Août
1926 -
En famille.
-
M. Théophile
Devère,
78 ans,
propriétaire à
Lison, a
porté plainte
contre Paul
Desfoux, 35
ans, cultivateur,
qui, habitant
avec lui
et sa petite-fille,
lui aurait,
au cours
d'une discussion,
lancé quatre
seaux d'eau
à la tête
et, de
plus, l'aurait
menacé de
le frapper
avec une
grosse pierre.
Août
1926 - Arrestation.
- Les
gendarmes de
Lison, en
tournée dans
cette commune,
ont arrêté
le sieur
Buquet Adolphe,
28 ans,
journalier sans
domicile
fixe, né
à Caen,
en vertu
d'un extrait
de jugement
rendu par
le tribunal
correctionnel de
Bayeux le
18 juillet
1925, le condamnant
à un an
de prison
pour coups
à sa femme
et à son
enfants, âgé
de 8 mois.
Jugement
confirmé par
la cour
d'appel de
Caen le
11 mars
1926.
Octobre
1927 -
Une singulière histoire. -
Invité à évacuer la maison que M. Parfouru, propriétaire à Lison, lui
louait au village de « La Ferrerie », M. Émile Huet, 47 ans,
sans profession, préféra mourir que de déménager. Pour cela, il
alluma l'autre nuit sept foyers d'incendie dans son logis et s'y enferma.
Averti
dès 4 heures du matin que le toit de sa maison brûlait, M. Parfouru s'y
rendit en hâte, mais ce ne fut qu'à grand peine qu'on put décider
l'incendiaire à sortir. Huet a ete aussitôt arrêté et écroué
à la prison de Caen. Les dégâts sont assez peu importants.
Mars
1929 -
Camionnette en feu. -
La malchance paraît s'attaquer aux autobus devant suppléer les
trains à Isigny. Il y a quelques jours, une de ces lourdes voitures
dérapant en venant de Grandcamp alla donner sur un mur. La semaine
dernière c'était le tour de la voiture de messageries allant à Lison.
Alors que dans cette gare, M. Lepage, homme d'équipe aux chemins de fer
de l'état, affecté comme chauffeur en remplacement, procédait au
déchargement de sa camionnette, il s'aperçut que le réservoir à
essence fuyait. Il se glissa sous le véhicule pour effectuer une
réparation, mais au même moment le feu se déclarait sous la
camionnette. M. Lepage, entouré de flammes, fut brûlé au poignet. Des
employés de la gare s'empressèrent de le retirer de sa fâcheuse
position et sauvèrent hâtivement les marchandises, cependant que
d'autres personnes combattaient l'incendie. Quatre sacs de coques seuls
furent perdus, ayant été répandus et piétinés. La carrosserie
de la voiture a été en partie brûlée. Les dégâts sont évalués à
5.000 francs.
Janvier
1930 -
Pincé. -
La
gendarmerie de Lison a arrêté en gare de cette localité, le nommé
Karol Voyeik, de nationalité polonaise, caché dans un compartiment de
deuxième classe et dissimulant une lanterne acétylène qu'il venait de
voler. Il était également en possession de trois colis renfermant des
dattes, 35 couteaux Pradel et diverses marchandises. (Source : Le
Moniteur du Calvados)
Janvier
1930 -
Tamponné par un train.
- M. Eugène Soulet, âgé de 31 ans, conducteur, faisait
la reconnaissance de son train sur la voie de garage n° 1, en gare de
Lison. A ce moment, un train de marchandises, à destination de Cherbourg,
passait. Le bruit du roulement l'empêcha d'entendre un autre train à
destination de Folligny, qui roulait sur une voie
parallèle.
M.
Soulet fut tamponné par le marche-pied du fourgon. M. Nouet, mécanicien,
arrêta aussitôt sa machine et appela des employés. Ceux-ci arrivèrent
immédiatement et relevèrent
le
blessé qui fut transporté d'urgence en automobile à l'hôpital de
Saint-Lô, par le buvetier de la gare de Lison. Le docteur Lacroix a
constaté une fracture des côtes et une déchirure du cuir chevelu.
Au
moment de l'accident, M. Soulet
ne perdit pas connaissance, on se rendit compte que le peu d'écartement
des voies ne lui permettait pas de se garer au passage du train.
(Source : L’Indicateur de Bayeux)
Février
1932
-
Un odieux attentat.
-
Hier, un nommé Guérin, âgé de 27 ans, originaire de
Saint-Vigor-le-Grand, demeurant au Tronquay, rencontrait, sur la route,
près de Lison, une fillette, âgée de 9 ans et demi, à qui il demanda
la route du Tronquay, puis il lui demanda de l’aider à rattraper une
vache qui lui avait échappé et s'était soi-disant réfugiée dans le
bois. La fillette accepta, mais, à 150 mètres sous bois, Guérin la
coucha par terre, lui posa la main sur la bouche et tenta d'abuser d'elle.
La fillette ayant pu réussir à crier, attira l'attention de son père et
d'un ouvrier qui passaient à proximité.
L'individu,
à leur vue, prit la fuite, mais put néanmoins être rejoint
par ces deux hommes, qui le conduisirent chez le Maire de la commune, où
il fut remis entre les mains des gendarmes de Lison, qui l'ont amené ce
matin devant M. le Procureur de la République, qui l'a fait écrouer.
Guérin, malgré l'évidence, nie les faits. (Source : Le Moniteur
du Calvados)
Février
1932 -
L’imprudence de fumeurs provoque un incendie
- Vendredi
dernier, Mme Vve Domergue, institutrice en retraite, quittait Bayeux où
elle habitait pour aller demeurer dans une partie de maison que lui louait
M. Fernand Mauduit, propriétaire à Lision. Le déménagement fut
effectué par les soins de deux employés de la maison Lenormand, de
Bayeux, qui déposèrent dans la cave trois mètres de bois, trois
barriques vides, des caisses de charbon de bois, des outils et différents
objets. Comme il faisait nuit, Mme Domergue avait placé sur une planche
une lampe à pétrole allumée et en quittant l'appartement à 19 h. 30,
elle ne remarqua rien d'anormal.
Quand
l'ancienne institutrice revint le lendemain matin, à 10 h., elle aperçut
de la fumée qui sortait de la cave. Un des employés en ouvrit la porte
et tous deux constatèrent que tout l'intérieur du local était en feu.
L'incendie
gagna la toiture et bientôt tout l'appartement fut la proie des flammes.
Mandés par téléphone les pompiers des Tuileries de Beauvais arrivèrent
avec leur pompe mais ils ne purent que noyer les décombres. Dans la cave,
M. Mauduit possédait 100 kilogs de charbon, deux barriques pleines de
cidre, deux tables, deux lits complets, du bois de construction, une
échelle, deux malles contenant des dentelles, tapis de table, robes et
autres objets, des bijoux, deux montres en or, deux sautoirs, trois[1]broches
en or, etc..., le tout évalué avec l'appartement à 60 000 fr. M.
Mauduit est assuré pour 120 000 fr.
On
suppose que le sinistre a pu prendre soit par la lampe placée par Mme
Domergue où par l'imprudence des déménageurs qui ont fumé dans la
cave. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Mars
1932 -
Aimable peu aimable. -
M. Henry, mal prénommé
Aimable, 51 ans, cultivateur à Lison, et pour la manière forte. Mais
lassée d'aller coucher dehors avec sa fille, Mme
Henry, qui porte une large plaie au front et ressent de violentes douleurs
dans la tête, a porté plainte pour coup contre son
mari. (Bonhomme Normand)
Septembre
1932 -
Tragique accident. -
En gare de
Lison, M. Paul Marguerie, 42 ans, depuis peu pointeur au roseau de l'État,
à Lison, a été tamponné par un chariot et violemment projeté à
terre. Relevé avec une sérieuse blessure au thorax et de multiples
contusions, le cheminot a été dirigé sur l'hôpital de St-Lô.
Maigré
tous les soins, le malheureux est mort dans la nuit de lundi à mardi. Il
laisse une veuve et trois enfants, qui habitent Pontaubault. (Bonhomme
Normand)
Septembre
1936 - Les
exploits de deux jeunes garnements.
-
Mercredi
soir,
Mme Rachinel, 59 ans, rentière, était couchée depuis un moment déjà
lorsqu'elle fut tirée du sommeil
par Jean L…..., 10 ans, domestique agricole, et Georges M…...., 13
ans, sans profession, qui la sommèrent de donner son argent sans quoi
elle allait recevoir un coup de revolver.
La
pauvre femme tenta de se rebeller mais les garnements la maintinrent et
elle préféra indiquer que son argent se trouvait dans l'armoire plutôt
que de subir un mauvais sort.
Fouillant
le meuble, les garnements y prirent une somme de 700 francs, ainsi que du
linge et des couverts en argent. Ce butin fut remis à la mère de l'un
d'eux, la veuve L……., née Fernande Dorléans, 40 ans, journalière.
Cependant Jean L….... garda par devers lui un billet de 100 francs et sa
mère en donna un autre au jeune M…….. qui, n'osant l'utiliser, le
brûla.
Les
deux jeunes cambrioleurs et la receleuse ont été arrêtés et déférés
au Parquet de Bayeux. (source
: Le Moniteur du Calvados)
Novembre
1938 -
Mort tragique du cantonnier.
- Nous
avons relaté, dans quelles circonstances une automotrice, conduite par un
chauffeur du dépôt de Granville, survenant brusquement de la gare de
Lison et se dirigeant vers Saint-Lô, avait tamponné un cantonnier, M.
Quiedville, occupé sur la voie ferrée et qui fut tué sur le coup.
De
l'enquête à laquelle vient de se livrer la gendarmerie, il semble
résulter que la victime marchait entre les rails, se dirigeant vers
Saint-Lô. Ses compagnons de travail déclarent avoir entendu le
bruit du signal de départ de l'automotrice de la gare de Lison, mais
n'avoir pas perçu d'autre signal indiquant son approche.
D'autre
part, le conducteur de l'automotrice prétend avoir annoncé sa venue
quelques centaines de mètres avant l'endroit où se produisit l'accident.
Le vent soufflant très fortement ce jour-là, dans le sens inverse de
celui suivi par le convoi, il est fort possible que les ouvriers n'aient
rien entendu.
La
visibilité n'existe dans la cabine du conducteur de l'automotrice qu'à
environ 200 mètres et le conducteur affirme n'avoir rien aperçu.
(Source : Le Moniteur du Calvados)
Février
1939 -
Un soldat écrasé par le train.
- Un
accident terrible s'est produit dans la soirée de dimanche, vers 22
heures, en gare de Lison.
Un
soldat permissionnaire du 43e d'artillerie, à Caen, Victor
Lhermitte, 22 ans. originaire de Baynes (Calvados), attendait le train
pour rejoindre sa garnison, avec un camarade. Il voulut
traverser la voie et passer devant la locomotive d'un train de
marchandises stationnant on gare et fut surpris par l'arrivée du train de
Lamballe qui arrivait juste. Heurté, il tomba sur le rail et eut les deux
jambes coupées.
Le
pauvre jeune homme est décédé à l'infirmerie du dépôt de
Lison.
Le
Parquet de Saint-Lô, MM. Cour, procureur de la République et Gaschet,
juge d'instruction, se sont rendus sur place pour l'enquête
administrative dès que prévenus de cet accident.
(Source : Le Moniteur du Calvados)
Avril
1939 -
Un cantonnier est écrasé par un train.
- L'autre soir,
lorsque le train 342 de la ligne Paris-Cherbourg, qui passe à Lison à 21
h. 45 s'arrêta dans cette gare, le mécanicien venant à graisser sa
machine, s'aperçut que le chasse-pierres était maculé de sang et de
débris de matière cervicale.
Il
avisa le chef de service, de la gare qui aussitôt, envoya un agent
effectuer des recherches sur la voie. C'est ainsi qu'à un kilomètre de
là on retrouva le cadavre d'un cantonnier des chemins de fer,
Pierre Cotty, qui habite un peu plus loin une petits maison de garde d'un
passage à niveau. Le malheureux avait la tête complètement broyée, sa
bicyclette fut retrouvée au milieu des rails dans un état informe.
La
victime qui regagnait son domicile en suivant la piste le long des rails
ayant été vue au poste d'aiguillage à 20 h. 45, on suppose, en raison
du temps qui s'est écoulé entre ce moment et l'heure de l'accident (50
minutes), qu'il avait dû monter sur sa bicyclette et fait une chute sur
les rails où il se serait assommé et serait resté étendu inanimé bien
avant le passage du train. (Source
: Le Moniteur du Calvados)
Décembre
1941
- Faits
divers.
- En
tournée dans les bois de la Bougne-d'Elle, à M. Lécuyer, de Lison, le
garde-chasse, André Marie, 47 ans, surprend un couple de braconniers.
L'homme refuse de se nommer et offre au garde 1.000 fr. pour son silence.
Sur
le refus de M. Marie, le braconnier le frappe d'un coup de couteau
derrière la tète et s'enfuit. La blessure n'est heureusement pas grave.
On recherche l'agresseur qui serait un employé de chemin de fer.
Mai
1944 -
Un train
mitraillé, un
mort, sept
blessés.
- Samedi,
entre 19
h 30 et
20 h.,
un train
venant de
Bayeux et
se dirigeant
vers Lison
a été mitraillé
par des
avions anglo-américains.
On compte
un mort
et sept
blessés. Les
papiers trouvés
auprès du
cadavre font
penser qu'il
s'agit du
corps de
Mme Hautemanière,
employée à
la recette
des P.
T. T, à
Caen, demeurant
rue de
l'Arquette. Les
blessés les
plus gravement
atteints sont
MM. Guilchar,
27 ans,
de Bayeux ;
Adolphe
Petit, 52
ans, de
Villiers-sur-Marne
; Bénêto Gonzalez,
40 ans,
demeurant
au camp
de Barneville
(Manche) ; Jakéo
Ferdinand, 36
ans, domicilié
à la Grand'Combe
(Gard), et
Charles Muller,
de Nanterre.
Octobre
1946 -
Un satyre. - Exupère
Lebreuilly, 39 ans, ouvrier d’usine à Lison, a été écroué sous l’inculpation
d’attentat aux mœurs. Le triste individu a avoué avoir eu des
relations avec sa fille mineure. (Source
: Le Bonhomme Libre)
Novembre
1946 -
Il y a fagot et fagot. -
Rencontrant
sur la route André Ringsdorff, 36 ans, marchand de balais, les gendarmes
de Lison eurent la curiosité de jeter un coup d’œil
sur le fagot qu’il transportait.
La
bourrée était avec trois
lapins de garenne et le délinquant en cachait
un quatrième sous sa veste. Vous pouvez
dire que vous avez de la chance, déclara Ringsdorff à la maréchaussée,
car il y a bien quinze jours que je n’en n’avais pas pris un
seul ! (Source : Le Bonhomme Libre)
Juin
1947 -
La série continue. –
M. Isidore Dudouet, garde-Champêtre, à Lison, a appréhendé deux
prisonniers boches qui s’étaient évadés du camp de Cherbourg. (Source
: Le Bonhomme Libre)
Février
1948 - Une
victime du devoir. -
Le gouvernement a cité à l'ordre de la nation M. Fernand
Tuasne, chauffeur de route à la SNCF, dépôt de Lison.
Le
7 septembre 1946, alors qu'il conduisait le train de voyageurs 1602
à Canisy (Manche) il aperçut tout à coup, à 600 mètres environ, un
train qui arrivait en sens inverse. Disposant
alors de quelques secondes avant le tamponnement inévitable, il aurait pu
sauter de sa machine pour échapper à une meurt certaine, mais il resta
à son poste et fut tué sur le coup.
Après
l'accident, on le retrouva la main sur le robinet de frein qui était dans
la position de freinage d'urgence.
Cette
conduite héroïque limita les conséquences du tamponnement et sauva la
vie de nombreux voyageurs. (Source : Le Bonhomme Libre)
Août
1948 -
Un incendie détruit une récolte de foin.
- Immédiatement
après le passage d'un train, un incendie s'est déclaré, à Lison, dans
un champ voisin de la voie ferrée de Paris à Cherbourg. Le feu s'est
développé avec une extrême rapidité qui a rendue inutile
l'intervention des pompiers d’Isigny appelés. Une récolte de foin sur
un hectare a été entièrement détruite. (Source : Le Bonhomme
Libre)
Novembre
1948
-
Soyez donc complaisant !
-
Ayant
bu plus que de raison, Albert Morin, 37 ans, maçon à Lison, éprouvait
les plus grandes difficultés à regagner son logis. Complaisant, un
cultivateur, M. Alberic Jamet, le hissa dans son automobile où le pochard
se trouva si bien qu'arrivé à domicile il refusa obstinément de
descendre.
M.
Jamet insistant, il frappa ce dernier d'un coup de poing. Expulsé de vive
force. Morin se jeta alors sur le cultivateur qui eut sa cravate arrachée
et sa chemise déchirée.
Aux
gendarmes qui, sur plainte de M. Jamet, l'ont interrogé, Morin a
déclaré qu'ils se souvenait de rien et a exprimé des regrets. C'était
le moins qu'il pouvait. (Source : Le Bonhomme Libre)
Janvier
1949
-
Une affaire de marché noir.
-
C'est la maréchaussée de Lison que revint la mission de clore
la série en appréhendant à Cartigny-l'Épinay, une nommée René Coutelliez,
femme Tronquoy, demeurant à Wattrelos (Nord). Depuis 10 ans, la femme
Tronquoy séjournait une semaine par mois dans la région. Durant les
trois dernières années, elle aurait adressé par chemin de fer ou par la
poste à destination de Lens, Roubaix, Tourcoing et Paris, 970 colis de
beurre représentant un poids de 2 tonnes et demi, en gare de Lison on a
relevé 917 expéditions.
La
trafiquante qui prétend n’avoir jamais envoyé que de la viande a été
rejoindre les autres délinquants sous les verrous. (Source : Le
Bonhomme Libre)
Novembre
1949 -
Un différend autour d’un tombe.
- Pour
la Toussaint, M. Pierre Catherine, 25 ans, mécanicien à Lison, avait
déposé deux pots de chrysanthèmes sur la tombe de sa grand-mère
inhumée dans le cimetière de la localité.
Une
tante, la dame Juliette Taillepied, 47 ans, ménagère à
Neuilly-la-Forêt, enlevé les fleurs afin, déclara-t-elle aux gendarmes,
d'obéir aux volontés de la éfunte qui ne voulait rien sur sa
sépulture. ( Le Bonhomme Libre )
Décembre
1949 -
Un voleur a moitié honnête.
- M.
Alexandre Letellier, 32 ans, maraîcher, à Lison, avait laissé sous un
hangar deux sacs contenant chacun 60 kilos de haricots secs.
Un
amateur de fayots s'est emparé de l'un d'eux causant au propriétaire un
préjudice de 7 000 frs. ( Le Bonhomme Libre )
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