1er Septembre 2024 |
UN SIÈCLE D'HISTOIRE DU CALVADOS |
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LIEURY (Cne d'OUDON) |
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Canton de Saint-Pierre-sur-Dives |
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Par
arrêté du 11 juin, M. le préfet a bien voulu répartir dans diverses
communes du département une somme de 5 959 fr. 29 с. Voici,
par arrondissement, les sommes affectées à chaque commune : Arrondissement
de Lisieux. Lieury.
- Réparations aux murs du cimetière.
100 fr. Glos.
- Réparations aux murs da cimetière.
50 fr. Prêtreville.
Couverture de l'église. 100
fr. Saint-Pierre-de-Mailloc.
- Réparation au presbytère. 50
fr. La
Houblonnière. - Réparation au presbytère.
50 fr. Prédauge.
- Réparation au presbytère. 50
fr. Saint-Pierre-des-Ifs.
- Réparation à l'église. 50
fr. Lessard-le-Chène.
- Réparation à l'église.
50 fr. Saint-Martin-de-la-Lieue.
- Clôture du presbytère. 60
fr. Saint-Jean-de-Livet.
- Réparations à la sacristie.
50 fr. Saint-Loup-de-Fribois.
- Réparations à l'église. 50
fr. Saint-Pair-du-Mont.
- Réparations à l'église. 60
fr. Castillon.
- Réparations à l'église. 100
fr. Saint-Julien-le-Faucon.
- Réparations à l'église. 100
fr. Saint-Michel-de-Livet. - Réparations à l'église. 100 fr. ( L’Ordre et la Liberté )
Août 1871 - Fait divers. - Des phénomènes atmosphériques singuliers se sont produits dans le département de la Seine-Inférieure et du Calvados. A Elbeuf, une pluie de fourmis ailées avait couvert de cette manne d'un nouveau genre les toits des maisons et le pavé des rues à Caudebec, des hirondelles ont été ramassées surchargées de ces insectes qui s'étaient attachées à elles et avaient entravé leur vol. Une véritable pluie de papillons s'est abattue aux environs de Paris.
Août
1871 -
Les impôts
- Seigneur
! Seigneur ! Que va devenir le pauvre monde ? On met des impôts sur
tout. Sur
les chats, sur les serins, sur le tabac, sur le boire et sur le manger. Mais
ce n'est pas tout encore, figurez-vous qu'un député de la droite, qui en
aura sans doute mangé comme .. un satisfait, vient de proposer qu'on
mette un impôt sur la
teurgoule. La
teurgoule ! qu'est-ce que c'est que cela, vont se demander les
petites maîtresses et les muscadins.
Et cela, parce que les jours de fête, ces nobles goulifards se fourrent de telles cuillerées de ce mets délectable, que la.... bouche leur en teurd !
Octobre 1871 - Fait divers. - Samedi dernier, vers 8 heures et demie du matin le nommé François Bouffaré, âgé de 14 ans, mendiant à Falaise, a été trouvé noyé dans une mare de la commune de Lieury, où il a dû tomber accidentellement la nuit précédente.
Octobre
1874
- Infanticide. -
La justice s'est
transportée à Lieury, canton de Saint-Pierre-sur-Dives, pour procéder
à l'instruction d'un crime d'infanticide. Les constatations ont amené
les renseignements suivants : Jeudi, vers trois heures après-midi,
la fille Joséphine Mullois, âgée de dix-neuf ans, domestique chez
Quéron, propriétaire à Lieury, est accouchée seule, dans la chambre
qu'elle occupait dans la maison de ses maîtres, d'un enfant du sexe
masculin, né viable et bien constitué. Cette fille, pour cacher les
suites de sa faute, a étouffé le petit être en lui introduisant un
mouchoir dans la bouche et l'a ensuite caché entre son matelas et sa
paillasse. Nous ignorons, quant à présent, les détails qui ont mis la
justice sur les traces de ce crime, mais la gendarmerie de
Saint-Pierre-sur-Dives, prévenue de ces faits, s'est rendue sur les lieux
pour les constater, et les magistrats du parquet de Lisieux ont fait une
enquête à la suite de laquelle la fille Mullois a été mise en état
d'arrestation. Son état, de faiblesse ne permettant pas de la transporter,
elle est gardée à vue jusqu'à ce qu'elle puisse être transférée à
la maison d'arrêt, à Lisieux.
Août 1881 - Eh, quoi ! les religieuses aussi. - L'institutrice congréganiste de Lieury, canton de Saint-Pierre-sur-Dives, a quitté la commune à la suite de la distribution des prix, en emportant tous les objets mobiliers de l’école qui appartenaient à sa communauté. On en a conclu qu'elle ne reviendrait pas et que les religieuses abandonnaient l'école de Lieury, pour faire place à une institutrice laïque, ce qui est bien gracieux de leur part, car personne ne le leur demandait, et il est même certain qu'elles auraient poussé des cris a fendre l'âme, si on leur avait adressé semblable demande. N'importe, on ne s'attendait guère à voir les religieuses supprimer les écoles congréganistes.
Avril
1882 - Lieury
en émoi .
- A
propos d'une rafle de laitiers faite à Lieury, nous avons dit, dans notre
dernier numéro, que ceux de cette commune, en apprenant que l'on pesait
le lait, étaient retournés chez eux. Ces Messieurs nous écrivent «
qu'ils ont livré leur lait comme d'habitude et qu'ils ne sont pas
retournés chez eux ». Sur
le premier point, nous sommes d'accord, mais sur le second, nous nous
permettrons de leur faire remarquer que s'ils n'étaient pas rentrés chez
eux, ça aurait dû gêner bigrement leurs femmes.
Juin
1894 - Fête.
- A
la fête de
St-Pierre-sur-Dives, on a lancé des ballons, des cochons et des
bonshommes en baudruche. L'un
de ces derniers, perdant son gaz, s'est abattu du côté, de Lieury, dans
la cour de M. Bauchard. C'était la nuit. Dehors, se trouvait le grand
valet Piedange, attendant le lever de
la lune ou autre chose. En
voyant ce bonhomme voltiger sur les toits et sur les murs, il crut à un
revenant et s'en fut tout tremblant prévenir son maître. Bauchard se
leva, en fit faire autant à sa femme qui appela sa servante, déjà
debout et habillée, on ne sait pourquoi. On
guetta, on se concerta, et maître Bauchard conclut par ces mots : —
Bon sens ! d'bon sens ! ben sûr c'hest un r'venant... Té, Piedange,
qu'est un brave, lu vas l'tuer ! On
but une goutte pour se donner du courage, mais, au moment de tirer,
Piedange défaillit. Bauchard
avala une nouvelle et forte goutte, fit le signe de la croix et prit son
arme en criant : —
Qui qu' t'es ?... Tu n'réponds point... J'm'en fou... Au bout d'trois, si
l'as pas dit ton nom, j'te descends. Silence,
suivi d'un coup de fusil. Mais
plus rien, le revenant, emporté par le vent, avait disparu. Tout le monde
se coucha. Mais
maître Bauchard ne dormit pas. Sans cesse il répétait : —
Chest un esprit !... Y m'en voudra d'avé tiré dessus... et y m'jettera
queuque sort, por sûr. La
guigne voulut que le lendemain, en revenant du marché, Bauchard manqua
son entrée et se flanqua la figure dans une haie. Il s'en retira la
figure tout en sang. —
Chest ce coquin d'esprit, murmura-t-il, qui m'a joué çu tour ileu. Et, depuis, chaque fois que maître Bauchard se pique le nez, il dit que c'est la faute de... l'esprit. (Source : Le Bonhomme Normand)
Juillet
1896 -
Tentative de viol. -
Le nommé
Georges Lemarinier, 23 ans, journalier à Lieury, était au service du
sieur Guilbert, celui-ci avait envoyé sa fille, âgés de douze ans et
demi, porter diverses provisions de bouche à Lemarinier, qui se trouvait
isolé dans la campagne. Profitant du moment où ils étaient seuls dans
une cabane, Lemarinier se serait livré sur la fillette à des actes
honteux. (Source : Le Bonhomme
Décembre
1899 - Postes et télégraphes. -
Une recette des postes, en plein exercice, et créée à Lieury, depuis le
1er décembre. La
circonscription postale de cette nouvelle recette comprend, en dehors de
la commune, siège du bureau, celle de Saint-Germain-d'Ectot. Afin
d'éviter tout retard dans la distribution, il y a lieu de ne plus
s'adresser par Caumont-l'Éventé, les correspondances à destination de
cette localité.
Novembre 1903 - Pour les autres. - Plusieurs maçons travaillant à construire une maison pour M. Sauvé, maire de Lieury, près Saint-Pierre-sur-Dives, avaient trouvé un moyen peu honnête de boire à leur soif. Ils envoyaient un apprenti, Henri Leboucher, 16 ans, et son ami Georges Desrues, voler du cidre à plein seau dans la cave. M.
Sauvé fit surprendre les voleurs qui viennent de n'être condamnés qu'à
à 5 fr. d'amende chacun, avec sursis, le tribunal estimant, sans doute,
que ce n'était pas eux les plus coupables, mais bien ceux qui les
envoyaient voler. (Source :
Le Bonhomme Normand)
Février 1904 - Lait baptisé. - Un fromager de Boissey, près Saint-Pierre-sur-Dives, le sieur Louis Serey, s'était aperçu qu'il recevait, tous les jours, du lait falsifié, de la même provenance. Il éprouvait ainsi un grand préjudice dans la fabrication de ses fromages. L'autre jour, il a invité la gendarmerie à assister à la livraison, au domicile d'une femme Aulne, à Lieury. On pesa le lait et on reconnut qu'il contenait 50 % d’eau. C'était beaucoup. Procès-verbal
a été dressé contre la femme Aulne qui, paraît-il, a avoué.
(Source : Le Bonhomme Normand)
Juin 1904 - Qui casse les verres … – Les colères électorales ne sont pas encore apaisées. A Lieury, près Saint-Pierre-sur-Dives, des électeurs mécontents ont brisé vingt quatre carreaux dans une maison appartenant au maire, M. Sauvé. N'auraient-ils
pas pu trouver une manière plus intelligente pour se venger ?
(Source : Le Bonhomme Normand)
Juillet 1904 - Accidents du travail. - Le sieur Edmond Auvray, 20 ans, demeurant à Ifs, mécanicien chez M. Nizou, à Caen, essayait une chaudière qui a fait explosion. Il a reçu un coup violent dans la poitrine et il a eu le pouce et l'index broyés. Une amputation a été faite. —
A Lieury, près
Saint-Pierre-sur-Dives, un sieur Émile, employé chez M. Vasseur,
marchand de bois, a été grièvement blessé, en gare de Pont-Authou
(Eure), par la chute d'un
arbre qu’il chargeait sur un wagon. (Source : Le Bonhomme Normand)
Novembre 1904 - Animaux volés. - Une jument de 500 fr. au sieur Touyon, cultivateur, a été volée dans un herbage, à la Graverie, canton de Bény-Bocage. — On a volé, la nuit, dans un herbage où il était au pâturage un bœuf de 350 fr., à M. Laisné des Hayes, propriétaire à Mesnil-Simon, près Lisieux.
— Le sieur Pierre Lecouturier, cultivateur à Meuvaines, près Ryes, allant visiter six veaux au piquet, n'en a retrouvé que cinq, sans licols ni chaînes. Une génisse de 230 fr. n'a pu être retrouvée. — A Lieury, près Saint-Pierre-sur-Dives, trois vaches, d'une valeur de 1 100 francs, au sieur Raphaël Guillemine. cultivateur à Morières, ont été volées dans un herbage. (Source : Le Bonhomme Normand)
Octobre
1905 - Brûlée vive. - Pendant que la femme
Bonet était sortie, sa petite fille Thérèse, âgée de six ans, est
tombée dans la cheminée de la cuisine et a mis le feu à sa robe. Aux
cris poussés par l'enfant, son père est accouru et à jeter de l'eau sur
les flammes qui l'entouraient. Malgré les soins qui lui ont été prodigués, la malheureuse enfant a succombé deux jours après aux brûlures qu'elle avait reçues au ventre.
Août
1907 -
Crime mystérieux. -
Un nouveau crime accompli dans des circonstances encore
mystérieuses a été découvert à Lieurey, petite commune située près
de Saint-Pierre-sur-Dives. Un
propriétaire, M. Noireau, ancien gendarme, a découvert dans un champ
nommé la Fosse, situé à 200
mètres du bourg, le cadavre d'une femme inconnue. La
victime portait des bas de laine usagers, elle était chaussée de sabots
à brides et vêtus de vieux jupons gris rapiècés, d'un corset très
usé, d'une chemise de grosse toile blanche, d'un corsage noir assez
propre. Elle avait les cheveux châtain roux, le nez fort et aquilin, la
bouche grande, le front découvert, les mains fines, le corps amaigri. MM. Lamer, substitut ; Quern, juge d'instruction ; Loisnel, médecin légiste, Julienne, greffier, se sont rendus sur les lieux et ont procédé à une enquête. L'autopsie du corps, qui avait été transporté dans la cour de la mairie, a été faite par le docteur Loisnel.
Avril
1920 -
Le déraillement du train Paris-Caen.
- Un grave accident de chemin de fer c'est produit, samedi sur
la ligne de Paris-Cherbourg, à Vernouillet, à 300 mètres de la gare de
Verneuil. A
cet endroit, une équipe de poseurs remplaçait de vieux rails, l’express,
parti de Paris vers 8 heures, et marchant à environ 80 kilomètres à
l'heure, passa en trombe sur un rail déboulonné. Un choc formidable se
produisit. Plusieurs wagons furent renversés et brisés et de nombreux
voyageurs se trouvèrent pris sous les décombres. On
organisa immédiatement les premiers secours. On compte un mort et une
quarantaine de blessés. Parmi ces derniers se trouvent plusieurs de nos
concitoyens, notamment M. Voutiers, employé des pompes funèbres à Caen,
fracture, de la jambe gauche ; Le Goff, charbonnier à Lieury,
fracture des jambes ; Mezeran, rue Laplace, à Caen, fracture des
deux cuisses ; l'abbé Thomas, curé de Condé-sur-Noireau. Dans
le train déraillé, Se trouvaient M. Aristide Briand, ancien président
du Conseil ; Mgr Amette et plusieurs autres prélats, qui se rendaient aux
obsèques de l'évêque d'Evreux. En plus de ces personnalités, le train
transportait notamment plusieurs artistes du cirque Palisse, actuellement
sur notre foire, dont quelques-uns furent blessés et, par conséquent, ne
purent débuter le lendemain.
C'est peut-être ce qui s'est produit. Ce serait ridicule, si ce n'était aussi triste. La science a certainement mis d'autres moyens de sécurité à la disposition des compagnies de chemins de fer. (Source : Le Bonhomme Normand)
Novembre
1926 -
Une automobile se jette sur un
« Diable ».
- M. Damville,
entrepreneur de
peinture
Saint-Pierre-sur-Dives, revenait
d'Ammeville en
automobile, en
compagnie de
son ouvrier,
M. Plat. En
arrivant entre
le chemin
vicinal
de Morières
et le débit
Gourmez, sa
voiture se
jeta sur
un diable
transportant des
bois en
grume. L'auto
fit un
à-droite complet
et se trouva
coincée entre
les arbres
qu'elle avait
soulevés. Les
deux occupants
furent eux-mêmes
serrés entre
les arbres
et le dossier
du siège
qu'ils occupaient
et qui,
fort heureusement,
céda sous
la puissance
du choc. M. Damville porte une large et profonde coupure à la gorge, et de nombreuses contusions au visage et sur diverses parties du corps. M Blet a plusieurs côtes fracturées et une plaie à la figure. Quant à l'auto, elle est sérieusement endommagée. Il
résulte de
l'enquête ouverte
immédiatement
que le
bois transporté
par M.
Chéron, pour
le compte
de M. Robert
Petit, entrepreneur
à Lisieux,
avait quitté
le chemin
vicinal venant
du Robillard, et
s'était engagé
sur la
route de
Saint-Pierre, occupant
le côté
gauche de
la route. En raison de la sortie inattendue du chargement, dépourvu de lumière, M. Damville n'avait pu arrêter à temps sa voiture.
Janvier
1938 -
Le temps qu’il
a fait en décembre. -
Le mois de
décembre a été caractérisé par un abaissement normal des
températures et par une pluviosité excessive. Les températures, tout en
n'étant jamais douces, ne se sont guère abaissées au-dessous de zéro.
En général, le minimum absolu a été de 4°5 et n'est descendu à 6°
que dans l'Est du département, à Fresné-Ia-Mère, Lisieux et
Deauville. Les
moyennes générales sont néanmoins inférieures à la normale 4, 61. On
note, en effet 3° 40 à Fresné-Ia-Mère, 3° 47 à Vire, 3° 70 à
Lisieux, 4° 42 à Caen. Par
exception, la station occidentale de Littry présente une moyenne de 5°
21. Le fait est normal. Au cours de cet hiver, on a constamment remarqué
jusqu'à présent que les températures étaient très douces dans
l'Ouest, alors que de forts abaissements de température se produisaient
dans les régions du Centre, de l'Est et même du Midi. En
ce qui concerne les pluies, ce mois a battu tous les records à
l'Observatoire de Sainte-Honorine-du-Fay. On y a noté, en effet, un total
de 153 millimétre supérieure de 156 % à la normale 71. Jamais, depuis
1873, on n'avait relevé un total de pluies aussi considérable au mois de
décembre. Les inondations n'ont été évitées que grâce à la
répartition des grosses averses
sur plusieurs semaines. Conformément à la règle ordinaire, les régions
du littoral ont été sensiblement moins arrosées que le Bocage. On note
110 m/m à La Délivrande, 118 à Caen,
137 à Bayeux, 158 à Lisieux, 161 à Vire.
Mars
1938 -
Un motocycliste est trouvé grièvement blessé
- Dimanche, vers 17 h. 15. M. Gourmez Francis,
cafetier, entendant du bruit dans la rue, sortit de son domicile et
aperçut un motocycliste étendu sur le côté de la route, blessé à la
tête et au visage, et sans connaissance. Aidé
de quelques personnes, il transporta le blessé chez lui. Le docteur
Lesauvage, de Saint-Pierre-sur-Dives, mandé, l'examina et ordonna son
transfert à l'hôpital de Lisieux. La
gendarmerie se livra à une enquête, mais ne put entendre le
motocycliste, M. Joseph Vitrouil, 32 ans, chauffeur, habitant Livarot. Un
témoin aurait vu la moto s'engager sur la berne, dont le conducteur, qui
ne paraissait plus maître de la direction, se trouva projeté contre le
mur du presbytère. (source le M.
du C)
Janvier
1940 -
Des troncs
fracturés.
- En
se rendant
à l'église
pour sonner
l'Angélus, Mme
Guignery, âgée
de 48 ans,
s. p.,
demeurant à
Lieury s'est
aperçue que
deux troncs
de l'église
avaient été
fracturés
au cours
de la nuit. Elle
a fait
part de
sa découverte
à la gendarmerie
de Saint-Pierre-sur-Dives,
qui enquête.
Septembre 1946 - A éclaircir. - M. André Bastard, 24 ans, ouvrier agricole, demeurant actuellement à Lieury, s’est présenté chez son ancienne patronne, Mme Vve Emile Coulibœuf, à Louvagny, pour se faire régler de son compte et lui réclamer ses titres d’alimentation. La cultivatrice dut mal comprendre la question puisque M. Bastard se plaint d’avoir reçu deux gifles en guise d’argent. Un malheur n’arrivant jamais seul, la carte d’alimentation de l’employé aurait été amputée des coupons de sucre et de café du mois. (Source : Le Bonhomme Libre)
Avril
1948 -
Une meule de paille brûle à Lieury.
- Au
cours de la nuit, un incendie a pris naissance au lieu-dit « Bridouart »,
à lieury, dans une meule appartenant à M. Tranquille Cherencé,
cultivateur à Berville. 15 000 kg de paille ont été la proie des
flammes. (Source : Le Bonhomme Libre)
Mars 1950 - A éclaircir. - Depuis 10 mois, une quinzaine de volailles ayant disparu de la basse-cour de M Albert Duclos, 52 ans, cultivateur à Lieury. celui-ci se décidait à informer les gendarmes. Fortement soupçonné un nommé André Douet, 25 ans, travaillant chez un cultivateur de Montpinçon, protesta de son innocence. Cependant Louis Hurel, 24 ans, ouvrier agricole à Lieury, devait déclarer aux enquêteurs que le 15 septembre dernier il avait participé en compagnie de Douet, à un vol de trois canards au préjudice de M. Lejeune, cultivateur à Berville. ce que conteste ce dernier. ( Le Bonhomme Libre
Janvier 1973 - La commune de L'Oudon a été créée par la fusion-association, décrétée le 26 décembre 1972, des communes d'Ammeville (171 habitants en 1968), Berville (160 habitants), Écots (95 habitants), Notre-Dame-de-Fresnay (159 habitants), Garnetot (89 habitants), Grandmesnil (123 habitants), Lieury (242 habitants), Montpinçon (167 habitants), Saint-Martin-de-Fresnay (169 habitants) et Tôtes (125 habitants). Saint-Martin-de-Fresnay est alors désigné chef-lieu de l'association.
Janvier 1990 - Par arrêté le chef-lieu est transféré à la commune de Tôtes, dont l'ancien code INSEE (14697) devient le nouveau code de L'Oudon. |
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48 - Environs de SAINT-PIERRE-sur-DIVES (Calvados) LIEURY - Château du ROBILLARD (Les Douves 1654) |
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LIEURY, par St-Pierre-sur-Dives (Calvados). - Château du Robillard | |||
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