15 Avril 2025 |
UN SIÈCLE D'HISTOIRE
DU CALVADOS |
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La CAMBE |
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Canton de Isigny-sur-mer |
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Février 1929 - Monuments historiques. - Les immeubles suivants ont été classés au rang des monuments historiques : Condé-sur-Noireau : la façade et la toiture de la maison sise Grand'rue ; Urville : le Manoir ; Thury-Harcourt : l'église ; Vaucelles : le pavillon d'entrée du château et ses annexes ; Maisy : la façade et la toiture du Manoir du carrefour ; Blay : le Manoir de la Cléronde ; La Cambe : la façade et la toiture du Manoir de Montemeri.
Janvier 1930 - Mortelle accident sur la route. - M. Louis Boutard, chauffeur, à la Laiterie Dupont frères, à Isigny-sur-Mer, revenait de Trévières vers 17 h. 15, conduisant un camion automobile chargé de diverses marchandises et pesant environ 3 000 kilo, au total. Après avoir dépassé la maison Laronche, à La Cambe, il sentit qu'il venait — selon son expression — de passer sur quelque chose de mou. Il stoppa et aperçut sur la chaussée un homme qui avait cessé de vivre. Le docteur Vaudelle, prévenu, constata un écrasement de tout le côté droit partant de la figure jusqu'à la hanche. La victime, M. Henri-Emile Beuzelin, 59 ans, né à Caumont, bourrelier à La Cambe, étant un peu sourd, n'avait pas entendu l'arrivée du camion. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Septembre 1932 - Le magot envolé. - M. Pierre Françoise, 77 ans, cultivateur à La Cambe, canton d'Isigny, était allé faire des provisions au marché en emportant son portefeuille contenant 12 000 francs, dont un bon de la Défense de 5 000. Rentré chez lui, il constatait que son portefeuille avait disparu. Les
gendarmes d'Isigny, enquêtant dans le bourg sur cette disparition,
appréhendèrent une femme Marie-Louise Bunel qui les insulta
grossièrement et leur opposa une vive résistance. Elle fut déférée au
Parquet.. (Bonhomme Normand)
Janvier 1937 - La mort tragique d’un cultivateur. - M. Dumans, cultivateur en cette localité, venait de charger des pommes dans un tombereau, quand au moment de franchir une barrière, le malheureux se trouva bloqué entre la roue de la voiture et le mur. Très
gravement blessé, le cultivateur a été conduit à la clinique de la rue
d'Aprigny, à Bayeux, où le docteur Jeanne put constater qu'il avait le
bassin fracturé. (Source :
Le Moniteur du Calvados)
Janvier 1937 - A propos de l’accident de La Cambe. - Par suite d'une erreur de titrage la relation de l'accident survenu a M. Dumans, cultivateur à La Cambe, parue dans notre numéro des 4 - 5 janvier, a pu faire croire à des suites mortelles.
Avril 1937 - Mort dans la vase. - M. Léon Le Canu, 41 ans, blessé de guerre, était atteint de crises épileptiques. Il était allé à son travail comme de coutume, sa femme ne le voyant pas rentrer se mit à sa recherche. Elle trouva le malheureux, dans un chemin, à environ 1 km. de son habitation. M. Le Canu reposait la face dans la vase du chemin, et il est vraisemblablement mort asphyxié. Il laisse une veuve et 6 enfants en bas-âge. La
gendarmerie d'Isigny a ouvert une enquête, et le docteur Vaudelle, de La
Cambe a procédé aux
constatations médicales. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Août 1937 - Médaille d’honneur du Ministère des Travaux Publics. - La médaille d'honneur du ministère des Travaux publics a été décernée à : M. Jules Barbanchon, cantonnier de 1er classe à La Cambe : 33 ans de services. M. Arthur Caligny, cantonnier de 1er classe à Bellengreville : 33 ans de services. M.
Auguste Marie, cantonnier de 1er classe à
Loucelles : 33 ans de services. (Source :
Le Moniteur du Calvados)
Août
1937 -
Une camionnette capote. -
Hier
soir, vers 20 h., M. Adolphe Marie, cultivateur à Longueville, revenant
des régates de Grandcamp-les-Bains, emmenait dans une camionnette
M. et Mme Pierre Lehost, Mmes Douétil, Aubril et Rupalley, lorsqu'à
environ 70 mètres du calvaire de La Cambe, en pleine ligne droite, pour
une raison inconnue jusqu'alors, la voiture zigzaguait plusieurs
fois pour finalement capoter, vraisemblablement à la suite d'un coup de
frein. Tous
les occupants ont été blessés, notamment M. Marie, qui a une fracture
du crâne et Mmes Douétil et Aubril qui sont grièvement blessées. Le
docteur Vaudelle, de La Cambe, après leur avoir prodigué les premiers
soins les a fait conduire à la clinique Jeanne, de Bayeux, les autres
occupants, plus ou moins sérieusement atteints ont pu regagner leur
domicile. Le
capot de la voiture a été littéralement rasé. (Source : Le
Moniteur du Calvados)
Août 1937 - En voulant sauver son mobilier des flammes, il est grièvement brûlé. - Un violent incendie s'est déclaré vers 22 h. 30, au domicile de M. Françoise, cultivateur au village des Carrières. L'immeubles en entier a été la proie des flammes. Les dégâts très importants sont couverts par une assurance. Le feu semble avoir été provoqué par réchauffement du foin qui venait d'être entassé dans un grenier au-dessus de la maison. En voulant sauver du mobilier, le propriétaire, M. Françoise, âgé de 83 ans a été grièvement brûlé sur tout le corps. Il a été transporté à l'hospice de La Cambe. Les
pompiers de La Cambe, malgré la rapidité de leur intervention, ne purent
que circonscrire le sinistre tant le feu s'était propagé rapidement. Le
manque d'eau provoqué par la sécheresse persistante de ces derniers mois
se fit également sentir dans la lutte contre les
flammes. (Source : Le Moniteur du
Août 1938 - Un bâtiment agricole détruit par le feu. - Un incendie s’est déclaré dans un bâtiment dépendant de la ferme de M. Coulmain, cultivateur au hameau de la « Vieille-Place ». Ce bâtiment, qui renfermait 2 000 bottes de foin, a été détruit. Les dégâts s'élèvent, à une quinzaine de mille francs. L'incendie semble dû à la fermentation du foin. Toute idée de malveillance semble devoir être écarté. Les
pompiers de La Cambe et de Grandcamp-les-Bains ont réussi à protéger
les bâtiments voisins. (Source :
Le Moniteur du Calvados)
Août 1938 - Un bâtiment agricole brûle. - Un incendie s'est déclaré chez M. Coulmain, cultivateur à La Cambe. Un bâtiment mesurant 7 mètres de long sur 7 de large et 6 de hauteur, à usage de cellier, et au-dessus duquel se trouvaient 2 000 bottes de foin a été brûlé. Les
dégâts, qui s'élèvent à une quinzaine de mille francs, sont couverts
par une assurance. Les pompiers de La Cambe et de Grandcamp-les-Bains
ont réussi à préserver les bâtiments voisins. (Source :
Le Moniteur du Calvados)
Août 1938 - Un piéton est gravement blessé par une auto. - Dimanche soir, vers 21 heures, M. Léon Tesson, charron à La Cambe, a été renversé route nationale, devant la propriété de M. du Longprey, par une voiture automobile appartenant à M. Charles Legoupil, cultivateur, qui n'avait pas attaché, dit-il, autrement d'importance à l'accident, croyant que c'était par malveillance qu'on lui avait brisé la vitre de sa voiture. Un habitant de La Cambe, M. Anne, trouva M. Tesson inanimé sur la route et le fit transporter à son domicile. M. Charles Legoupil interrogé le lendemain par la gendarmerie a reconnu qu'il avait bien ressenti un choc, mais qu'il ne s'était pas arrêté, ne pensant pas à un accident et qu'il était revenu plus tard, ayant appris que M. Léon Tesson avait été grièvement blessé. M.
Louis Marie, qui revenait de la mer, a été témoin de l'accident. Il
n'avait pas reconnu l'automobiliste et n'avait pu relever son numéro. Il
est formellement établi que M. Tesson se trouvait sur sa droite. (Source :
Le Moniteur du Calvados)
Mars
1940 -
Un pylône électrique brisé par une auto.
Une
voiture
automobile,
dont le
numéro
a pu
être relevé,
a brisé
un pylône
de la
ligne électrique
près de
la propriété
de MM.
Thibout, maire
de La
Cambe
Janvier
1943 -
Une imprudence. -
Conduisant
un tombereau, M. Marcel Levavasseur, 52 ans, cultivateur à La Cambe, est
tombé en voulant sauter à terre et la voiture lui est passée sur le
corps, lui écrasant les reins. La mort a été immédiate. (Bonhomme
Normand)
Novembre
1945 -
La route rouge. - Traversant
à une allure folle, le bourg de La Cambe, en direction de Bayeux, un
camion américain, conduit par un chauffeur de race noire, a heurté
la petite Yvette Lefrand, âgée de 10 ans, qui fut tuée sur le
coup. Le bolide renversa ensuite une voiture de la laiterie de
Saint-Germain-du-Pert en stationnement sur le bord Poursuivant
sa course à la mort, le véhicule, écrasant au passage Mme Alexandre
Marie, 75 ans, alla défoncer la maison de M. Candon. Mlle Bernadette
Basley, 18 ans, qui sortait d’un chemin, fut également renversée
et blessée. (Source :
Le Bonhomme Libre)
Octobre
1946 -
Le cavalier l’a échappé belle !
- A
la Cambe, un camion américain, piloté par un prisonnier boche, qui
traversait le bourg à vive allure, a renversé un cheval que montait M.
Foubert fils, domicilié dans la commune. Le cavalier est sorti indemne de
l’accident, mais l’animal a été tué sur le coup. (Source :
Le Bonhomme Libre)
Novembre 1946 - In Memoriam. - Les autorités américaine ont fait célébrer un service au cimetière de La Cambe, en souvenir de leurs morts. M. l’abbé Chrétien, curé d’Osmanville, officiait Des
délégations d’anciens combattants de Saint-Germain-du-Pert et
Osmanville, avec leur drapeau, étaient présentes. On remarquait la
présence de MM. Belhache, conseiller général,
maire d’Osmanville ; Thibout, maire de La
Cambe ; Marie, maire de St-Germain-du-Pert, etc…….. (Source :
Le Bonhomme Libre)
Novembre
1946 -
De plus en plus fort ! -
Des
plainte ont été portées à la gendarmerie d’Isigny contre des
prisonniers boches du camp de St-Hilaire-Petitville (Manche) qui, passant
à La Cambe montés dans des camions chargés de pierres, ont lapidé
plusieurs personnes. L’un des cailloux brisa la vitre de la devanture de
l’épicerie Brune, un autre fit voler en éclats la glace du pare-brise
de l’auto de l’épicier stationnée devant le magasin. Des pierres
lancées par les même P.G. ont également brisé la vitre du pare-brise
de la voiture de M. Lussan, directeur de la Laiterie d’Isigny et blessé
le propriétaire du véhicule et sa femme. (Source :
Le Bonhomme Libre)
Décembre
1947 -
Un imprudent grièvement blessé par un engin de guerre.
- En manipulant un détonateur, le jeune Ernest Foubert, 16
ans, demeurant à La Cambe, a eu les cinq doigts de la main gauche
déchiqueté. Il a été transporté à l’hôpital de Bayeux.
(Source : Le Bonhomme Libre)
Juillet
1948 -
Le crime d'une mère. -
Un
drame affreux à semé l'indignation parmi la population du bourg de La
Cambe, une mère, si l'on ose employer ce mot pour qualifier l'auteur du
plus abject des forfaits, a pendu sa fillette âgée de 4 ans et demi. Dans
une maisonnette du hameau de la Vieille-Place vivaient depuis quelques
mois M. René Thiébot, 28 ans, employé de laiterie à Isigny ; sa
femme née Louise Laurent, 24 ans, et leurs deux enfants. La petite
Josette légitimée lors du mariage, était en but à la haine de sa
mère. Mais Josette avait trouvé dans son père adoptif le protecteur
dont sa tendresse avait besoin. Hélas, tandis que le papa était à son
travail, l'enfant une nouvelle fois malmenée se mit à pleurer. Quel
motif pourra jamais expliquer l'acte de la marâtre ? Ayant attaché une
corde dans une chambre voisine, Louise Thiébot y suspendit l'enfant
jusqu'à ce que mort s'ensuive puis l'étendit sur un lit. Son geste
accompli, la femme monta ensuite au grenier et organisa une mise en scène
plaçant une caisse sous une corde accrochée au plafond. Quand,
M. Thiébot rentra au logis
et s'inquiéta de l'absence de la petite, la harpie lui montrant la pièce
où reposait sa victime répondit cyniquement : « Tiens,
regarde ». Puis elle Les
gendarmes prévenus battirent les environs à la recherche de la marâtre
qui ne tarda pas à être appréhendée. « J'ai toujours demandé qu’on
m’enleva cet enfant, déclara la misérable aux policiers. Je sais ce
qui m'attend ». Louise Thiébot a été écroué à la prison de
Caen. (Source : Le Bonhomme Libre)
Juillet 1948 - Le souvenir. - A l'occasion du 4e anniversaire de la mort des soldats anglais et canadiens tombés à Cambes les 8 et 9 juillet 1944, une cérémonie aura lieu à Cambes le dimanche 11 juillet. A 10 h. 30, grand’messe, à 11 h. 30, visite au cimetière. Les personnes qui ont adopté des tombes sont incessamment priées de prendre part à cette manifestation du souvenir et de la reconnaissance. (Source : Le Bonhomme Libre)
Juillet
1948 -
Un boulanger dans le pétrin.
- Gaston Crestey,
40 ans, boulanger à La Cambe, avait installé des dépôts
chez des commerçants des environs où il mettait en vente, sans tickets,
des pains recuits de 250 grammes à raison de 20 francs pièce et de la
farine de sarrasin au prix de 120 francs le kilo. L'intervention des
gendarmes a mis fin à ce trafic. (Source : Le Bonhomme Libre)
Novembre
1948
-
La route rouge.
-
A La Cambe, en doublant un groupe d'enfants, un cycliste, le jeune
A….... 17 ans, demeurant à Monfréville, a renversé une habitante de
la localité, Mme Jeanne Pasturel, 67 ans. Violemment projetée sur le
sol, la septuagénaire dut être transportée à I'hôpital de Bayeux ou
elle est décédée. (Source : Le Bonhomme Libre)
Janvier 1949 - Le Calvados à l'honneur. - Enfin ! Enfin ! Après Caen, Falaise, Lisieux, Vire, Saint-Aubin-sur-Mer, un nombre imposant de localités de notre département viennent de se voir discerner la Croix de Guerre que leur ont mérité leur martyre au cours des combats pour la libération. Voici l'éloquent tableau d'honneur que nous sommes heureux de publier en espérant que ceux de nos villages encore oublié vienne bientôt ajouter leurs noms au livre d'or de l'héroïsme. Les lettres placées entre les parenthèses indique lors de la citation : R : régiment ; D : division. Arrondissement de Bayeux Canton d'Isigny : Isigny-sur-Mer (R) ; Asnières-en-Bessin (R) ; La Cambe (R) ; Grandcamp-les-Bains (R) ; Maissy (R). (Source : Le Bonhomme Libre)
Avril 1949 - Un cheval ombrageux. - Le jeune Georges Guérin, 16 ans, au service de M. Alphonse Tocquet, cultivateur à La Cambe, a reçu un coup de pied de cheval dans l'estomac. Souffrant de lésions gastriques, le blessé a été admis à l'hôpital de Bayeux. (Source : Le Bonhomme Libre)
Août
1949 -
La mère dénaturée de La Cambe sera-t-elle exécutée. -
Le
8 avril dernier les jurés du Calvados condamnaient à la peine
Août 1949 - La criminelle de La Cambe sera-t-elle exécutée ? - Me Michel du barreau de Caen, avocat de Louise Thiébot, 25 ans, journalière à La Cambe, condamnée à mort pour avoir pendu sa fillette Josette, âgée de 4 ans, s'est rendu à Paris pour solliciter du Président de la République une mesure de grâce. M. Vincent Auriol étant en vacances, le Ministère de la Justice lui a fait savoir qu'une décision ne peut intervenir avant octobre. ( Le Bonhomme Libre )
Juin 1950 - Une battue couronnée de succès. - Au cours d'une battue sur les territoires d'Osmanville, Cardonville, La Cambe, sous la direction du lieutenant de louveterie René Lemière. avec la participation de MM. Edmond Lemière, Poincheval, Louis Lemasson, Catrai, Decaumont, nos nemrods ont détruit 35 renards dont 10 de capturés vivants et 10 blaireaux. Les curieux n'ont pas manqué à Isigny pour aller contempler ce fameux tableau de chasse exposé durant plusieurs jours chez M. Jules Poincheval. (Le Bonhomme Libre)
Juillet 1950 - Deux Croix de guerre. - Deux communes sinistrées du Bessin ont reçu dimanche un temoignage officiel de Ia reconnaissance du Gouvernement pour leurs épreuves courageusement supportées au cours des combats du Débarquement. Accompagné du sous-préfet de Bayeux et de M. Destors, conseiller general, le colonel Le Bidean, commandant la Subdivision de Caen, s'est rendu à La Cambe ou en présence des autorités locales et de la population il a épinglé Ia Croix de guerre sur un coussin que lui présenta Mlle Lerouxel, institutrice. Un détachement du 8e B.I.C. de Cherbourg rendait les honneurs. - La même cérémonie, plus imposante comme il convenait au chef-lieu du canton s'est déroulée à Isigny ou la foule s'était, massée prés de l'Hôtel de Ville. L'arrivée du colonel Le Bideau fut saluée par une vibrante « Marseillaise » qu'exécuta l'Union Musicale. Accueilli par le Maire M. Touraille, qu'entouraient les membres du conseil municipal, le commandant la Subdivision procéda avec le cérémonial à la remise de la Croix de Guerre confiée un garçonnet, le petit Claude Marie. Versailles, ville marraine d'Isigny, qui avait tenu à partager la fierté de sa filleule était représentée à la cérémonie par son maire M, Mignot, une délégation des Anciens Combattants et le Comité de Patronage des Normands de la ville du Roi-Soleil. Au cours d'un vin d'honneur offert aux personnalités trois cadeaux des Versaillais firent monter de plusieurs tons la cordialité d'une réception déjà chaleureuse. Ce fut d'abord la remise par M. Mignot, au nom de Versailles, don de 200 000 fr. à
Isigny, puis
celui d'un titre de 10 000 fr. offert par le Bureau de Bienfaisance. Enfin
un cheque de 300 000 francs offert par le colonel Tisserand de la part du
Comité des Fêtes. Inutile de dire qu'un triple ban souligna cette triple
et délicate générosité. (Le Bonhomme Libre) |
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LA CAMBE (Calvados) |
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