu prés de la S.N.C.F. L’horaire va paraître prochainement. Il serait question de 14 h. aller et 17 h. 30 retour. (Source : Le Bonhomme Libre)

 

Octobre 1948   -   Alchimie gastronomique.   -   En gare du Breuil-en-Auge, les gendarmes de Blangy-le-Château ont découvert 26 kilos 500 de beurre dans un colis dont l'étiquette portait la mention « sulfate de cuivre ».  (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Décembre 1948   -  Bel exploit d’un policier à quatre pattes.   -   Revenant de faire quelques emplettes au bourg du Breuil-en-Auge, M. Guillaume Delair, 75 ans, demeurant au lieu-dit « La Cour Vigot », regagnait son habitation lorsqu'il aperçut à proximité, un jeune homme qui détalait à son approche. Le septuagénaire devait bientôt constater que toutes les pièces de sa maison avaient été visitées et que le malfaiteur avait fait main basse sur divers objets, dont une montre, représentant une valeur globale de 20 000 francs. Les gendarmes de Blangy-le-Château devaient faire appel dès le lendemain à leur « collègue » Telramund, le chien policier de la brigade des recherches de Caen.

Sur 10 kilomètres, par monts et par vaux, la brave bête conduisit les enquêteurs jusqu'au Fournet où elle s'arrêta devant une maison du hameau des « Terriers » où demeure avec ses parents un gamin de 16 ans.

Le garnement du avouer être l'auteur du cambriolage ; il a d'ailleurs libéré sa conscience par l'aveu de méfaits du même genre commis à Lisieux et à Orbec. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Octobre 1948   -   Un charretier tombe sous son attelage.   -  M. Eugène Liégard, 60 ans, ouvrier agricole chez M. Jacquet, au Breuil-en-Bessin, conduisait une barrique à eau lorsque par suite d'un faux pas il est tombé sous les roues du véhicule. Atteint d'une fracture du bassin, le blessé a été hospitalisé à Bayeux. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Janvier 1949   -   Un brutal.   -   Mme Roger Cauchois, 20 ans, ménagère pour Breuil-en-Auge, s'est présentée à la gendarmerie et à porté plainte contre son mari, qui, le mois dernier, l'a rouée de coups et lui a lancé un marteau au visage, la blessant si sérieusement qu'elle demeura inanimé et qu'elle dut être hospitalisée pendant 23 jours. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Avril 1949   -   La Croix des braves.  -  Un ancien poilu de 14-18, M. Joseph Gondouin, du Breuil-en-Auge, vient d'être nommé Chevalier de la Légion d'Honneur.

Appartenant à la classe 1918, le nouveau légionnaire fut grièvement blessé presque à la veille de l'Armistice et dut subir l’amputation du bras droit. Nos compliments. (Source  : Le Bonhomme Libre)

LE BREUIL-EN-AUGE (Calvados)

La Gare, Ligne de Trouville

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