1er Avril 2025

UN SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS

Page 1

HÉROUVILLE - ST-CLAIR

Canton de Caen

Les habitants de la commune d'Hérouville sont des Hérouvillais, Hérouvillaises

Juillet 1828   -   Tribunal de Police Correctionnelle.  -   Audience du samedi 28 juillet 1828.   -   Sophie Chemin, dite Marie, domestique, demeurant à Hérouville-Saint-Clair, a été condamnée à 1 an d'emprisonnement et à 16 fr. d'amende, pour avoir porté des coups et fait des blessures aux sieurs Foucher et Herrier.

-        Jacques Legrand, journalier, demeurant à Caen, a été condamné à 3 ans d'emprisonnement , à 16 fr. d'amende et à 5 ans de surveillance, pour avoir volé des planches sur le quai de cette ville. au préjudice du sieur Boissée.

Charles Périé, prévenu de s'être rendu complice de ce vol, a été acquitté.

-       Jean Binet et Marie Hélie, son épouse, demeurant à Troarn, ont été condamnés à 2 ans d'emprisonnement, pour avoir mendié hors du canton de leur résidence, et en usant de menaces contre les personnes qui refusaient de leur donner. (Le Journal de Caen et de la Normandie)

 

Juin 1829   -   Une condamnation.   -   La femme Grière et son fils naturel ont été condamnés à chacun un mois d'emprisonnement, pour avoir coupé 40 et quelques brins d'orme dans une haie, à Hérouville.

Une question assez importante se présentait dans cette affaire, est-ce la loi d'octobre 1791 ; est-ce le Code forestier que l'on doit invoquer dans l'espèce ?

Le tribunal a considéré que le fait imputé était un maraudage et a appliqué la loi d'octobre 1791. (Le Journal de Caen et de la Normandie)

 

Mai 1830   -   L'armée appelée en renfort pour rétablir l'ordre.   -   Hier 26, 4 compagnies du 4e régiment de ligne, dont nous avons annoncé le nouveau séjour dans notre pays, au moment où il allait le quitter, ont été dirigées sur Vire, 2 autres sur Falaise et 2 sur Bayeux.

Ce matin, 100 hommes du même régiment ont été répartis aux environs de Caen, dans les 3 communes d'Hérouville-St-Clair, Eperon et Colombelles. Ce matin aussi, 4 compagnies du bataillon du 12e de ligne qui était en garnison à Dieppe, sont arrivées à Caen.

Lundi et mardi prochains arriveront de St-Denis et Courbevoie, le 4e régiment d'infanterie de la garde royale, et 500 hommes du 1er régiment de grenadiers à cheval, également de la garde.

M. le lieutenant général comte :Floissac-la-Tour, est arrivé hier ici pour prendre le commandement de la division militaire, et diriger les troupes envoyées dans notre pays.

Nous apprenons aussi que le bataillon de la garde royale qui a reçu l'ordre de se rendre de Rouen dans le Calvados, est depuis hier à Lisieux. Ainsi, indépendamment des régiments qui tenaient garnison dans nos départements, voilà plusieurs milliers d'hommes répandus sur la surface de la Manche et du Calvados.

Notre position est extrêmement délicate, cet appareil militaire, déployé sur des arrondissements laborieux et industriels, où naguère régnait la sécurité la plus profonde, et où n'ont pas cessé de régner l'ordre et le respect dû aux lois et aux autorités, donnerait à notre pays l'aspect d'un pays conquis, n'était la fraternité qui va promptement s'établir entre l'armée et la population.

Les soldats répartis dans nos campagnes songeront, en entrant sous le chaume où ils recevront un asile et qu'ils sont appelés à protéger, que tous les Français sont solidaires du repos et du bonheur commun, ils se souviendront qu'eux aussi ont laissé sous le chaume des familles chez lesquelles le fléau qui désole notre contrée pouvait aussi porter la désolation, ils tendront en signe de paix et d'union la main aux cultivateurs, qui de leur côté verront en eux des amis secourables, et qui, grâce à leur assistance, pourront reprendre sans crainte le cours de leurs travaux. Unis pour la même cause, leurs efforts mutuels sauront bientôt conjurer les tentatives criminelles, si quelques misérables osaient encore en former, ou saisir et mettre sous le coup de l'autorité ceux qui auraient la témérité de passer, la torche incendiaire à la main, à travers les baïonnettes protectrices.

Oui, soldats et habitants sauront comprendre leur position respective, parce que les uns seront pénétrés des égards que l'on doit au malheur, et les autres du respect que commande tout acte fait au nom de la loi et du Roi, Citoyens soldats, ou soldats citoyens, tous auront la même pensée, ramener le calme et la sécurité dans tous les lieux d'où le crime les a bannis depuis quelques mois. (Le Pilote du Calvados)

 

Février 1831    -    Saint Clair, protecteur de la vue, vénéré à Bourgeauville et Hérouville-Saint-Clair.   -   La vue étant le plus précieux des sens, donnons dans la nomenclature la première place à St-Clair, qui guérit les maux des yeux. Le nom seul du bon saint est d'heureux augure pour la guérison, puisque voir clair est le vœu que forment tous les malades, en marchant, le bandeau sur les yeux et le bâton à la main, vers Bourgeauville ( vallée d'Ange), où de sa niche élégante, il donne audience aux pèlerins aveugles ou menacés de le devenir.

Le même saint est aussi l'objet de plus d'un pieux pèlerinage vers Hérouville ( paroisse dont le nom est enrichi de son propre nom ), où lui a été consacrée une fontaine dont les eaux sont réputées un excellent collyre.   (Le Pilote du Calvados)

 

Août 1831    -   Un voleur arrêté.   -   Un vol a été commis il y a quelques jours chez un propriétaire de la commune d'Herouville-St-Clair, avec des circonstances qui indiquent une grande effronterie de la part de l'auteur, le nommé François Savary, âge de 18 ans, ouvrier serrurier à Caen. En plein jour, cet individu, profitant du moment où tout le monde travaillait dans les champs, après s'être introduit dans la cour, en franchissant les murs extérieurs, escalada de nouveau une fenêtre à environ 14 pieds du sol, pour entrer dans la maison. Ne trouvant pas ce qu'il cherchait dans l'appartement où il était entré, il fit un trou au plancher et descendit ainsi dans une chambre où il avait déjà mis de côté un sac d'argent quand quelqu'un survint dans cette chambre, et aperçut le trou du plancher, et bientôt après, le voleur qui s'était blotti dans un coin.

Pris ainsi sur le fait il n'a pu nier le vol, il a été remis aussitôt aux mains de la justice.

Il y a quelques mois un vol, d'une somme de 1 100 fr. a eu lieu dans la même maison, on a de fortes raisons de soupçonner le même individu d'être l'auteur de ce vol. (Le Pilote du Calvados)

 

Novembre 1852   -   Cour d'assises du Calvados.   -   Audience du 8 novembre.

  Des vols d'argent étaient commis depuis quelques temps à Hérouville, au préjudice du sieur Poisson, boulanger, i! se mit en embuscade, surprit le voleur, lui lira deux coups de fusil, celui-ci blessé fut bientôt arrêté.

C'était un voisin, James, serrurier-maréchal, qui s'était ainsi approprié environ 700 fr. Comme il avait déjà eu affaire à la justice pour complicité de vol et coalition d'ouvriers, il n'a été l'objet d'aucune indulgence et subira 10 ans de travaux forcés.

  Une autre condamnation à 6 ans de la même peine a été prononcée contre un nommé Robinau, ouvrier menuisier à Bavent, accusé d'une tentative de viol sur une pauvre épileptique.

Cet homme est habitué à comparaître devant la justice et à subir ses arrêts. Il a déjà été condamné à Angers en 1842, à 3 mois de prison pour vol d'effets, en 1850, à Falaise à 3 jours pour vol de blé, en 1851 au dit lieu, à 3 mois pour coups et blessures sur sa femme. Il s'est pourvu en cassation. (Source :  Le Journal de Honfleur)

 

Novembre 1860   -  Par arrêtés.   -   Par arrêtés de M. le préfet, datés des 17, 21, 23 et 24 novembre, ont été nommés :

M. Lepelletier (Armand), adjoint de la commune d'Etouvy, en remplacement de M. Legrix, démissionnaire.

M. Bourgeois (Jean-Jacques), maire de la commune de Douville, en remplacement de M. Lecomte, démissionnaire.

M. Grandval (Sylvain), maire de la commune de Saint-Jean-de-Livet, en remplacement de M. Groult, décédé.

M. Tapin (Jean-François), adjoint de la commune de Fresney-le-Puceux, en remplacement de M. Cahaigne, démissionnaire.

M. Ledain (Joseph), adjoint de la commune de Hérouville. ( L’Ordre et la Liberté)

 

Mars 1862   -   Un suicide.   -   Avant-hier, dans la matinée, la nommée Marie-Aimée Lebourg, veuve Tapin, âgée de 69 ans, domiciliée à Hérouville, a été trouvée noyée dans un ruisseau situé au hameau de Beauregard.

Cette femme donnait, depuis quelque temps, des signes d'aliénation mentale et, à diverses reprises, avait manifesté l'intention de se suicider.

Son cadavre, examiné avec coin par M. le docteur Lecœur, ne présentait aucune trace de violence. ( l’Ordre et la Liberté)

 

Juin 1862   -  Les bacs.   -   Il sera procédé le vendredi 27 juin courant, à midi précis, dans l'une des salles de la préfecture, à Caen, à l'adjudication, au plus offrant et dernier enchérisseur, de la perception des droits de passage des bacs dont les noms suivent :

Bac de La Bataille, sur l'Orne, commune de Clécy.

Bac de Boudigny, sur l'Orne, commune de Saint-Martin-de-Sallen.

Bac de Brie, sur l'Orne, commune des Moutiers-en-Cinglais.

Bac de Cantepie, sur l'Orne, commune de Saint-Rémy.

Bac de Clopée, sur l'Orne, commune de Mondeville.

Bac de Colombelles, sur l'Orne, commune d'Hérouville.

Bac de Montaigu, sur l'Orne, ville de Caen.

Bac du Moulin-Viard, sur l'Orne, commune de Maizet.

Bac de Percanville, sur l'Orne, commune de Clinchamps.

Bac du Petit Caprice, sur l'Orne, ville de Caen.

Bac de Ranville, sur l'Orne, commune de Ranville.

Bac du Vey, sur l'Orne, commune de Clécy.

La jouissance, qui commencera le 1er janvier 1863, continuera, pendant six années consécutives, jusqu'au 31 décembre 1868.

L'administration se réserve la faculté éventuelle d'une adjudication collective.

Il sera donné connaissance à la préfecture (10 division), du cahier des charges relatif à chaque bac, tous les jours, de 11 heures à 3 heures. (l’Ordre et la Liberté)

 

Mai 1863   -   Un suicide.   -    Samedi dernier, un individu, âgé d'environ 35 à 40 ans, vêtu d'un pantalon de toile bleue, d'une blouse bleue, coiffé d'une casquette, chaussé de brodequins, a été trouvé pendu à un pommier, sur le territoire de la commune d'Hérouville, à l'aide d'un cache-nez gris-bleu et blanc.

On n'a rien trouvé dans ses poches qui puisse faire établir son identité, seulement, il avait un mouchoir de poche portant les initiales S. J. et L. B. Il ne possédait point d'argent. (l’Ordre et la Liberté)

 

Décembre 1863   -   Tribunal correctionnel de Caen.   -   Présidence de  M. Lentaigne, vice-président, M. O. Lanfran de Panthou, substitut de M. le procureur impérial, occupant le siége du ministère public.

Audience du samedi 19 décembre 1863.

-        Frémont, Ségoin et Duchamp sont accusés d'avoir, le 25 novembre, chassé avec des engins prohibés, à  Hérouville-Saint-Clair. Frémont fait défaut. Ségoin et Duchamp nient le fait tous les deux, mais les gendarmes les reconnaissent la casquette que Ségoin porte encore en ce moment était restée dans leurs mains, il n'y a pas de doute sur leur culpabilité. Cependant Ségoin veut prouver qu’il était, à l'heure où il a été pris, chez les époux Mayer, il les fait comparaître, et peu s'en est fallu qu'ils ne soient arrêtés instantanément eux-mêmes pour faux témoignage.

Le 20 novembre dernier, les mêmes coupables avaient déjà été condamnés à 20 jours de prison et à 50 fr. d'amende. En outre, Duchamp avait été condamné pour vol en 1861, et, encore aujourd'hui, il est menacé d'une prévention d'incendie. Leur conduite à l'audience est détestable, surtout celle de Ségoin.

Ils sont condamnés à 200 fr. d'amende et à 2 mois de prison, avec observation que cette peine ne se confond pas avec celle

qui a déjà été prononcée contre eux. Leur filet est confisqué, et le ministère public ordonne leur incarcération immédiate. (l’Ordre et la Liberté)

 

Mars 1864   -   Macabre découverte.   -   Le lundi 29 février, on retirait d'un fossé, sur le territoire de la commune d'Hérouville-Saint-Clair, le cadavre d'un nommé Locard, âgé de 48 ans, journalier, demeurant à Ifs, près Caen.

Cet homme était venu le dimanche précédent, avec sa femme et son fils, chez un nommé Chemin, à Hérouville. Il partit seul pour retourner à Ifs, vers 8 heures du soir, après avoir eu une querelle avec sa femme, et, trompé sans doute par l'obscurité, il sera tombé dans ce fossé, où il a trouvé la mort. (l’Ordre et la Liberté) 

 

Février 1865   -   Un accouchement inopiné.   -   Dans la soirée d'hier, la nommée Marie-Philomène Launay, âgée de 23 ans, domestique à Hérouville, qui se trouvait dans un état très avancé de grossesse, sentit tout-à-coup les premières douleurs de l'enfantement.

Elle sortit aussitôt de chez son maître pour se rendre à Caen, dans la maison d'une sage-femme, où elle espérait faire ses couches, mais à peine avait-elle fait un kilomètre que les douleurs redoublèrent et la contraignirent à se réfugier dans un des fossés de la route, où, quelques minutes après, elle donnait le jour à une petite fille.

Un passant, attiré par les plaintes que la mère faisait entendre, s'approcha du fossé, où il vit cette malheureuse, incapable de faire le moindre mouvement, et ayant à ses côtés son nouveau-né. Promptement avertie, la personne chez laquelle Marie Launay est domestique s'est empressée de venir, avec une voiture, chercher cette femme, et de la transporter avec son enfant à l'Hôtel-Dieu, où ils sont arrivés à 2 heures 1/2 du matin.

L'enfant, qui est né viable et parfaitement constitué, va très bien aujourd'hui, mais la position de la mère inspire de sérieuses inquiétudes. (l’Ordre et la Liberté)

 

Juillet 1865   -   Administration des Postes.   -   A partir du 21 de ce mois, une boîte aux lettres mobile sera placée à l'arrière de la voiture qui fait le service de transport des dépêches entre Caen et Ouistreham.

Pour donner au public toutes les facilités compatibles avec les intérêts du service et l'accélération obligée de la marche, la voiture s'arrêtera pendant deux minutes au centre des communes ci-après désignées :

Hérouville-Saint Clair.

Blainville.

Bénouville.

Les mêmes avantages seront très incessamment accordés aux habitants de Creully qui pourront, par ce moyen, correspondre deux fois par jour avec la ville de Caen. (l’Ordre et la Liberté)

 

Février 1865   -   Le temps qu’il fait.   -   L'hiver est décidément venu nous retrouver. Notre bulletin météorologique de ce jour porte que cette nuit on comptait, à Caen, 3 degrés 1/2 au-dessous de zéro, et qu'aujourd'hui on en compte encore 2 degrés.

Le froid se fait sentir partout. A Paris, les thermomètres marquent 7 degrés 8/10, c'est-à-dire qu'avec deux degrés de plus la Seine sera gelée de nouveau. Cet état de la température n'est pas nuisible aux travaux de la campagne, il a surtout pour effet d'arrêter l'élan de certaines plantes qui, dans ces derniers temps, semblait être trop rapide. (l’Ordre et la Liberté)

 

Mars 1868   -   Un incendie.   -   Le 30 de ce mois, à Hérouville, un incendie, attribué à l'imprudence de plusieurs enfants qui s'amusaient avec des allumettes chimiques, a consumé un mulon de 1100 gerbes de blé, appartenant à Mme Veuve Docaigne, propriétaire et aubergiste à Hérouville.

La perte approximative et de 1100 francs, non assuré. La police d'assurance était expirée depuis 15 jours.  

 

Octobre 1868   -   Le canal.   -   Jeudi, dans l'après-midi, le canal de Caen à la mer présentait une certaine animation.

Une locomotive remorqueuse descendait le sloop « Elisa », de Trouville, et le brick goélette « Aline-Marie », de Saint-Malo, tous deux chargés. Vers le pont d'Hérouville, ce train a rencontré le vapeur à hélice anglais  « Victor », remorquant un sloop, et, au pont de Blainville, un houry de Dieppe chargé de harengs, remorqué par des chevaux. Le mécanicien de la remorqueuse se conformant en cela aux règlements, a cédé le trait au navire montant, en ayant soin de recommander au capitaine de la goélette d'élonger une amarre derrière. Malheureusement cette amarre n'a pu être saisie par le pontier, et la goélette plus lourdement chargée et plus fine, a par conséquent gardé son erre plus longtemps et est venue sur l'arrière du sloop, endommageant son couronnement et brisant elle-même la moustache tribord de sa sous garde. Les avaries sont bien minimes, mais que serait-il advenu si les navires avaient eu le plus d'erre ?  

 

Mai 1871   -  Fait divers.   -   Des malfaiteurs, restés jusque-là inconnus, ont coupé la queue de plusieurs chevaux en pâturage sur le territoire des communes d'Epron et d'Hérouville-Saint-Clair.

 

Janvier 1875   -   Éclipses.  -  Si, en 1875, il n'y a pas d'éclipse de lune, le soleil, en revanche, sera éclipsé deux fois : le 6 avril et le 29 septembre. La deuxième seule sera visible, en partie, à Paris.

 

Février 1875   -   Condamnation.  -  Le tribunal a prononcé une amende de 50 francs contre les sieurs Mériel, de Saint-Aubin-sur-Mer ; Coutances, d'Hérouville ; Alcide Caron, de Lantheuil ;  et une amende de 60 fr. contre le sieur Lissot, de Langrune, pour infractions à la loi sur le classement des chevaux.

 

Février 1875   -   Grave question.  -  La Cour de Cassation a décidé : 1° que, seuls les propriétaires ou les fermiers avaient le droit exceptionnel de tirer sur les poules des voisins ; 2° qu'ils ne pouvaient les tuer qu'au moment où elles commettaient un dégât actuel et effectif ; 3° et sur les lieux mêmes où le dommage était causé. Ceci s'applique aussi aux pigeons.  

 

Mars 1875   -   Le printemps.  -  Si cela continue, le printemps sera inauguré par la gelée ou la neige. En Angleterre, des vents violents ont causé beaucoup de malheurs. Des maisons en construction ont été renversées et des ouvriers ont péri.

 

Mars 1875   -   Condamnation.  -  La femme Ledain, 6 jours de prison et 25 fr. d'amende, pour avoir, à Hérouville-St-Clair, ouvert un débit de boissons clandestin.

HEROUVILLE   -   Vue Générale (1890)

Commentaires et informations : Facebook - @