15 Décembre 2024 |
UN
SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS |
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BROUAY |
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Canton de Balleroy |
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Cette
jeune fille restait souvent seule pour garder la boutique. L'accusation
lui reproche d'avoir profité des fréquentes absences de son maître pour
lui voler un mouchoir en crêpe de soie, un foulard en soie, deux coupons
d'indienne, un morceau de tulle brodé, une pièce de dentelle de fil, un
mouchoir de stoff. Elle avait dû prendre aussi dans l'armoire de la mère
du sieur Grouet, une chemise et une pièce de 3 fr. ancienne, que son
propre frère s'était chargé de changer à Caen. Les
objets volés furent retrouvés au domicile de sa mère dont la
complicité par recèle, ne peut être un instant douteux, d'ailleurs,
après de nombreux mensonges, la fille Cœuret avait fini par confesser sa
culpabilité. Quoiqu'il en ait été de ces preuves évidentes, la fille Cœuret et sa mère ont été acquittées. (Source : L’indicateur de Bayeux)
Mai 1856 - Chemin de fer. - Un arrêté de M. le préfet du Calvados, en date du 2 mai, prononce l'ouverture de l'enquête, pour le chemin de fer dans la traversée des communes de Caen, Venoix, Bretteville-sur-Odon, Carpiquet, Rots, Norrey, Bretteville-l'Orgueilleuse, Putot-en-Bessin, Brouay et Audrieu. Cette enquête aura lieu dans toutes les communes désignées ci-dessus, en conformité du titre II de la loi du 3 mai 1841, sur l'établissement du chemin de fer de Paris, à Cherbourg , partie comprise entre la gare de Caen et la limite de l'arrondissement de Bayeux. Cette enquête, commencera le 11 de ce mois et sera close le 21, et, pendant toute sa durée, les plans et états parcellaires resteront déposés à la mairie de chaque commune, où tous les intéressés pourront en prendre connaissance. (Source : L’Indicateur de Bayeux)
Septembre 1856 - Cour d’Assises du Calvados. Présidence de Monsieur Adeline, conseiller. Audience du 8 Août. Lefeuvre (Louis-Joseph), 49 ans, cordonnier, demeurant à Brouay, Deux attentats à la pudeur commis, sans violence, sur de jeunes filles de moins de 11 ans, étaient reprochés à Lefeuvre. Cet homme, qui antérieurement avait subi une condamnation pour outrage public à la pudeur, a été condamné à huit ans de réclusion. (Source : Le journal de Honfleur)
Août
1860 - Cour d'Assises du Calvados.
-
Présidence de M. le conseiller Reboul.
Audience du 2 août. L’accusation
est soutenue par M. d’Englesqueville, substitut de M. le procureur
général. Une
condamnation à cinq années de prison, grâce à l'admission de
circonstances atténuantes, a encore été prononcée dans la seconde
affaire de ce jour, concernant un nommé Roquet (Constant), âgé de 53
ans, cultivateur, ayant demeuré à Brouay. Cet homme, qui a été
arrêté tout récemment, quoique les faits de l'accusation remontent à
l'année 1856, était, en dernier lieu, fermier à Littry. Précédemment
il avait exercé la même profession à Brouay. Etant venu à tomber dans
la déconfiture, il avait imaginé, pour retarder sa chute, de mettre en
circulation des billets faux.
Dix-sept
billets faux, revêtus de faux endos, étaient reprochés à Roquet, ainsi
que la négociation de ces mêmes pièces le tout formant un nombre
considérable de chefs d'accusation. La défense de Roquet a été présentée par Me Blanche. ( L’Ordre et la Liberté)
Septembre
1864 -
Par arrêté. -
M. le préfet
du Calvado
Mai
1890 -
Mort accidentelle. -
Le
sieur Julien Martin, 43 ans, journalier, né à St-Germain-d'Ectot,
abattait des arbres dans la propriété de M. d'Abboville, à Brouay. Une
branche l'a atteint sur la tête, il est tombé la face contre terre,
baignant dans son sang. Il est décédé deux heures après sans avoir
prononcé une seule parole. Il laisse une veuve et deux enfants en bas
âge.
Avril
1898 -
Coup de pied mortel. -
Dimanche,
le nommé Auguste Madelaine, d'Audrieu, 17 ans, domestique chez M. Henry,
maire de Brouay, était, en compagnie d'un autre domestique, occupé à
soigner les chevaux de son maître. En donnant une botte de foin à un
cheval, ce dernier lui décocha un coup de pied, qui l'atteignit au
bas-ventre Madelaine, qui souffrait beaucoup, fut conduit par son camarade
sur un lit, qui se trouvait dans l'écurie. Mais une péritonite s'étant
déclarée la nuit, Madelaine expira lundi matin, dans d'atroces
souffrances. (Source :
Le Bonhomme Normand)
Octobre 1901 - Les voleurs d’animaux. - Deux vaches, valant 500 fr., ont été volées, la nuit, dans un champ, au sieur Sosthène Debon, cultivateur à Landelles, canton, de Saint-Sever. — On a arrêté, sur le marché de Caen, un individu soupçonné d'avoir volé une vache amouillante qu'il avait vendue pour 100 fr. de moins qu'elle ne valait. Cet individu est le nommé Louis Marie, 28 ans, domestique, sans domicile fixe. Il avait volé la vache, estimée 400 fr., à Ste-Marie-aux-Anglais, près Mézidon, dans un herbage appartenant au sieur Louis Pichard, propriétaire à Vieux-Pont. — Une vache de 425 fr. a été volée au sieur Albert Lefranc, cultivateur à Brouay, près Tilly-sur-Seulles. — On a aussi, volé une vache de 180 fr. au sieur Édouard Jenvrin, boucher à Etouvy, près Bèny-Bocage. — Une jument de 500 fr. a disparu, la nuit, d'un herbage appartenant au sieur Feuillet, à Glos, près Lisieux. Les recherches faites pour retrouver la jument sont demeurées infructueuses. Il est certain qu'elle à été volée. (Source : Le Bonhomme Normand)
Mai 1903 - Arrestations. - Zéphyr Dérobert, 33 ans, sans profession ni domicile, a été arrêté sur le champ de foire, à Caen. Il est l'auteur de deux vols qualifiés dans le canton de Tilly-sur-Seulles ; à Cristot, il a volé 1 000 fr. au sieur Dupont ; au curé de Brouay, il a dérobé 1 500 fr.
— La police de Caen a arrêté Lemarcband, 19 ans, domestique, pour vol de 207 fr. à son ancien patron, le sieur Victor Chamberland, cultivateur à la Villette, près Harcourt. ( Le Bonhomme Normand )
Mai 1903 - Paroles ministérielles. - M. Chaumié, ministre de l'instruction publique, vient de rappeler aux chefs d'institutions que : « dans les internats, les pères de famille seront toujours consultés sur la participation de leurs enfants aux exercices du culte, toutes facilités seront données aux élèves pour se conformer, sur ce point, aux volontés de leurs familles sans que les études puissent en souffrir quelque détriment ». (Source : Le Bonhomme Normand)
Août 1903 - Affaire d’Assises. - Le nommé Alphonse Derobert, 33 ans, né à Cristot, canton de Tilly-sur-Seulles, a été déjà condamné quatre fois pour vol. Il connaissait le presbytère et les habitudes du curé de Cristot pour être venu souvent solliciter, alors enfant, des secours pour ses parents. Il savait que la servante était malade. Pendant la messe de Pâques, il s'introduisit dans le presbytère et déroba à la servante toutes ses économies, 1 000 fr., et divers bijoux, plus 15 fr, appartenant à la fabrique, plus la montre et les rasoirs du curé. Derobert, avec le produit de son vol, partit pour Saint-Malo où, en dix jours, il dépensa tout. C'est alors qu'il revint à Brouay et s'introduisit dans le presbytère, toujours pendant la messe, et enleva 2 000 fr. environ et divers objets. Le lendemain, Derobert était arrêté à Caen. Il était porteur d'un revolver et de 1 327 fr. Il a été condamné à sept ans de réclusion. — Défenseur : Me Cautru. (Source : Le Bonhomme Normand)
Janvier
1904 - Découverte d'un cadavre.
- On a trouvé un mort dans un champ sur le territoire de la commune
de Brouay, un individu inconnu paraissant âgé de 65 a 70 ans. Sa mort
est due à une congestion.
Octobre 1904 - Rencontres de voitures. - Un cultivateur de Port-en-Bessin, M. Arthur Demoulles, revenait, le soir, en voiture d'Audrieu, lorsqu'à Brouay, son cheval reçut en plein poitrail le brancard d'une carriole qui venait en sens inverse. Ce cheval, qui valait 1 000 fr., mourut sur le champ. L'auteur de l'accident s'était enfui au galop. On croit le connaître, pourtant. — A Saint-Sylvain, près Bretteville-sur-Laize, la voiture de M. Quesnel, éleveur à Fierville-la-Campagne, a été rencontrée par une roulotte de forains, dont la roue a enlevé le sabot du cheval de M. Quesnel. L'animal est considéré comme perdu ; son propriétaire venait d'en refuser 1 200 fr. Les
nomades, rattrapés à Airan, se sont vu dresser procès-verbal.
(Source : Le Bonhomme Normand)
Juillet
1907 -
Piétiné par une vache.
- Un cultivateur,
Jules Jeanne, âgé de 33 ans, était occupé vendredi l'après-midi à
faucher une pièce de foin à Brouay, lorsqu'une vache qui était au
piquet dans un herbage voisin se détacha tout à coup et fonça sur lui.
M. Jeanne fut renversé et piétiné par l'animal, devenu soudainement
furieux. À ses cris, des personnes
Octobre 1914 - Solidarité. - Le sergent chef de poste du service de garde des voies de Brouay, nous a adressé la lettre suivante : Monsieur le Directeur du Bonhomme Normand. Tous, vieux troupiers, connaissant les souffrances des soldats en campagne, nous avons décidé, à l'unanimité du poste, de participer, pour la somme de dix francs, prélevés sur notre ordinaire, l'achat de vêtements chauds, destinés à nos chers camarades qui sont au feu. Tous mes hommes connaissent votre honorable journal, je m'adresse à vous pour l'emploi du mandat ci-joint. Le
sergent chef de poste (Bonhomme Normand)
Juillet
1918 - A la Cour d’Assises
- Vol qualifié.
- A
la première
audience
des assises,
comparaissent
Georges
Cangiolli,
29 ans,
et Louis
Frilley,
19 ans.
Voici les
faits qui
leur sont
reprochés. Les
soupçons
se portèrent
sur deux
individus
aperçus
dans la
commune,
dont le
plus jeune,
Frilley,
avait été
remarqué
à l'entrée
de la
cour de
la dame
Quesnelle,
toussant
fortement
comme pour
faire un
signal,
et qui
avaient
ensuite,
dans un
café,
payé des
consommations
avec une
coupure
de 5
francs. Le
signalement
de l'autre
individu
correspondait
exactement
à celui
de Cangiolli.
Tous deux,
Frilley
et Cangiolli,
furent
arrêtés
sous une
autre inculpation,
Lisieux. Frilley
reconnut
immédiatement
le vol
commis
à Brouay.
Cangiolli,
détenu
à Rouen
pour vol
et désertion,
nia d'abord
y avoir
pris part,
puis, transféré
à Caen,
avoua en
avoir eu
l'idée
et
même l'avoir
exécuté
pour ainsi
dire seul,
ayant seulement
chargé
Frilley
de faire
le guet.
Frilley,
lui, nie
avoir fait
le guet,
mais la
déposition
du jeune
Lemarchand
le contredit
formellement. Cangiolli
et Frilley
dépensèrent
ensemble
le produit
du vol,
du 13 au
23 août,
avant leur
arrestation
à Lisieux.
Postérieurement
à cette
date, tous
deux ont
été condamnés
à Lisieux
pour vol,
Cangiolli
à deux
ans de
prison
et à la
relégation. Frilley
un an
de prison.
De plus,
ce dernier
a été
condamné
par la
Cour d'assises
du Calvados,
le 26
avril 1917,
à 13
mois pour
vol qualifié.
Cangiolli
a été,
en outre,
condamné
le 29
décembre
1917, par
le conseil
de guerre
de Rouen,
pour désertion
et vol,
20 ans
de travaux
forcés
et à l'interdiction
de séjour.
Ces
peines
ont été
maintenues
par arrêt
du Conseil
de révision
de Paris.
Cet accusé
a encouru,
depuis
1900, 11
condamnations,
la plupart
pour vols
et désertions,
il est
déjà
frappé
de relégation
et de
l'interdiction
de séjour.
Il n'a
plus rien
à perdre. Frilley,
qui n'a
que 19
ans, a
été,
depuis
près de
deux ans,
presque
constamment
en prison.
Les plus
mauvais
renseignements
sont fournis
sur lui.
M.
Lecouffe,
avocat
général,
prononce
un sévère
réquisitoire. Me
André
Gost, pour
Cangiolli,
Me Lehanneur,
pour Frilley,
présentent
la défense.
Cangiolli
est
condamné
12 ans
de travaux
forcés,
peine qui
se confondra
avec celle
de 20
ans prononcée
par le
Conseil
de guerre.
Frilley
est condamné
à 5 ans
de travaux
forcés
et
Juin 1927 - Un baptiseur. - Poursuivie pour mouillage du lait qu'elle livrait à la fromagerie Ricard, à Audrieu, Augustine Jouvet, femme lebouteiller, 52 ans, journalière à Brouay, a été condamné par le tribunal de Caen à 3 mois de prison et 1.000 francs d'amende. De plus le tribunal a ordonné l'insertion de ce jugements.
Août 1928 - Arrestation. - Les gendarmes de Bretteville-l'Orgueilleuse ont arrêté en vertu d'un mandat d'arrêt décerné contre lui pour purger une peine de un mois de prison pour coups et blessures le nommé Charles Anne, 54 ans, domestique à Brouay.
Juillet
1938 -
Aménagement
d’un tournant dangereux. - Une
enquête est ouverte, dans la commune de Brouay, sur le projet
d'aménagement d'un tournant entre les points 11 k 998 et 12 k m. sur le
C.G.C. n° 94. A cet effet, le projet sera déposé à la Mairie, du 6 au 16 août 1938 inclusivement, pour que chaque habitant puisse en prendre connaissance, de 9 à 12 h. et de 14 à 18 heures dimanches et jours fériés exceptés. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Février
1940 -
Une noyade accidentelle.
-
Vers
19 h. 15,
le soldat
Saligot, en
permission chez
ses
parents, revenait
d'Audrieu en
compagnie de
son père,
lorsque, arrivant
aux abords
du château,
trompé par
l'obscurité, il
est tombé
accidentellement
dans la
douve profonde
de 4 mètres,
et pleine
d'eau.
Octobre 1942 - Encore un triste individu ! - La dernière affaire de cette session était à nouveau consacrée aux déplorables agissements d'un ignoble individu Charles Rozier, 22 ans, ouvrier agricole à Brouay, accusé d'attentats aux mœurs sur des enfants agés de 4 et 3 ans. Après avoir nié, Rozier a passé des aveux partiels. L'accusé, qui n'a jamais été condamné, est représenté comme peu intelligent, paresseux, sournois et vicieux, et l'expert qui l'a examiné au point de vue mental le considère comme peu intelligent et estime sa responsabilité légèrement diminuée. M.
Menzin, avocat général, occupait le siège du ministère public, et Me
Aubert était au banc de la défense. Après des débats à huis clos,
Rozier, ayant bénéficié de circonstances atténuantes, a été condamné
à 10 ans de réclusion et 20 ans d'interdiction de séjour. (Bonhomme
Normand)
Février 1946 - Un décès suspect. - Il y a quelques jours, Mme Adrienne Lebourgeois, 28 ans, demeurant à Brouay, décédait dans des circonstance qui ne permirent pas au médecin de délivrer le permis d’inhumer. L’enquête semblerait établir que la mort serait survenue à la suite de manœuvres antinataliste. Le Parquet de Caen s’est rendu sur les lieux et a ordonné l’autopsie. (Source : Le Bonhomme Libre)
Janvier 1947 - L’entretien des tombes des militaires alliés. – La commission Impériale des sépultures militaires britanniques procède à l’aménagement définitif des nécropoles ci-après : Cimetières militaires britanniques de Fontenay-le-Pesnel, Secqueville-en-Bessin, Ryes, Cambes, Douvres-La-Délivrande, Tilly-sur-Seulles, Hottot-les-Bagues, Hermanville, Brouay, Saint-Manvieu, Ranville-Jeruzalem, tombes britanniques du cimetière communal de Ranville, cimetières militaires canadiens de Brettevile-sur-Laize et Bény-sur-Mer, Cimetière militaire polonais de Langannerie. Des arbustes et des fleurs vont y être plantés. Les personnes ayant adopté des tombes de soldats sont priées de n’y déposer que des fleurs coupées et de s’abstenir de déposer des couronnes artificielles ou des récipients quelconques (vases, douilles d’obus, etc…). (Source : Le Bonhomme Libre)
Juillet 1948 - Un convive indésirable. - Ayant invité chez lui son ancien employé, Marcel Lepeltier, 18 ans, journalier à la ferme Leprovost, à Brouay, M. Joseph Cœuret, cultivateur à Rots, avait envoyé celui-ci chercher une bouteille de rhum. A
son retour Lepeltier profita qu'il se trouvait seul dans une pièce pour
fouiller dans la veste que son hôte avait enlevée, y prendre le
portefeuille qui s'y trouvait et s’emparer d'un billet de
500 francs. S'apercevant presque immédiatement du vol dont il avait été
victime, M. Cœuret avisa les gendarmes. Lepeltier a reconnu son méfait.
Il a été arrêté. (Source : Le Bonhomme
Libre)
Août 1948 - Le linge s'était envolé. - Mme Charlotte Le Bachelet, cultivatrice à Brouay, avait étendu dans son jardin diverses pièces de linge estimées à 7 700 fr.
Janvier
1949 -
Le Calvados à l'honneur.
- Enfin
! Enfin ! Après Caen, Falaise, Lisieux, Vire, Saint-Aubin-sur-Mer, un
nombre imposant de localités de notre département viennent de se voir
discerner la Croix de Guerre que leur ont mérité leur martyre au cours
des combats pour la libération. Voici
l'éloquent tableau d'honneur que nous sommes heureux de publier en
espérant que ceux de nos villages encore oublié vienne bientôt ajouter
leurs noms au livre d'or de l'héroïsme. Les
lettres placées entre les parenthèses indique lors de la citation : R :
régiment ; D : division. Arrondissement
de Caen
Canton
de Tilly-sur-Seulles.
- Tilly-sur-Seulles
(D) ; Brouay (R) ; Cheux (R) ; Cristot D) ;
Fontenay-le-Pesnel (D) ; Grainville-sur-Odon (D) ; Juvigny
(R) ; Le Mesnil Patry (R) ; Mondrainville (R) ;
Norrey-en-Bessin (R) ; Rots (R) ; Saint Manvieu (R) ;
Saint-Vaast-sur-Seulles (R) ; Tessel (R) ; Vendes (R).
(Source : Le Bonhomme Libre) |
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BROUAY - Le Château |
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