15 Octobre 2024 |
UN
SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS |
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LANDE s/ DRÔME | ||
Canton de Caumont-l'éventé |
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Novembre
1845 -
Police correctionnelle.
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audience du 11 novembre 1845. Convaincus
d'avoir été trouvés chassant, sans permis de chasse et pendant la
nuit, sur le territoire de la commune du Tronquay, ont été condamnés
: Jean-Baptiste Fouin, marchand potier, à 60 fr. d'amende et 6 jours de
prison ; Jacques Fouin, son frère, et Pierre Simon, en chacun 60 fr.
d'amende. —
Le sieur Tillard, cultivateur à Lalande-sur-Drôme, convaincu
d'avoir outragé et menacé le maire de sa commune, dans l'exercice de
ses fonctions, subira 3 jours de prison. —
Une condamnation par défaut de 4 mois de prison a été
prononcée contre Aimée Mauger, rue de Bellefontaine, à Bayeux, pour
le vol d'un paquet de bougies commis au préjudice des époux Hébert,
épiciers à Bayeux. —
Deux vols qualifiés ont fait condamner en 15 jours de prison le
nommé Louis Marie, dit Temps-Perdu, journalier à Crouay.
(source : L’Indicateur de Bayeux)
Juin
1846
-
Nouvelles locales.
-
Le nommé Noël Cordhornme,
bourrelier à la Lande-sur-Drome, a été arrêté par la gendarmerie de
Caumont, le 12 du courant, pour attentat à la pudeur. (source : L’Indicateur
de Bayeux)
Juillet
1861 - M. le préfet du Calvados, accord des secours.
- Nous
avons publié, dans notre numéro du 27 juin dernier, la liste des
communes auxquelles M. le ministre de l'instruction publique, sur la
demande de M. le préfet du Calvados, avait accordé des secours. Par
arrêté du 11 juin, M. le préfet a bien voulu répartir dans diverses
communes du département une somme de 5 959 fr. 29 с. Voici,
par arrondissement, les sommes affectées à chaque commune : Arrondissement
de Caen. Airan,
- Travaux au cimetière. 50
fr. Amayé-sur-Orne,
- Travaux au presbytère. 50
fr. Amayé-sur-Seulles,
- Travaux à l'église et au presbytère.
100 fr. Authie,
- Travaux au cimetière. 100
fr. Bonnemaison,
- Travaux à l'église et au presbytère.
100 fr. Canteloup,
- Travaux à l'église. 150
fr.
Cormelles.
- Travaux d'utilité communale.
84,29 fr. Épron,
- Classement des archives municipales. 23 fr. Esquay-Notre-Dame
- Travaux an cimetière. 50
fr. Saint-Germain-la-Blanche-Herbe.
- Travaux à l'église. 150
fr. Hamars.
- Travaux à l'église. 50
fr. Landes.
- Travaux au cimetière. 50
fr. Lasson.
- Travaux à l'église. 100
fr. Loucelles.
- Travaux au cimetière et à l’église. 100
fr. Maisoncelles-sur-Ajon.
- Travaux à l'église. 50
fr. Mesny-Patry.
- Travaux au presbytère. 100 fr. Moult.
- Travaux au cimetière. 100
fr. Plumetot.
- Classement et installation des archives.
100 fr. Rosel.
- Travaux à l'église. 50
fr. Tournay-sur-Odon. Travaux au cimetière. 50 fr. ( L’Ordre et la Liberté )
Juillet 1862 - Par arrêtés de M. le préfet. - En date du 18 juillet, sont nommés : - Maire de la commune de Landes, M. Bellissent (Auguste). -
Adjoint de la commune de Saint-Côme-du-Fresne, M. Boutrais
(François). (l’Ordre et la Liberté)
Septembre 1864 - Réunions de communes. - Le Conseil émet l'avis que le hameau de la Groudière soit distrait de la commune de la Vacquerie pour être réuni à la commune de la Lande-sur-Drôme. -
Commune de la Chapelle-Hainfray. - Le Conseil est d'avis qu'il y
a lieu de réunir la commune de la Chapelle-Hainfray à celle de
Valsemé. (l’Ordre et la Liberté)
Décembre 1865 - Janvier. - Ce fut Charles IX, on le sait, qui, par une ordonnance du mois de janvier 1563, établit que l'année, au lieu de commencer à Pâques, commencerait au mois de janvier. Ce mois, on le sait encore, doit son nom à Janus, à qui il était consacré chez les anciens. De nos jours, on dit dans les campagnes : - Quand sec est le mois de janvier, ne doit se plaindre le fermier. - Poussière en janvier, abondance au grenier. - Le mauvais an, entre en nageant. - À la Saint-Vincent, l'hiver Monte ou descend.
1865
- Le hameau
de la Groudière
a été distrait de la Vacquerie
et réuni à La
Lande-sur-Drome
en 1865.
Décembre 1865 - Tribunal correctionnel de Caen. - Présidence de M. O. Lanfran de Panthou, substitut de M. le procureur impérial occupant le siége du ministère public.
Sa
peine est 100 fr. d'amende et la confiscation de son fusil sous une
contrainte de 50 fr. (L’Ordre
et la Liberté )
Janvier 1867 - Une grande misère. - Lundi soir, 7 courant, un pauvre mendiant portant sur son extérieur toutes les empreintes d'une grande misère, se présenta chez la dame veuve Frandemiche, cultivatrice à Tilly-sur-Seulles, pour y réclamer l'hospitalité. Il y fut charitablement accueilli, soupa avec les gens de la ferme, et y reçut la nuit un gîte aussi convenable que possible. Le lendemain matin, on l'a trouvé mort dans son lit. Son identité n'est pas encore bien constatée, mais il aurait déclaré être de la commune de la Lande-sur-Drôme, près Caumont.
Juin
1867 -
Réparation des édifices
religieux. -
Voici la liste des communes du Calvados auxquelles M. le ministre
des cultes vient d'accorder des secours, pour aider aux réparations de
leurs édifices religieux : 300
fr.à Tracy-sur-Mer ; 400 fr. à Saint-Sylvain ; 400 fr. à Soliers ;
300 fr. à Reviers ; 400 fr. à Putot-en-Bessin ; 400 fr. à
Saint-Pierre-Azif ; 500 fr. à Saint-Ouen-le-Houx ; 300 fr. Orbois ; 500
fr. à Moulines ; 800 fr. à Saint-Martin-de-Fresnay ; 500 fr.
à La Lande-sur-Drôme ; 300 fr. à Les Iles-Bardel ; 200 fr. à
Grandcamp ; 1000 fr. à Croissanville ;400 fr. à Cairon ; 500 fr. à
Bures ; 400 fr. à Beuvron ; 300 fr. à Bény-Bocage ; 500 fr. à
Saint-André-d'Hébertot ; 300 fr. à Saint-Aignan-de-Cramesnil ; 200
fr. à Saint-Vaast ;500 fr. à Ver ; 4000 fr. à Saint-Pair et
Saint-Laurent-du-Mont ; 5000 fr. à Touques.
Mars 1877 - Révision. - Les opérations du conseil de révision pour la formation des contingents de la classe de 1876 auront lieu prochainement. L'administration rappelle que c'est aux familles et aux jeunes gens à se procurer les pièces qui doivent justifier devant le conseil de leurs droits à la dispense. Il peut être accordé des sursis d'appel aux jeunes gens qui, avant le tirage au sort, en auront fait la demande. Les jeunes gens doivent, à cet effet, établir que, soit pour les besoins de l'exploitation agricole, industrielle ou commerciale à laquelle ils se livrent pour leur compte ou pour celui de leurs parents, il est indispensable qu'ils ne soient pas enlevés immédiatement à leurs travaux.
Avril 1877 - Pêche. - La pèche fluviale sera prohibée depuis le I5 avril courant jusqu'au 15 juin. Le saumon, l’ombre-chevalier et la truite pourront seuls être péchés.
Avril
1877
-
Incendie. -
Vendredi, un enfant de
cinq ans, nommé Émile Marie, jouant, à La Lande-sur-Drôme, vers 11
heures du matin, dans une écurie, avec un papier enflammé, a mis le
feu à la paille dont elle était remplie. L'immeuble appartenant à Mme
veuve Bataille à Sept-Vents, a été réduit en cendres. Perte, non
assurée, 900 fr.
Août 1893 - Attentat à la pudeur. - Jean Godard, 48 ans, est maire et boulanger à la Lande-sur-Drome, arrondissement de Bayeux. Comme il parcourait les communes voisines en voiture, c'est en offrant une place aux enfants qu'il rencontrait sur son chemin qu'il a commis des attentats à la pudeur sur les jeunes Alphonsine Levert, Marie Jean, Alexandrine Rault, Angélina Madeleine et Eugénie Binet, âgées de 7 à 11 ans. Godard a nié les faits. En raison de son passé et aussi de sa louable conduite pendant la guerre de 1870, il a obtenu, après une bonne plaidoirie de Me Guérnier, des circonstances atténuantes, et n'a été condamné qu'à 3 ans de prison. (Source : Le Bonhomme Normand)
Septembre
1896 -
La Lande-sur-Drôme. - Fête St-Gorgon le 13 septembre, installation de MM. le
maire et de l'adjoint, remise des écharpes, messe et vêpres en
musique, jeux et divertissements ; banquet, concert, illuminations,
retraite aux flambeaux et feu d'artifice fourni par la maison du
Bonhomme normand. (Source : Le Bonhomme
Normand)
Mai
1899 -
Assassinat d’un vieillard.
- Vendredi,
le sieur Y von, cultivateur à la Vacquerie, se rendait chez sa sœur,
à la Lande-sur-Drôme. En passant devant l'habitation du sieur Victor
Garnier, 73 ans, marchand de bestiaux, qu'il connaissait, il dit : «
Etes vous là, père François ! » Ne recevant pas de réponse, il
continua son chemin. Arrivé chez sa sœur, il parla de Victor Garnier.
Celui-ci n'avait pas été vu de journée. Craignant que le marchand de
bestiaux ne fut tombé malade, le sieur Yvon revint, en compagnie de sa
sœur, au domicile de Garnier. Il clancha la porte qui résista.
Regardant par la fenêtre, il vit la maison bouleversée et aperçut le
corps du vieillard étendu sur le sol. La
gendarmerie fut prévenue. On ouvrit la porte de la maison qui était
fermée, et on trouva le malheureux Garnier étendu à terre sur le dos,
la tête recouverte d'un pantalon. La tête était ensanglantée et on
constata plusieurs ecchymoses-à l'intérieur de la bouche. Deux dents,
en outre, étaient cassées. C'est
avec un morceau de bois que le malheureux a été tué. Le vol a été
le mobile du crime. La victime passait pour avoir des économies. Tous
les meubles ont été fouillés ainsi que la literie. La maison où
demeurait Garnier est située sur le bord du chemin de Balleroy, dans un
herbage clos de haies et par une barrière ne fermant pas à clef. Elle
est éloignée d'environ 200 mètres de toute autre habitation. L'assassin
devait connaître les lieux, aussi, les soupçons se portèrent-ils sur
Ernest Castel, 35 ans, qu'on avait vu rôder dans le pays et qui a
été, en 1897, au service de la Chose singulière : il y a quatre ans, le fils de la victime fut trouvé pendu en revenant d'une foire de Saint-Lô, il était porteur de 15 000 francs. (Source : Le Bonhomme Normand)
Mai 1899 - Les Saints de glace. Le souffle glacé de Saint Mamers, de Saint Servais et de Saint Pancrace est en avance. Pendant plusieurs jours, il a fait un vent du diable, il a fait froid, il a même gelé au point de roussir, dans certaines contrées, les pousses printanières. Espérons que ces bienheureux refroidis ne nous secoueront pas leurs glaçons les 11, 12 et 13 mai. (Source : Le Bonhomme Normand)
Mai
1899 -
Le
« Bel Eugène ».
- C'est sous ce nom qu'était connu Ernest Castel, 35 ans,
originaire de la Manche, l'assassin du père Victor Garnier, 73 ans,
marchand de bestiaux à la Lande-sur-Drôme, canton de Caumont. Eugène
Castel est à la prison de Bayeux. Il ne parait pas inquiet. Il espère
s'en tirer avec quelques années de travaux-forcés, grâce à son
système de défense qui consiste à soutenir qu’il
a frappé sa victime sans intention de lui donner la mort. Voilà
ce qu'il raconte : il travaillait à Versailles comme aide-maçon
lorsque l'idée lui est venue de voler le père Garnier qu'il
connaissait, ayant été au service de sa bru. Castel
prit le train jusqu'à Argentan puis il se rendit à la Lande-sur-Drôme. Le soir venu, il entra chez le père Garnier qui vivait seul. Il lui demanda un morceau de pain. Le bonhomme l'ayant menacé de le mettre à la porte, Castel lui aurait porté un tel coup de poing sur la tête que le malheureux tomba sans connaissance. Castel visita tous les meubles et s'empara de 350 fr. dont il a, en deux jours, dépensé plus de la moitié à payer à boire à tous ceux qu'il rencontrait. Le « bel Eugène », qui a déjà subi deux condamnations pour coups à son père et vol, passera aux assises du Calvados à la session prochaine (Source : Le Bonhomme Normand)
Août
1899 -
Assassinat et vol. -
Le père
Garnier, comme on l'appelait, malgré ses 74 ans, se livrait au commerce
des bestiaux et passait pour avoir, de grosses économies chez
lui, car il était très avare. Il habitait seul à la Lande-sur-Drôme,
arrondissement de Bayeux, une maison isolée. Un
matin, on le trouva étranglé dans sa cuisine, Les soupçons se
portèrent sur Ernest Catel, 32 ans, journalier, qu'on avait vu rôder
dans le pays, la veille du crime. Catel, connaissait les habitudes du
père Garnier, car il avait travaillé chez sa belle-fille, habitant
Sept-Vents. On le rechercha et on l'arrêta chez son père. Après avoir
nié, Catel a avoué que, étant arrivé de Versailles sans ressources,
il s'était rendu chez le père Garnier et qu'après l'avoir frappé
d'un violent coup de poing il le renversa et le saisit à la gorge,
qu'il serra jusqu'à ce que le pauvre vieux ne fit plus un mouvement.
Catel visita ensuite les meubles et enleva 4 à 500 fr. qu'il dépensa
à droite et à gauche en payant à boire à tous ceux qu'il
rencontrait. Aussi, quand on l'arrêta, n'avait-il plus sur lui que 85
fr. 750
fr. dissimulés dans de la ferraille et 2 000 fr. cachés dans une
vieille botte ne furent pas découverts par l'assassin. Catel a toujours
soutenu qu'il ne voulait pas tuer le vieillard, mais seulement
l'étourdir afin de le voler.
Octobre
1900 -
Chasseur refait. - Le
sieur Demille, cultivateur à Landes, chassant sur ses terres, avait
blessé un lièvre que son chien lui rapportait. Le nommé Fabre,
demeurant à Longvillers,
qui passait en voiture sur le chemin de Caen à Aunay, descendit,
arracha le lièvre de la gueule du chien et l'emporta. Plainte a été
portée et une enquête a lieu pour éclaircir cette affaire.
(Source : Le Bonhomme
Normand)
Mars 1915 - Certificat d’études. - Le ministre de l'instruction publique et des beaux-arts a décidé, par une mesure exceptionnelle, d'ouvrir l'examen dans sa session normale à tous les enfants qui atteindront l'âge de 12 ans, le 31 décembre prochain.
Mars 1915 - Le temps qu’il fait. - On ne dira pas que le Bonhomme Normand n'est pas un bon prophète, puisque son Almanach annonçait de la pluie et du vent pour les fêtes de Pâques. Malheureusement, ses pronostics pour la suite du mois ne sont pas non plus très bons. Heureusement que, suivant le vieux dicton : Jamais pluie de printemps n'a passé pour du mauvais temps.
Mai 1915 - Pauvre gosse ! - Albert Lerebourg, 14 ans, petit domestique chez M. Bataille, 52 ans, cultivateur à La Lande-sur-Drome, près Caumont, hersait seul dans un champ. En voulant dégager son cheval, pris dans un des traits, il s'empêtra lui-même et fut traîné sur une assez longue distance. Il eut la jambe gauche broyée, et il a fallu l'amputer.
Mai
1915 - Le temps qu’il
fait. - Un
maître orage s'est
déchaîné mardi sur notre région. Les détonations électriques se
succédaient avec une violence extraordinaire et la pluie tombait «
d'abat ». En beaucoup d'endroits, la grêle a endommagé les fleurs des
poiriers et autres arbres fruitiers. Cette perturbation un peu subite et
inattendue est-elle causée
par les commotions anormales que propagent, dans l'air, les canonnades
et les explosions ?
Août
1938 -
Un septuagénaire se pend.
- M.
Constant Bataille, 79 ans, propriétaire, conseiller municipal de la
commune, demeurant à La Lande-sur-Drôme, a mis fin à ses jours par
pendaison. C'est sa femme qui le découvrit pendu, vers le milieu de la
nuit, au dessus de leur lit, à l'aide d'une corde.
Octobre 1946 - Bienfaisance. - Un quête faite à La Lande-sur-Drôme, au mariage Desmortreux-Gillette, a produit la somme de 928 francs 50 qui a été versé au fonds destiné à l’achat de vitraux à l’église sinistrée. (Source : Le Bonhomme Libre)
Janvier
1949 - Le
Calvados à l'honneur. -
Enfin ! Enfin
! Après Caen, Falaise, Lisieux, Vire, Saint-Aubin-sur-Mer, un nombre
imposant de localités de notre département viennent de se voir
discerner la Croix de Guerre que leur ont mérité leur martyre au cours
des combats pour la libération. Voici
l'éloquent tableau d'honneur que nous sommes heureux de publier en
espérant que ceux de nos villages encore oublié vienne bientôt
ajouter leurs noms au livre d'or de l'héroïsme. Les
lettres placées entre les parenthèses indique lors de la citation : R
: régiment ; D : division.
Arrondissement
de Bayeux
Canton de Caumont-l'Eventé. Caumont-l'Eventé (R) ; Anctoville (R) ; Hottot-les-Bagues (D) ; La Lande-sur-Drôme (R) ; Orbois (R) ; Saint-Germain d'Ectot (R) ; Sermentot (R) .( Le Bonhomme Libre )
Novembre 1949 - Le canton de Caumont-l’Éventé à l’honneur. - Dimanche prochain, en présence de M. Lejoux, sous-préfet de Bayeux, du colonel commandant la Subdivision de Caen et de nombreuses personnalités aura lieu la remise officielle de la Croix de Guerre à cinq communes du canton. Voici l'horaire des cérémonies : 9 h., Longraye ; 9 h. 30, St-Germain-d'Ectot ; 10 h., Sept-Vents ; 10 h. 45, La Lande-sur-Drome ; 11 h. 15, Caumont-l'Eventé. ( Le Bonhomme Libre )
Novembre 1949 - Cinq Croix de Guerre. - Dimanche dernier, le colonel Le Bideau, commandant la Subdivision de Caen, a remis la Croix de Guerre aux communes de Longraye, Saint-Germain-d'Ectot, Sept-Vents, La Lande-sur-Drôme et Caumont-l'Eventé. L'empressement
des populations à participer aux cérémonies et les discours des
autorités locales témoignèrent des sentiments patriotiques d'une
région où trop de ruines attestent encore la violence des combats. (
Le Bonhomme Libre ) |
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LA LANDE-sur-DROME (Calvados) - Route de Torigni | |||
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