1er Mars 2024

UN SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS

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Le HAM

(Cne de HOTOT-en-AUGE)

Canton de Cambremer

Les habitants de la commune sont des Hamais, Hamaises


Novembre 1854   -   L’orage.   -  Mercredi dernier, vers cinq heures du soir, la dame Germain, née Casset, demeurant au Ham, sortit de chez elle pour aller traire sa vache dans un herbage de la commune. Le temps, qui avait été nuageux pendant l'après-midi, se mit tout-à-coup à l'orage, et l'eau tombant à flots, la dame Germain étendit son parapluie pour s'en préserver.

A ce moment, un violent coup de tonnerre éclata, et la dame Germain fut frappée mortellement par la foudre, qui vint l'atteindre au haut de la poitrine et traça sur son corps une ligne longitudinale qui s'arrêta vers le milieu du ventre. Ses vêtements ne furent point brûlés, il n'y eut d'endommagé que sa collerette et sa chemise.

Quand on s'aperçut de ce malheur, on trouva la dame Germain accroupie et couverte de son parapluie, que le fluide électrique avait troué en quatre endroits. (La vache, auprès de la[1]quelle se trouvait le cadavre, n'avait reçu aucune atteinte).

On rapporte qu'une autre femme, de la commune du Ham, voulant faire rentrer chez elle son nourrisson, qu'elle tenait par la main, fut poussée, par la commotion électrique, contre une armoire placée à quelques pas de sa porte. Cette femme n'a eu aucun mal.

Le bruit court aussi que, le même jour, une autre femme a été tuée d'un coup de tonnerre dans la commune de Canon. (Source : Le journal de Honfleur)

 

Avril 1860   -   Un drame.   -   Le 23, le sieur Chillard Dominique, âgé de 76 ans, cultivateur, demeurant en la commune du Ham, canton de Cambremer, revenait de la foire de Caen, lorsque, tout-à-coup, il est tombé frappé d'apoplexie, sur la route de Troarn à Beuvron.

Transporté immédiatement dans une maison voisine, ce malheureux n'a pu être rappelé à la vie, malgré les soins empressés dont il a été l'objet.

Nous n'osons croire, malgré l'assurance qu'on nous en donne, que, dans cette circonstance, un médecin du canton de Troarn se soit refusé d'aller auprès du sieur Chillard, qui aurait pu, dit-on, être sauvé, si un homme de l'art l'eût secouru. On affirme même que ce médecin n'a pas voulu obtempérer à une réquisition de l'autorité, à l'effet de constater le décès de cet infortuné vieillard. ( L’Ordre et la Liberté)

 

Juin 1860   -   Inondation de la vallée de la Dives.   -   A la suite des pluies abondantes et continuelles qui sont tombées dans notre pays, une inondation considérable s'est produite dans la riche vallée de la Dives et l'a submergée dans toute son étendue, depuis Dives jusqu'à Corbon, c'est-à-dire dans une longueur de plus de cinq myriamètres. Tous les herbages, indistinctement sont ensevelis sous les eaux. On n'avait pas vu une semblable crétine, à l'époque où nous sommes depuis un long espace de temps.

Tous les cours d'eau qui coulent dans la vallée ont franchi leurs digues et se sont répandus dans les herbages voisins, on a constaté que les digues avaient été emportées par la crétine en plusieurs endroits. La belle vallée de la Dives, dont l'aspect présentait encore, il y a peu de jours un aspect tout à fait enchanteur, n'est plus qu'un immense lac d'eau bourbeuse. La route de Caen à Rouen, entre Troarn et Saint-Samson, est couverte par l'eau comme au mois de décembre dernier, lors de la crétine qui survint à la suite du dégel.

La vaste plaine marécageuse,  connue vulgairement sous le nom de Domaine, qui appartenait, avant la révolution de 89, à M. le duc d'Orléans, et qui est bordée par les communes de Saint-Samson et Saint-Pierre-du-Jonquet, Le Ham, Goustranville et Putot,  n'offre plus à l’œil qu'une immense nappe d'eau. Tous les herbages que l'on destinait à être fauchés, dans la vaste étendue de la belle vallée de la Dives, sont tellement couverts d'eau que l'on a peine à découvrir quelques vestiges d'herbe.

La situation exceptionnelle de la vallée de la Dives et la nature particulière du terrain dont elle est composée, rejettent toute espèce de travaux de dessèchement, elle ne prospère que par l'humidité naturelle du sol, ôtez lui cet élément indispensable à sa prospérité, elle se desséchera et ne produira plus rien, les rongeurs la ravageront complètement, et les bestiaux  qu'on y met au pâturage nous trouverons plus qu'une nourriture insuffisante, ces faits se produisent dans la vallée toutes les fois qu'une inondation ne l'a pas couverte pendant l'hiver.

La crétine que nous signalons est hors de saison, c'est un mal inévitable qu'il faut avoir la résignation de supporter, parce qu'aucun moyen ne peut être assez efficacement employé pour l'empêcher ou pour l'éviter, néanmoins, si le temps se fixait au beau et que les propriétaires et les fermiers de la vallée en profitassent pour couper leurs herbes telles quelles, en temps opportun, le regain qui croîtrait à l’arrière saison, s'il était favorisé par un temps convenable, les dédommagerait encore considérablement de leur perte actuelle, tant la fécondité de la vallée est grande et toute puissante après les inondations. ( L’Ordre et la Liberté)

 

Septembre 1860   -   Chemin d'Argences à Dives.   -   Le Conseil général classe comme chemin vicinal de grande communication la ligne d'Argences à Dives.

Déclare traversées les communes d'Argences, Saint-Pierre-du-Jonquet, Saint-Ouen-du-Mesnil-Oger, le Ham, Brocottes et Beuvron, intéressées, celles de Putot, Canteloup, Cléville, Hottot, Dozulé et Cricqueville. ( L’Ordre et la Liberté)

 

Novembre 1866   -   La migration.   -   On ne se rappelle pas avoir vu passer dans notre pays, comme depuis ces jours derniers, autant d'oiseaux venant des contrées septentrionales, surtout des cigognes, des grues et des hérons. On doit voir là l'indice précurseur d'un hiver précoce et rigoureux.

 

Novembre 1866   -   Les étoiles filantes.   -   Les astronomes comptent sur de magnifiques pluies d'étoiles dans les nuits des 12 et 13 de ce mois.

A cette époque de l'année, on voit généralement un grand nombre d'étoiles filantes. Mais on ne verra pas, dit-on, avant la fin du siècle, un spectacle céleste aussi brillant que celui de cette année.

 

Janvier 1867   -   Le froid.   -   la soirée et une partie de la nuit de samedi à dimanche dernier ont été marquées par une température exceptionnelle.

Il est tombé, pendant plusieurs heures consécutives une sorte de pluie fine et glacée qui a converti nos rues et nos places publiques en une véritable mer de glace, sur laquelle les mieux aguerris ne parvenaient que fort difficilement à conserver l'équilibre. Aussi les chutes ont-elles été nombreuses. Plusieurs d'entre elles ont donné lieu à des accidents plus ou moins graves.

 

Juillet 1868   -   Une fête.   -   La commune de Ham a célébré dignement sa fête patronale. Ses moyens ne lui permettaient pas sans doute de faire élever une estrade pour placer convenablement les musiciens, car ils étaient suspendus sur une charrette à gerbes fortement étayée.

Malgré cette précaution, et au plus entraînant moment d'une polka boquine, la voiture est tombée sur le derrière ... ainsi que les musiciens.

L'un d'eux a eu la tête tellement engagée dans le ... cor de son voisin, que ce n'est qu'après trois heures de travail qu'on est parvenu à l'extraire de sa triste situation !  

 

Décembre 1869   -   Fait divers.   -  Un affreux malheur, dû à l'imprévoyance, est arrivé, au Ham, vendredi dernier, et a jeté la consternation parmi les habitants.

Dans la soirée, la dame Laubé quitta son domicile pour aller, comme à l'ordinaire, traire ses vaches à quelques pas de là. Elle laissa, sans surveillance, ses deux enfants à la maison, un petit garçon couché dans son berceau, et une petite fille, âgée de deux ans et demi, qui vaguait en liberté.

Quelques instants après, la dame Laubé entendit des cris de détresse poussés par sa fille, elle s'empressa d'accourir pour en connaître la cause, mais, à son arrivée, un affreux spectacle s'offrit à sa vue, elle vit sa pauvre petite fille entourée de flammes et poussant des cris déchirants. L'enfant s'était probablement approchée du feu, que la mère avait laissé  dans le foyer sans le couvrir avant de sortir de chez elle, et ses vêtements s'étaient enflammés, soit par des étincelles, soit par leur contact avec le feu. La malheureuse mère, éperdue de douleur, porta des secours à son enfant et fit appeler immédiatement un médecin, mais les brûlures étaient si graves et si profondes que tout espoir de la sauver fut perdu. La pauvre enfant expira une heure après ce fatal événement.

 

Août 1874   -   Sécheresse.  -  La sécheresse qui s'est fait sentir pendant le commencement de ce mois, a tari les fossés et les mares des herbages du Pays-d'Auge, les bestiaux qui étaient au pâturage ont beaucoup souffert de cet état de chose. Ainsi, on nous informe qu'on a trouvé, le 15 de ce mois, trois bœufs inanimés, qui ont succombé à la soif et qui étaient au pacage dans un herbage de la commune du Ham, ils appartenaient à M. Greley, herbager.  

 

Janvier 1879  -  Construction d’écoles.  -   Pour le Calvados, 25 constructions nouvelles dans 22 communes, dans l’arrondissement de Pont-l'Evêque : Blangy, école de garçons ;  Le Ham, école mixte ; Gonneville-sur-Dives, 2 écoles.

 

Octobre 1890  -  Mort accidentelle.  -  Un ouvrier couvreur de 34 ans, qui travaillait à la couverture de l'église de Le Ham, est tombé d'une échelle de la hauteur de 4 mètres. Trois heures après cette chute, il est mort des suites de lésions internes. Cet accident paraît être dû à l'état de demi ivresse dans lequel il se trouvait. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Novembre 1892  -  Maire grincheux.  -  En août, M. Binet, maire du Ham, canton de Cambremer, présidait la distribution des prix. Dans la salle se trouvait un sieur Duval, un peu surexcité par le chagrin de voir son fils n'obtenir qu'un 3e prix, chagrin que le brave papa avait eu le malheur d'essayer de noyer dans plusieurs sous de café. Comme le maire voulait le faire taire, Duval répondit; qu'il l'em.…… Colère du magistrat, plainte et poursuite. 

A l'audience, huit témoins affirment avoir entendu le mot de Cambronne, dix-sept, présentés par Duval, disent n'avoir rien entendu. Quelques-uns ont fini par avouer qu'ils avaient l'oreille un peu paresseuse, mais trois ont juré et rejurè que Duval n'avait rien dit. Si bien que Duval, principal coupable, n'a été condamné qu'à 200 francs d'amende pour injures, et  les sieurs Buret et Germain ont attrapé quatre mois de prison et une femme Morand deux mois, pour faux témoignages. Ils ont porté appel, et sont décidés à se rétracter devant la cour. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Décembre 1896  -  Perdue dans la neige.  -  La dame Antoinette Richard, 75 ans, demeurant à Canteloup, a été trouvée le matin, au Ham, assise dans la neige, les jambes gelées. Il est probable qu'aveuglée par la neige elle s'était trompée de chemin et avait ainsi passé la nuit. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Décembre 1896  -  Le Patois normand.  -  M. Guerlin de Guer fils vient de réunir en brochure, sous le titre « Introduction à l'étude des parlers de Normandie », un travail des plus intéressants. M. Guerlin de Guer termine sa courte préface en déclarant que son « plus vif désir est de travailler en Normandie pour la Normandie et pour les Normands » Cette idée est trop belle pour ne pas être encouragée. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Septembre 1901   -   Adultère.   -   La gendarmerie de Dozulé a pincé en flagrant délit d'adultère le sieur Henri Boulin, débitant, et la nommée Céline Deraine, domestique, tous deux au Ham. (Source : Le Bonhomme Normand)  

 

Novembre 1901    -   Pour n’avoir fait qu’un lit.  -   Un matin, à quatre heures, Henri Boulin, 43 ans, débitant au Ham, était réveille par des coups frappés à sa porté. « Qui qui vient m'dérangi à c't'heure-là », grogna maître Henri en se levant.

Tout colère, il se mit à la fenêtre et ne fut pas peu surpris de voir les gendarmes qui lui ordonnaient d'ouvrir au nom de la loi. « Mais j'n'ai pas d'buveurs cheux mé », cria le débitant. — « Non, répondirent les gendarmes, mais vous avez une buveuse dans votre lit ».

En effet, cette nuit-là, Boulin avait offert la moitié de son lit à sa bonne, Noémie Derennes, 26 ans.

À la voix des gendarmes, la servante se sauva dans une autre chambre, en oubliant malheureusement ses vêtements dans celle de son maître. De plus, les gendarmes constatèrent l'empreinte de deux corps dans le lit et autres corps de délit qui ont fait citer Boulin et sa servante devant le tribunal de Pont-l'Evêque, où ils ont été condamnés à 100 fr. d'amende chacun, mais par défaut, car Boulin, trop occupé, et sa bonne, indisposée d'un mal à terme attrapé, dit-on, dans le lit de son patron, ne se sont pas présentés. (Source : Le Bonhomme Normand) 

 

Janvier 1903    -   Incendie.  -  D'une étable dépendant de la ferme exploitée par le sieur Alfred Germain, propriétaire au Ham. Sept vaches ont été brûlées. Pertes pour le propriétaire,  le sieur Albert Germain, à Paris, 4 000 fr., pour le locataire, 3 500 fr. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Janvier 1903    -   Fermeture de 58 écoles.  -   Ainsi que nous l'annoncions il y a quinze jours, 58 écoles de religieuses, établies dans le Calvados, viennent de recevoir l'ordre de fermer leurs portes.

Les écoles fermées à Caen sont celles de la rue au Canu, de la rue du Moulin, de la rue du Vaugueux, de la rue des Cordes-Saint-Gilles et de la rue des Carmes.  (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Avril 1903  -  Inhumanité.   -  Le nommé Duhamel, 44 ans, charretier à Cabourg et demeurant au Ham, ayant eu, une rixe avec un individu, était trouvé dangereusement blessé sur la route, à Beuvron-en-Auge. Le maire le fit mettre sous un hangar où, il resta toute une nuit. Le lendemain matin, le médecin ordonnait son transport à l'hospice. Le maire, voulant éviter des frais à sa commune, fit porter le blessé au Ham. Le maire du Ham le renvoya à Beuvron. La préfecture, avisée, intervint et força le maire de Beuvron à faire porter le blessé à l'hospice  (Source  : Le Moniteur du Calvados)  

 

Octobre 1903  -   Outrage public à la pudeur.   -   Ernest Jouvin, journalier, et la fille Amélia Vérout, ménagère, demeurant au Ham, sont inculpés d'outrage public à la pudeur. La gendarmerie de Dozulé en a fait la constatation. (Source : Le Bonhomme Normand)

Octobre 1903  -   École primaire supérieure.   -   A peine notre école supérieure est-elle ouverte que les élèves abondent au point qu'on est obligé de faire certains cours dans les corridors.

Cela s'explique, car les enfants, en plus de l'instruction ordinaire, sont exercés aux travaux manuels et préparés à entrer dans toutes les écoles industrielles. (Source : Le Bonhomme Normand)  

 

Décembre 1903  -   Effet de lune.   -   En traversant, un soir, l'un de ses herbages, le maire du Ham, canton de Cambremer, vit quelque chose qui remuait sur l'herbe du chemin. Il crut d'abord à un effet cinématographique produit par la lune, dans le genre de ceux qu'il avait admirés à la foire de Caen. Mais, en approchant, il fut bien obligé de se rendre à l'évidence en voyant les acteurs de ce tableau mouvant se relever à la hâte et disparaître derrière les futaies.

Malheureusement pour eux. ils avaient été reconnus. Voilà pourquoi Ernest Jouvin, 24 ans, journalier à Saint-Samson, et Amanda Verout, 21 ans, ont été condamnés, malgré leurs dénégations, à deux mois de prison chacun pour outrage public à la pudeur. (Source : Le Bonhomme Normand)

 

Décembre 1921  -   Un bain trop froid.   -   Un jeune domestique de 19 ans, Raoul Gosselin, employé chez M. Boissée, à Curcy, canton d'Évrecy, était venu à Harcourt faire quelques commissions.

En arrivant au hameau du Ham, il fut saisi par deux individus qui, sans mot dire, le jetèrent à l'Orne. Le jeune homme put heureusement se raccrocher aux branches qui bordent la rivière et sortir de l'eau. Il alla ensuite se sécher dans une maison voisine. Aussitôt leur coup fait les deux individus se sont enfui dans la direction de Hamars. On ignore encore les causes de cette ridicule agression. (Source  : Le Bonhomme Normand)

 

Août 1923  -  Un père dénaturé.  -  Brute alcoolique, Nolmy Morand, 34 ans, à Troarn, journalier au Ham, privait de soins son enfant, âgé de 6 ans, et le brutalisait. Un jour, il s'oublia jusqu'à le frapper à la tète d'un coup de serpe. Six mois de prison et déchéance de la puissance paternelle. L'enfant est confié l'Assistance Publique.

 

Août 1942   -    Pour les prisonniers.   -   A Le Ham, dimanche 9 août, grande matinée récréative au profit des prisonniers de guerre de Beuvron,Brocottes et Le Ham.

à 14 h. 30, défilé Normand avec plus de 80 figurants. à 15 h., séances avec le concours des cigales normandes et des artistes locaux. Tous au Ham en prenant le soin de réserver ses places.

 

Novembre 1948   -   Et les règlement ?   -   De passage au Ham, les gendarmes ont découvert deux sacs de 100 kilos de blé que transportait clandestinement dans sa camionnette M. Maurice Lelièvre, 27  ans, grainetier à Méry-Corbon.

Le délinquant s'est refusé à indiquer la provenance et la destination de son chargement. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Janvier 1949   -   Le Calvados à l'honneur.   -   Enfin ! Enfin ! Après Caen, Falaise, Lisieux, Vire, Saint-Aubin-sur-Mer, un nombre imposant de localités de notre département viennent de se voir discerner la Croix de Guerre que leur ont mérité leur martyre au cours des combats pour la libération.

Voici l'éloquent tableau d'honneur que nous sommes heureux de publier en espérant que ceux de nos villages encore oublié vienne bientôt ajouter leurs noms au livre d'or de l'héroïsme.

Les lettres placées entre les parenthèses indique lors de la citation : R : régiment ; D : division.

Arrondissement de Pont-l'Évêque.

Canton de cambremer. Le Ham (R).

 

1973  -  Hotot-en-Auge (206 habitants en 1968) absorbe les communes de Brocottes (104 habitants) et Le Ham (35 habitants).

Le Ham  -  Église Saint-Pierre

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