1er septembre 2024

UN SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS

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COURTONNE - la - MEURDRAC

Canton de Lisieux

Les habitants de la commune sont des Courtonnais, Courtonnaises

Juillet 1927  -  Au feu !  -  En absence des époux Keirschieter, une incendie provoqué par un défaut dans la construction une cheminée a en partie détruit leur ferme, à Courtonne-la-Meudrac. Malgré les efforts des voisins et des pompiers, le mobilier n'a pu être sauvé. Les dégâts, assurés, s'élèvent à 32.000 francs.

 

Juin 1928  -  Une grave affaire.  -  Dans la nuit de dimanche à lundi, M. Joseph Bizot, agent visiteur de service à la gare de Courtonne-la-Meurdrac, canton de Lisieux, constatait  qu'un  rail de 12 mètres avait été déboulonné et décoincé sur la ligne Paris-Cherbourg, dans une courbe assez prononcée.

Une clé à boulons et un portefeuille contenant des papiers au nom de Prosper Beudin, cantonnier à l'essai de la gare de Courtonne-la-Meurdrac, ayant été trouvés sur les lieux du  sabotage, ce dernier était aussitôt interrogé par M. Priet, juge d'instruction de Lisieux. Beudin commença par déclarer qu'il avait égaré son portefeuille depuis plusieurs jours mais,  pressé de questions, il finissait par avouer que, le  samedi 9 juin, en rentrant chez lui après avoir absorbé plusieurs tasses de café à l'eau-de-vie, l'idée lui était venue de dévisser un  rail  : « J'ai agi inconsciemment bien que je reconnaisse que mon acte pouvait déterminer un accident grave ».

En effet, le misérable avait choisi l'endroit ou la voie se trouve à flanc de coteau sur un talus de 10 mètres de haut. C'est miracle qu'un terrible déraillement n'ait pas été provoqué par ce geste criminel, une vingtaine de trains étant passés ainsi, durant toute la journée de dimanche, sur le rail déboulonné.

Le coupable, né à Niort-Lafontaine (Mayenne), a 22 ans et appartient au réseau depuis le 2 janvier. C'est un employé médiocre, qui avait déjà encouru plusieurs observations et punitions. Il aura à répondre de son acte devant les Assises où il faut espérer que son acte abominable lui vaudra une punition exemplaire.  

 

Mars 1936  -  Mortelle accident de voiture.  -   M. Roney Prudent, 66 ans, propriétaire à Courtonne-la-Meurdrac, était monté sur une voiture hippomobile quand, par suite d'une fausse  manœuvre, la voiture heurta un talus et versa. 

M. Roney fut projeté hors de la voiture et blessé grièvement à la tête. Transporté à l'hôpital de Lisieux, il est décédé quelques heures après.  (source le Moniteur du Calvados)

 

Novembre 1936  -   Un centenaire normand vient de mourir.  -  Tout récemment on célébrait à Bordeaux les cent ans de M. Alphonse Clologe, né le 24 octobre 1836 à Courtonne la-Meurdrac. 

Nous apprenons aujourd'hui la mort de ce vénérable vieillard, survenue un mois à peine après la célébration de son centenaire. 

Il a conservé jusqu'à la fin toute sa lucidité et s'est éteint entouré de ses sept enfants : Mlles Sidonie, Marie et Angèle Clologe, le dicteur Charles Clologe, de Tartas, MM. Henri, Joseph et Gaston Clologe. 

Sa sœur est morte à 102 ans, il y a six ans. (source le Moniteur du Calvados)

 

Septembre 1937  -  Un prêtre calvadosien va fêter ses noces d’or sacerdotales.  -   M. l'abbé Joseph Lecœur, curé de Courtonne-la-Meurdrac, et desservant de Cordebugle, célébrera ses noces d'or sacerdotales le jeudi 16 septembre prochain, sous la présidence du R.P. Abbé Exupère, supérieur de Mondaye, et de MM. les chanoines Hugonin, archiprêtre de la cathédrale Saint-Pierre de Lisieux et de nombreux ecclésiastiques des environs et amis. 

Cette cérémonie se déroulera en présence du Conseil Municipal, du Conseil Paroissial, de la Confrérie de Charité et des paroissiens des deux communes.   (source le  Moniteur du  Calvados)

 

Mai 1938   -   Des bois flambent.   -   Un bois d’une contenance de 1 hectare 60 ares, situé sur le territoire Courtonne-la-Meudrac, a été détruit par un incendie. Le propriétaire est M.  Léon Massieu, demeurant au dit lieu.

Le feu s'est communiqué à un bois voisin, appartenant à Mme Clouet, de St-Pierre-de-Maillot, et à M. Leclert, de Morsang-sur-Orge (S.-et-O.), qui a été également détruit. L'ensemble des propriétés brûlées atteint 3 hectares. Ces bois se trouvent assez éloignés des habitations. Ils ont pu brûler dans le courant de la journée sans attirer l'attention  et l'incendie s'est  éteint de lui-même.

M. Massieu a porté plainte à la gendarmerie de l'Hôtellerie, qui a ouvert une enquête. (source le Moniteur du Calvados)  

 

Août 1938  -  Un ouvrier agricole attaqué et dépouillé sur la route.  -  A 21 h. 30. M. Bernard Blanche, 20 ans, ouvrier agricole à Courtonne-la-Ville. allait à bicyclette sur le chemin de Lisieux à Nonancourt, quand il entendit tout à coup le bruit d'un sifflet.

Il s'arrêta, croyant avoir affaire aux gendarmes. Surgirent deux individus qui lui demandèrent son portefeuille. Il leur répondit qu'il n'avait pas d'argent, mais l'un, des inconnus, en le saisissant par les deux bras, l'immobilisait tandis que l'autre, tout à son aise, le fouillait et prenait, 1 400 francs, en billets de banque, contenus dans un portefeuille placé dans la  poche de son pantalon.

Les deux inconnus disparurent ensuite dans la nuit. M. Blanche est allé aussitôt conter sa mésaventure à la gendarmerie de l'Hôtellerie. Une enquête est ouverte pour retrouver les deux malandrins. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Septembre 1938  -  Écrasé par la chute d'un mur.  -  M. Georges Leprêtre, 37 ans, cultivateur à Courtonne-la-Ville, a été renversé et écrasé par un mur qui s'est écroulé sur lui alors qu'il travaillait à la démolition d'une vieille maison. Son camarade de travail, Jean Lecœur, fils de la propriétaire de la maison, fit tout ses efforts pour le dégager, mais lorsqu'il y parvint, Leprêtre avait cessé de vivre.  (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Septembre 1938   -   Un ouvrier agricole attaqué sur la route.   -   A 21 h. 30. M. Bernard Blanche, 20 ans, ouvrier agricole à Courtonne-la-Ville, allait à bicyclette sur le  chemin de  Lisieux à Nonancourt, quand il entendit tout à coup le bruit d'un sifflet.

Il s'arrêta, croyant avoir affaire aux gendarmes. Surgirent deux individus qui lui demandèrent son portefeuille. Il leur répondit qu'il n'avait pas d'argent, mais l'un des inconnus, en le  saisissant par les deux bras, l'immobilisait tandis que l'autre, tout à son aise, le fouillait et prenait, 1 400 francs, en billets de banque, contenus dans un portefeuille placé dans la poche de son pantalon.

Les deux inconnus disparurent ensuite dans la nuit.

M. Blanche est allé aussitôt conter sa mésaventure à la gendarmerie de l'Hôtellerie. Une enquête est ouverte pour retrouver les deux malandrins.  (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

 Janvier  1939   -   Deux motocyclistes se fracturent chacun une jambe.   -   Un accident assez grave s'est produit dimanche, vers 14 heures, sur le chemin de Lisieux à  Nonancourt,  territoire de la commune de Courtonne-la-Meurdrac.

Deux motocyclistes M. Tessot et son beau-frère, demeurant tous les deux à Lisieux, se sont jetés dans l'arrière d'une voiture automobile et se sont tous les deux fracturé la jambe gauche. (Source  : Le Moniteur du Calvados) 

 

Janvier 1940  -  Une fillette de six ans succombe à de graves brûlures.  -  M. Edmond Larue, 65 ans, ouvrier agricole, demeurant au village de la Lescraie, à Courtonne-la-Meurdrac, père de six enfants, dont l'aîné à dix ans, quittait son domicile vers 17 heures, avec sa femme, pour aller chercher du bois. A leur départ, ils avaient laissé cinq de leurs enfants se
chauffant devant l'âtre, comme de coutume. Étant trop pauvre, le ménage n'a pu encore acheter d'appareil de chauffage.
Après un quart d'heure environ d'absence, M. Larue étant sur le chemin du retour entendit une fillette lui crier « Au feu ». Il accourut immédiatement avec sa femme et trouvèrent déjà dans le logement une voisine, Mme Delamare, qui avait couché la petite Suzanne, âgée de six ans, sur la table de cuisine et l'avait enveloppée dans un manteau. La pauvre enfant était grièvement brûlée.
Les parents lui portèrent secours immédiatement et la couchèrent mais commirent l'imprudence de ne pas appeler le médecin. Vers six heures du matin, la fillette se trouvait plus mal, une demi-heure après, elle décédait des suites de ses blessures.
Alertée, la gendarmerie de l'Hôtellerie ouvrit une enquête. C'est ainsi que par la voisine, Mme Delamare, ils apprirent que se trouvant chez elle, elle avait entendu la petite Henriette appeler au secours et qu'elle était accourue. Elle avait alors aperçu la petite Suzanne à la fenêtre de l'habitation, les vêtements complètement en flammes.  
D'autre part, les gendarmes ont pu apprendre par le petit Louis, â de neuf ans que son jeune frère Marcel, âgé de trois ans avait pris un tison dans le foyer avec des pincettes et avait mis le feu à la robe de sa sœur, robe qui par malheur, était en pilou. Un médecin de Lisieux appelé, ne put que constater le décès. L'enquête continue.  

 

Mars 1940  -  Au feu.  -  Un violent feu de cheminée s'est déclaré au domicile de M. Charles Deschamps, cultivateur à Courtonne-la-Meurdrac.
Les pompiers de Lisieux alertés se sont rendus sur les lieux. Grâce à leur prompte intervention, l'incendie a été rapidement éteint et les dégâts qui auraient pu être très graves ont été très légers.

 

Mai 1940   -   Un château est dévalisé.   -   Mme Clotilde Seyrig, 59 ans, propriétaire, demeurant au château de Gouvix, à Courtonne-la-Meurdrac, quittait le 1er Janvier dernier son château, pour regagner Paris. Elle revint pour ques et c'est lors de son second départ qu'elle s'aperçut, en faisant ses malles, que divers vêtements, se trouvant dans une commode, avaient disparu, en particulier plusieurs écharpes. Elle continua ses recherches et s'aperçut que trois serrures de tiroirs avaient été arrachées. Dans une autre chambre, on lui avait volé, dans un placard, un chandail. Enfin, dans le vaisselier de la salle à manger, les cambrioleurs avaient dérobé des couteaux, des cuillères, etc.
Mme Seyrig, qui subit un préjudice de 1.200 francs environ, a porté plainte à la gendarmerie de l'Hôtellerie, et une enquête fut ouverte. Plusieurs personnes ont été interrogées sans résultat et les recherches
continuent.  

 

Janvier 1942   -   Tickets de sucre.   -   Les tickets spéciaux de sucre de 50 gr. du 4e trimestre 1941 (titre C. 185) ont leur validité prorogée jusqu'à nouvel ordre, et seront employés pour les régimes concurremment avec les nouveaux tickets de 500 gr. du Premier trimestre 1942 (titre C. 205).

 

Janvier 1942   -   Les tickets de charcuterie.   -   Le Préfet a arrêté que les tickets BA et BB de la feuille de viande du mois de janvier 1942 auront chacune une valeur de 90 gr. Ils seront  utilisés en principe pour la charcuterie.

Les tickets-lettres, BC, BD et BE de cette même feuille sont provisoirement sans valeur.

 

Août 1942   -   Un accident.   -  Prés de Lisieux, sur le territoire de la commune de Courtonne-le-Meurdrac, un requis à la garde des voies ferrées, M. André Castel, 22 ans, célibataire,  demeurant à Hermival-les-Vaux, a été trouvé vers 2 h. du matin, mort sur le ballast, le bras droit fracturé et portant au visage une profonde blessure.

On croit qu'entendant soudain un convoi arriver derrière lui, le malheureux se retourna, mais, qu'à ce moment précis, il trébucha et fut happé par un marchepied qui le traina sur une  distance de 11 mètres.  (Bonhomme Normand)

 

Décembre 1946  -  Un chasseur se blesse grièvement.  -   En posant son fusil à terre, dans un pré, M. Jean Brice, 68 ans, propriétaire à Courtonne-la-Meurdrac, a été atteint à l’épaule gauche par la décharge de son arme. L’état du blessé est inquiétant. (Source : Le Bonhomme Libre)  

 

Juin 1947  -  Les méfait de l’orage.    Une pluie de gros grêlons s’est abattue sur la région de Courtonne-le-Ville et de la Chapelle-Yvon, occasionnant de sérieux dégâts aux arbres fruitiers. (Source : Le Bonhomme Libre)

 

Septembre 1947  -    Au feu !    Un incendie s’est déclaré à Courtonne-la-Ville, dans un bois appartenant à M. Georges Foumier, aviculteur, détruisant un demi hectare de broussailles. (Source : Le Bonhomme Libre)

 

Septembre 1947  -    Un éleveur tué par un taureau.    Au Centre d’insémination du Pays d’Auge installé chez M. Lehideux, à Courtonne-la-Meurdrac, un inséminateur, M. Adwin Meister, 46 ans, demeurant à la Chapelle-Yvon, a été mortellement blessé de deux coups de cornes par un taureau. (Source : Le Bonhomme Libre)  

 

Avril 1948  -   Un coup de trop.   -  Interpellé par M. Auguste Boucher, 71, cultivateur à Courtonne-la-Ville, comme il traversait ses herbages, un journalier de la commune, Almire Robinne, 45 ans, qui avait bu plus que de raison, prit fort mal la chose, se jeta sur le septuagénaire qu'il saisit à la gorge. 

Les appels de M. Boucher firent lâcher prise à l'agresseur. Entendu par les gendarmes, Robinne a prétendu avoir été provoqué. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Octobre 1948   -   Sans-gêne.   -   S'étant rendu acquéreur d'un lot de bois dans une vente, M. Albert Lemaître, scieur ambulant à Courtonne-la-Meudrac, avait la désagréable surprise de constater la disparition de celui-ci lorsqu'il vint pour en prendre livraison.

Ce bois avait été a « récupéré » . par Mme Fouquet, de La Chapelle-Yvon qui promit de le rendre sous huitaine. Le délai s'étant écoulé sans que M. Lemaître soit rentre en possession de son bien, plainte a été portée. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Octobre 1948   -   L’épicière exagérait.   -   Procès-verbal a été dressé contre Mme Bernard Lenormand, 32 ans, épicière à Courtonne-la-Meurdrac, pour hausse illicite. Sur un bocal de confiture qu'elle avait payé 191 fr. une cliente avait en effet relevé les prix suivants 60 fr., 125 fr., 141 fr. et 171 fr. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Mars 1949   -   Des renards à deux ou quatre pattes ?   -   En procédant au recensement de ses volailles, M. Charles Foucault, cultivateur à Courtonne-la-Ville, a constaté 171 manquantes sur un total de 286. Préjudice 50 000 francs. Encore que les renards à quatre pattes soient nombreux dans la région, l'hypothèse de vols n'est pas écartée. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Mars 1949   -   Une razzia dans un herbage.   -   A Courtonne-la-Meurdrac, M. Jules Deshors, cultivateur à signalé la disparition de quatre brebis et d'un bélier. Préjudice 80 000 francs. Des traces de pneus d'auto ont été relevées à proximité de l'herbage où les animaux étaient parqués.

Les pillards : René Vivier, de St-Mards-de-Fresne, et un nommé Émile Feuillet ont été appréhendés. N'ayant pu vendre leurs animaux à un cultivateur de Bernay, ils avaient abandonné les animaux aux environs. Le troupeau a été retrouvé. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Août 1949   -   Une affaire de trafic d'armes à Courtonne-la-Meurdrac.   -   Samedi, en manipulant deux caisses d'un poids total de 75 kilos et portant la mention « Outillage », un employé de la gare s'est aperçu par hasard que celles-ci renfermaient des armes.
Le Parquet de Lisieux aussitôt informé s'est rendu sur les lieux. Les caisses renfermaient une mitraillette anglaise, un pistolet-mitrailleur allemand et des munitions. Elles étaient adressées à un ménage d'octogénaires de Marolles qui avait reçu quelques jours auparavant de l'expéditeur une lettre les avisant de l'envoi des colis, les priant d'en avoir grand soin et de ne pas les ouvrir.
L'enquête se poursuit et pourrait réserver d'autres surprises. ( Le Bonhomme Libre )

 

Octobre 1949   -   Une ferme au pillage.   -  La semaine dernière les époux Louis Quettier, cultivateurs à Courtonne-la-Meurdrac, quittaient leur domicile pour se rendre à une noce aux environs de Rennes. Peu après leur départ, la gardienne chargée du soin des bestiaux devait constater que la maison avait reçu la visite de malfaiteurs.

Tous les meubles avaient été fouillés, principalement l'armoire de la chambre. Dans un « Mirus », ils s'emparèrent d'une somme de 5 000 francs qui s'y trouvait dissimulée, négligeant dans leur précipitation, de visiter un placard du rez-de-chaussée où M. Quettier a l'habitude de déposer l'argent nécessaire à la marche de son exploitation, et dont le montant est assez élevé.

Les gendarmes de l'Hôtellerie ont ouvert une enquête. ( Le Bonhomme Libre )

 

Mars 1950   -   La laveuse « lessivait » les billets.   -   M. Daniel Riault, 32 ans, de Courtonne-la-Meurdrac, au service de M. Reaux, fromager à Glos, ayant constaté la disparition de diverses petites sommes d'argent laissées dans sa chambre, décida de laisser en évidence quelques billets dont il prit soin de relever les numéros.

Ce subterfuge lui permit d'apprendre que la veuve Hélène Morand, 65 ans, laveuse chez M. Reaux, avait réglé l'achat d'un litre de vin chez Mme Dière, épicière, avec un des billets.

La veuve Morand n'a pu que reconnaître ses larcins. ( Le Bonhomme Libre )

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