Août
1926 -
Demande
de subvention. - Le Conseil général du Calvados,
adopte les propositions de M. le Préfet pour la répartition de la somme
de 5 600 francs, pour subventions
aux communes
en vue de les aider à acquitter les dépenses de réparation aux maisons
d'école et aux mobiliers scolaires. La somme de 5 600 francs proposée se
répartit ainsi qu'il suit : Livry. — Réfection de la toiture de
l'école de garçons - 500 fr.
Juin
1927 - Un incendie. - Un incendie qu'on
attribue à une flammèche partie d'une scierie voisine, a détruit à
Livry, canton de Caumont, une toiture en chaume, de 7 mètres de long,
et détérioré une autre en ardoise, toutes deux couvrant des
bâtiments à Mme Cotelle.
Février
1930 -
Acte stupide. -
M. Philippe Bel, chef de secteur au réseau rural électrique de
Caumont, a porté plainte contre inconnu pour coupure d'un câble de manœuvre
au Calvaire de Livry, pouvant occasionner la mort des ouvriers travaillant
sur la ligne.
On
dit que le même fait s'était produit il y a 3 semaines auparavant à
Bény-Bocage. (Source : L’Indicateur de Bayeux)
Avril
1932 -
La route rouge. -
A Livry, canton de
Caumont, une collision s'est produite au carrefour dit « des Maréchaux
», entre une camion conduit par M. Rouland, directeur de la Miroiterie d'Ellon,
et la camionnette de M. Mary, charcutier à Anctoville. Mme Mary, qui
accompagnait son mari, a été blessée à la figure et à une jambe.
(Bonhomme Normand)
Juillet
1932 -
Encore des vols sacrilèges !
- Après
les églises de Ste-Honorine-des-Pertes, de Maisy et d'Hermanville, celle
d'Isigny vient d'être visitée à son tour par des malfaiteurs qui ont
fracturé et vidé deux troncs. Aucun ornement ni objet du culte n'a été
touché.
De
même, à Livry, 4 troncs ont été visités, à
Vierville-sur-Mer, la sacristie a été fouillée de fond en comble. Seul,
le vin de messe a été emporté. Enfin, à Touques, des malfaiteurs ont
fracturé des troncs et volé une croix qu'ils ont dû abandonner ensuite
sur la place, étant donné son poids. (Bonhomme Normand)
Juillet
1932 -
Rencontre piquante. -
M.
Marcel Halley, 29 ans, propriétaire à Livry, canton de Caumont, fauchait
un champ quand il fut soudain assailli par un essaim d'abeilles qui le
piquèrent si furieusement au visage qu'il s'évanouit.
Attaqués
eux aussi, les chevaux de la faucheuse s'emballèrent mais furent vite arrêtés
par le domestique de M. Halley. On espère que le malade sera bientôt sur
pied malgré la multiplicité des piqûres reçues. (Bonhomme Normand)
Janvier
1936 - Un
incendie détruit une maison d’habitation.
-
Au
cours de la nuit, un incendie dont les causes sont inconnues a complètement
détruit la maison d'habitation des époux Vasquez, Édouard,
cultivateurs à Livry, hameau « Le Servin ». Le mobilier ainsi
qu'une somme de 300 francs et des papiers personnels ont été la proie
des flammes. Les époux Vasquez avaient quitté leur domicile, il y
a une quinzaine de jours, pour se rendre chez leur fils, M. Pierre Godart,
poissonnier à Bretteville-sur-Odon. Les pompiers
de Livry n'ont pu que préserver les bâtiments voisins. Le montant
des dégâts n'est pas connu. (Source :
Le Moniteur du Calvados)
Janvier
1936 - Une
sexagénaire brûlée vive dans son lit.
- Mme veuve Armand Berthe, née Alphonsine Legallois, 70
ans, demeurant à Livry, était restée alitée depuis 7 à 8 mois,
souffrant de sciatique. Mme Delaunay, ménagère, sa voisine, qui la
soignait, avait allumé une petite lampe « Pigeon », qu'elle plaça sur
une table de nuit, à environ 2 mètres du lit. Cette lampe s'étant
éteinte. Mme Berthe, qui avait des allumettes sous son traversin, voulut
sans doute allumer la bougie qui se trouvait prés de cette petite
lampe.
Le
lendemain matin, un voisin, M. Moïse Lemeuble, cultivateur, apercevant de
la fumée, tenta d'entrer chez Mme Berthe. Il remarqua que le lit était
en feu. La fumée le prenant à la gorge et l'empêchant d'entrer, il alla
chercher des seaux d'eau, qu'il jeta sur le lit. Lorsqu'il put pénétrer
dans la chambrer, il constata que Mme Berthe était morte, la jambe gauche
en partie calcinée, ainsi que le côté gauche du ventre et de la
poitrine, tout l'avant-bras était également brûlé. Le côté gauche du
lit et une partie de la literie ont été consumés. (Source :
Le Moniteur du Calvados)
Octobre
1937 -
Une
disparition.
-
Le
11 octobre dernier, au soir, un cultivateur âgé de 45 ans, demeurant à
Livry, quittait brusquement sa ferme sans prévenir sa famille qui,
depuis, ne l'a pas revu, et dont on devine l'inquiétude. Le 12, sa
femme reçut de lui un télégramme posté de Bérigny, près Saint-Lô,
lui annonçant son retour le lendemain.
Ce
jour-là, ni les suivants, on ne l'a pas revu mais on retrouve sa trace le
12, du côté de Saint-Pierre-de-Semilly, où il fut aperçu.
Comme
il était porteur de la somme de 80 francs seulement, on a tout lieu de
croire qu'il n'a pu aller loin et se trouve encore dans la légion de
Saint-Lô.
Voici
son signalement : taille 1 m. 70. forte corpulence, moustaches blondes
taillées, visage rend et coloré, calvitie très prononcée, vêtu d'un
veston de chasse usagé et d'un pantalon rapiécé aux deux
genoux, sabots neufs, casquette claire. Les personnes qui pourraient
fournir des renseignements sont priées d'aviser police ou gendarmerie.
(Source :
Le Moniteur du Calvados)
Janvier
1938 -
Un incendie dans un atelier de maréchalerie.
- Un
incendie s'est déclaré dans un hangar appartenant à M. Hippolyte
Catherine, maréchal-ferrant, Livry et attenant à son
atelier.
Le
feu qui trouva dans les vingt stères de bois de chauffage, abrités sous
le hangar, un aliment facile, se propagea assez rapidement et se
communiqua au grenier situé sur l'atelier
de charronnage.
Dès
qu'on s'aperçut du sinistre, les bonnes volontés se mirent à l'œuvre
et l'on commença à lutter contre le fléau avec les pompiers de la
commune un attendant ceux de Caumont, qui arrivèrent avec leur
moto-pompe.
On
pouvait craindre un instant, pour les maisons voisines mais, par bonheur,
le vent qui était violent, soufflait en sens contraire. Après une heure
et demie de travail, tout danger était écarté.
Sur
les lieux du sinistre, on remarquait la présence de M. Châle!, adjoint
au maire de Livry ; M. Anne, conseiller général ; les
gendarmes de Caumont, qui ont ouvert une enquête sur les causes de cet
incendie. On écarte toute idée de malveillance et conclu à une cause
purement accidentelle.
(Source :
Le Moniteur du Calvados)
Mars
1938 -
La rupture d'une direction cause un accident mortel.
- M.
Gervais, demeurant à Amayé-sur-Orne, circulait hier après-midi
au volant de son auto, route de Saint-Lô, à Évrecy, se dirigeant vers cette
dernière localité lorsque, arrivé sur le territoire de la commune de Livry, sa
direction manqua au moment précis où il abordait un virage.
L'auto
fit une embardée sur la gauche et s'écrasa sur une haie bordant la route.
M.
Farin. maréchal-expert à Évrecy,
qui se trouvait aux côtés du chauffeur, heurta
malencontreusement un arbre et fut tué sur le coup.
Les
gendarmes de Caumont-l'Éventé ont procédé à l'enquête.
(Source : Le Moniteur
du Calvados)
Août
1938 -
Un vol de 15 000 francs.
- Un
malfaiteur s'est introduit, après avoir brisé un carreau, dans
l'habitation de M. Vaussy, 78 ans, instituteur honoraire.
Le
cambrioleur s'est emparé d'une somme de 15 000 francs composée en
billets de mille, de cinq louis d'or et de 50 francs de menue monnaie.
Une
enquête a été ouverte par la gendarmerie de Caumont-l’Éventé, qui a
alerté les brigades voisines. (Source :
Le Moniteur du Calvados)
Octobre
1938 -
Un cycliste fait une chute et se blesse gravement.
- M.
Joseph Roussel, 40 ans, journalier, sans domicile fixe, qui travaille
actuellement à Anctoville, a été trouvé inanimé sur la route près de
sa bicyclette.
Il
a fait une chute dans des circonstances absolument indéterminées, car il
n'a pas encore pu prononcer une parole.
Il
reçut les premiers soins du Dr Picot, de Caumont-l’Èventé, qui
ordonna son transfert immédiat à l'hôpital de Bayeux.
Le
blessé est atteint d'une fracture du crâne. Son état est grave, mais
néanmoins ses jours ne semblent pas devoir être en danger. (Source
: Le Moniteur
du Calvados)
Décembre
1938 -
L'offensive du froid. -
Les
froids intenses signalés ces derniers jours en Russie et en Allemagne
taisaient présager l'arrivée d’une vague glaciaire dans nos régions.
Elle a arrivée dans la nuit de samedi à dimanche, faisant éclore sur
nos fermes une riche floraison de givre, et surprenant autant par son
apparition soudain que par sa rigueur inaccoutumée.
Le
thermomètre avait, en effet, marque 7 degrés sous zéro. Mais il ne
devait pas s’arrêter en si beau chemin, et cette nuit, il est descendu
aux environs de 12, ce qui ne s'était pas vu depuis 1929.
il
en est résulte de graves inconvénients pour la circulation et pour la
vie ménagère. Nombreuses sont les habitations où l'eau et le gaz sont
coupés, par suite du gel des canalisations ou des compteurs. Le
vent reste à l’Est, et le froid peut durer. (Source
: Le Moniteur du Calvados)
Décembre 1938
- Pendant le
marché, deux maisons sont cambriolées.
- La
paisible commune de Livry vient d'être le théâtre de deux cambriolages
: l'un chez M. Edmond Victor, 45 ans, cultivateur à Livry, au lieu
dit « Le Repas » ; l'autre chez M. Alexandre Pascal, 60 ans,
cultivateur, demeurant au hameau de « Mitrécaen », commune de
Livry.
Dans
les deux cas, les malfaiteurs profitèrent de l'absence des habitants,
pour opérer. M. Victor, était parti au marché de Caumont-l'Eventé : M.
Alexandre Pascal, lui, travaillait dans un pré attenant à sa
maison pendant que le cambriolage s’effectuant. Un peu sourd, il
n'entendit rien.
Les
portes des deux habitations étaient fermées à clé. Chez M. Pascal, le
carreau d’une fenêtre de la cuisine fut brisé. Après avoir tout
fouillé et bouleversé, les malfaiteurs partirent en emportant
divers bijoux : broches, alliances, sautoirs et médailles. De plus, une
somme de 1 200 francs en billets et 100 francs en monnaie qui se
trouvaient dans la chambre de Mlle Pascal, ont disparu.
De
part et d’autre, une plainte a été déposée à la gendarmerie de
Caumont-l'Éventé contre les auteurs du vol.
(Source : Le Moniteur du Calvados)
Janvier
1939
- Une affaire de
vol de linge militaire. -
Les gendarmes de
Caumont-l'Éventé ayant été prévenus qu'un garçon boucher de Livry,
devant bientôt quitter la région, Alphonse Sacier, âgé de 24 ans,
possédait du linge militaire, se rendirent sur place pour procéder à
une enquête.
Le
jeune homme, pour se disculper de l'accusation portée contre lui, les
invita lui-même à vérifier ses affaires. Mal lui en prit, car dans sa
valise se trouvaient cinq paires de treillis, trois caleçons, quatre
flanelles, sept chemises, neuves pour la plupart, le tout immatriculé au
chiffre de 128e Régiment d'Infanterie, à Caen, caserne
Lefebvre.
Pressé
de questions quant à la provenance de ce linge, Sacier finit par
reconnaître qu'il l'avait dérobé alors qu'il effectuait son service
militaire à ce régiment, du mois d'octobre 1935 au mois d'avril 1937. Il
précisa qu'ayant assez rapidement été affecté comme cuisinier, c'est
une femme de service
qui lui sortait le linge approprié par lui et il allait ensuite le
chercher chez elle.
Cette
dame, dont, il a fourni le nom et l'adresse, est actuellement recherchée.
(Source : Le Moniteur du Calvados)
Août
1940 -
Une brute.
- Mme
Marie Boudier,
36 ans,
ménagère
à Llvry,
avait chargé
son fils
Henri,
âgé de
15 ans,
d'une commission.
Au bout
d'un moment
elle le
vit revenir
le visage
ensanglanté.
Le jeune
homme
lui raconta
alors qu'il
venait
d'être
battu par
leur voisin
Eugène
Lévesque,
43 ans,
cultivateur.
Celui-ci
s'était
jeté sur
le jeune
Henri,
le frappant
à coups
de poing
au visage.
Ayant fait
tomber
sa victime
à terre,
il s'acharna
sur elle
à coups
de pied.
Atteint
de plaies
à l'oreille
droite,
à la lèvre
supérieure
et à
la narine
gauche,
le jeune
homme se
plaint en
outre de
vives douleurs
dans la
cuisse
et dans
la poitrine.
Le lendemain
de cette
sévère
correction, il
crachait
encore
du sang.
Examiné
par le
docteur
Couanet,
de Caumont-l'Eventé,
celui-ci
lui a
ordonné
un repos
complet
de plusieurs
jours.
Interrogé par
les gendarmes
de Caumont,
saisis
d'une plainte,
Lévesque a
seulement
reconnu
avoir donné
une gifle
au petit
Henri.
Décembre
1941
- Avis
à la population. -
Le chef des
Services régionaux de transmission des troupes d'occupation a pris
l'arrêté suivant : « Des
aviateurs anglais lancent depuis quelque temps au-dessus des départements
du Calvados, de l'Orne et de la Manche des pigeons-voyageurs et invitent
la population française à renvoyer ces pigeons avec des nouvelles.
Nous
espérons que la population française, songeant aux graves conséquences
de son geste, ne se prêtera pas à cette manœuvre, mais livrera ces
pigeons et tous leurs accessoires au bureau militaire allemand le
plus proche ou à la mairie.
A
l'avenir, toute personne qui livrera des pigeons-voyageurs ou le matériel
servant à la transmission des nouvelles ou au lancement à terre du
pigeon recevra une récompense par l'intermédiaire des Feldkommandanturs
des départements du Calvados, de l'Orne et de la Manche.
Je
compte sur la loyauté de la population et j'attends de toute personne qui
découvrira des pigeons-voyageurs, etc., qu'elle les remette sans délai
aux autorités allemandes ».
Janvier
1942
- Révocation
et démission d'office. -
Par arrêté préfectoral démissionne d'office de ses fonctions de
conseiller municipal de Livry, M. Authie, qui a commis diverses
infractions à la réglementation sur le ravitaillement et acheté,
notamment, du beurre au dessus de la taxe.
Juillet
1932 -
Encore des vols sacrilèges !
- Après
les églises de Ste-Honorine-des-Pertes, de Maisy et d'Hermanville, celle
d'Isigny vient d'être visitée à son tour par des malfaiteurs qui ont
fracturé et vidé deux troncs. Aucun ornement ni objet du culte n'a été
touché.
De
même, à Livry, 4 troncs ont été visités, à
Vierville-sur-Mer, la sacristie a été fouillée de fond en comble. Seul,
le vin de messe a été emporté. Enfin, à Touques, des malfaiteurs ont
fracturé des troncs et volé une croix qu'ils ont dû abandonner ensuite
sur la place, étant donné son poids. (Bonhomme Normand)
Février
1945 -
Une mine explose. -
Alors qu’elle allait mettre des vaches au piquet, Mme veuve
Romuald, de Livry, a heurté une mine. Le pied gauche arraché, elle a
été conduite à l’hôpital de Bayeux. (Source :
Le Bonhomme Libre)
Juin
1945 -
Un retraité se suicide. -
Très
affecté par la port de sa femme et par celle de son fils, M. François
Lecarpentier, 57 ans, retraité, demeurant à Livry, s’est suicidé par
pendaison dans une étable attentant à son habitation. (Source :
Le Bonhomme Libre)
Novembre
1945 -
Macabre découverte. -
Une
équipe de démineurs travaillant dans un champ, à Livry, a découvert le
corps de deux soldats américains dans un état de décomposition
avancée. (Source :
Le Bonhomme Libre)
Novembre
1945 -
Deux ouvrier victimes d’une explosion.
-
Deux jeunes gens de Livry, MM. Guénée, 20 ans, et Guy Godard, 15
ans, ayant découvert un obus, voulurent le dévisser.
Une
explosion se produisit tuant sur le coup M. Guénée. M. Godard est
décédé à l’hôpital de Bayeux où il avait transporté. (Source :
Le Bonhomme Libre)
Octobre
1948 -
Le contre coup du coup.
- Au
carrefour du Calvaire, à Livry, une automobile pilotée par M. Roland
Vialon, forain à Caen, à heurté l'arrière d'une remorque conduite par
M. Hervieu, au service de la Maison Lecordier, de Bayeux, qui appuyait sur
la gauche pour se placer devant une camionnette de la même Maison,
restée en panne et qu'il avait été chargé de ramener.
La
voiture de M. Vialon vint ensuite tamponner la camionnette qui a subi de
sérieux dégâts. (Source : Le Bonhomme Libre)
Avril
1949 -
Un individu malfaisant. -
Pénétrant, au matin, dans l'étable de son exploitation, M.
Albert Gosselin, cultivateur à Livry, constatait qu’un malfaiteur
s'était introduit par effraction dans celle-ci et avait mutilé un veau
de six semaines. Amenés à interroger un voisin de l'agriculteur, Georges
Delaunay, 29 ans, manœuvre maçon, les gendarmes constatèrent la
présence de taches de sang et de poils sur les vêtements de l'individu
qui, pressé de question, se reconnut coupable.
Delaunay
avoua également qu'il avait commis, l'an dernier, des méfaits identiques
sur des animaux appartenant à M. Porée, de Parfouru-l'Éclin, et
Châtel, de Livry. Il a mis ces actes sur le compte de l'ivresse. Le
sadique a été écroué à Caen. (Source : Le Bonhomme Libre)
Novembre
1949 -
Une rectification de frontières paroissiales. - Par
ordonnance de Mgr Picaud, les hameaux de Mondant ( y compris le lieu dit
« La Bruyère » ) et de l'Etoquet ont été détachés de la
paroisse de Livry pour être annexés à celle de Caumont-l'Eventé. ( Le
Bonhomme Libre )
Janvier
1968 - Association. - En 1968, la commune
s'associe à Parfouru-l'Éclin (147 habitants). |