15 Janvier 2025

UN SIÈCLE D’HISTOIRE DU CALVADOS

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LIVRY - le - VIEUX

Canton de Caumont-l'Éventé

Les habitants de la commune sont les Livernois et Livernoise


Août 1926  -  Demande de subvention.  -  Le Conseil général du Calvados, adopte les propositions de M. le Préfet pour la répartition de la somme de 5 600 francs, pour subventions aux communes en vue de les aider à acquitter les dépenses de réparation aux maisons d'école et aux mobiliers scolaires. La somme de 5 600 francs proposée se répartit ainsi qu'il suit : Livry. — Réfection de la toiture de l'école de garçons - 500 fr.  

Juin 1927  -  Un incendie.  -  Un incendie qu'on attribue à une flammèche partie d'une scierie voisine, a détruit à Livry, canton de Caumont, une toiture en chaume, de 7 mètres de long, et  détérioré une autre en ardoise, toutes deux couvrant des bâtiments à Mme Cotelle.

 

Février 1930   -  Acte stupide.   -   M. Philippe Bel, chef de secteur au réseau rural électrique de Caumont, a porté plainte contre inconnu pour coupure d'un câble de manœuvre au Calvaire de Livry, pouvant occasionner la mort des ouvriers travaillant sur la ligne.

On dit que le même fait s'était produit il y a 3 semaines auparavant à Bény-Bocage. (Source : L’Indicateur de Bayeux)

 

Avril 1932   -   La route rouge.   -    A Livry, canton de Caumont, une collision s'est produite au carrefour dit « des Maréchaux », entre une camion conduit par M. Rouland, directeur de la Miroiterie d'Ellon, et la camionnette de M. Mary, charcutier à Anctoville. Mme Mary, qui accompagnait son mari, a été blessée à la figure et à une jambe. (Bonhomme Normand)

 

Juillet 1932   -   Encore des vols sacrilèges !   -  Après les églises de Ste-Honorine-des-Pertes, de Maisy et d'Hermanville, celle d'Isigny vient d'être visitée à son tour par des malfaiteurs qui ont fracturé et vidé deux troncs. Aucun ornement ni objet du culte n'a été touché.

De même, à Livry, 4 troncs ont été visités, à Vierville-sur-Mer, la sacristie a été fouillée de fond en comble. Seul, le vin de messe a été emporté. Enfin, à Touques, des malfaiteurs ont fracturé des troncs et volé une croix qu'ils ont dû abandonner ensuite sur la place, étant donné son poids. (Bonhomme Normand)

 

Juillet 1932   -   Rencontre piquante.   -   M. Marcel Halley, 29 ans, propriétaire à Livry, canton de Caumont, fauchait un champ quand il fut soudain assailli par un essaim d'abeilles qui le piquèrent si furieusement au visage qu'il s'évanouit.

Attaqués eux aussi, les chevaux de la faucheuse s'emballèrent mais furent vite arrêtés par le domestique de M. Halley. On espère que le malade sera bientôt sur pied malgré la multiplicité des piqûres reçues. (Bonhomme Normand)

 

Janvier 1936  -  Un incendie détruit une maison d’habitation.   -   Au cours de la nuit, un incendie dont les causes sont inconnues a complètement détruit la maison d'habitation des  époux Vasquez, Édouard, cultivateurs à Livry, hameau « Le Servin ». Le mobilier ainsi qu'une somme de 300 francs et des papiers personnels ont été la proie des flammes. Les époux  Vasquez avaient quitté leur domicile, il y a une quinzaine de jours, pour se rendre chez leur fils, M. Pierre Godart, poissonnier à Bretteville-sur-Odon. Les pompiers de Livry n'ont pu que  préserver les bâtiments voisins. Le montant des dégâts n'est pas connu. (Source : Le Moniteur du Calvados)

 

Janvier 1936  -  Une sexagénaire brûlée vive dans son lit.   -   Mme veuve Armand Berthe, née Alphonsine Legallois, 70 ans, demeurant à Livry, était restée alitée depuis 7 à 8 mois, souffrant de sciatique. Mme Delaunay, ménagère, sa voisine, qui la soignait, avait allumé une petite lampe « Pigeon », qu'elle plaça sur une table de nuit, à environ 2 mètres du lit. Cette lampe s'étant éteinte. Mme Berthe, qui avait des allumettes sous son traversin, voulut sans doute allumer la bougie qui se trouvait prés de cette petite lampe. 

Le lendemain matin, un voisin, M. Moïse Lemeuble, cultivateur, apercevant de la fumée, tenta d'entrer chez Mme Berthe. Il remarqua que le lit était en feu. La fumée le prenant à la gorge et l'empêchant d'entrer, il alla chercher des seaux d'eau, qu'il jeta sur le lit. Lorsqu'il put pénétrer dans la chambrer, il constata que Mme Berthe était morte, la jambe gauche en partie  calcinée, ainsi que le côté gauche du ventre et de la poitrine, tout l'avant-bras était également brûlé. Le côté gauche du lit et une partie de la literie ont été consumés. (Source : Le  Moniteur  du Calvados)

 

Octobre 1937  -   Une disparition.  -  Le 11 octobre dernier, au soir, un cultivateur âgé de 45 ans, demeurant à Livry, quittait brusquement sa ferme sans prévenir sa famille qui, depuis, ne  l'a pas revu, et dont on devine l'inquiétude. Le 12, sa femme reçut de lui un télégramme posté de Bérigny, près Saint-Lô, lui annonçant son retour le lendemain. 

Ce jour-là, ni les suivants, on ne l'a pas revu mais on retrouve sa trace le 12, du côté de Saint-Pierre-de-Semilly, où il fut aperçu.

Comme il était porteur de la somme de 80 francs seulement, on a tout lieu de croire qu'il n'a pu aller loin et se trouve encore dans la légion de Saint-Lô. 

Voici son signalement : taille 1 m. 70. forte corpulence, moustaches blondes taillées, visage rend et coloré, calvitie très prononcée, vêtu d'un veston de chasse usagé et d'un  pantalon  rapiécé aux deux genoux, sabots neufs, casquette claire. Les personnes qui pourraient fournir des renseignements sont priées d'aviser police ou gendarmerie. (Source : Le Moniteur du  Calvados)

 

Janvier 1938  -  Un incendie dans un atelier de maréchalerie.  -   Un incendie s'est déclaré dans un hangar appartenant à M. Hippolyte Catherine, maréchal-ferrant, Livry et attenant à  son  atelier.

Le feu qui trouva dans les vingt stères de bois de chauffage, abrités sous le hangar, un aliment facile, se propagea assez rapidement et se communiqua au grenier situé sur l'atelier de  charronnage.

Dès qu'on s'aperçut du sinistre, les bonnes volontés se mirent à l'œuvre et l'on commença à lutter contre le fléau avec les pompiers de la commune un attendant ceux de Caumont, qui  arrivèrent avec leur moto-pompe.

On pouvait craindre un instant, pour les maisons voisines mais, par bonheur, le vent qui était violent, soufflait en sens contraire. Après une heure et demie de travail, tout danger était écarté.

Sur les lieux du sinistre, on remarquait la présence de M. Châle!, adjoint au maire de Livry ; M. Anne, conseiller général ; les gendarmes de Caumont, qui ont ouvert une enquête sur les causes de cet incendie. On écarte toute idée de malveillance et conclu à une cause purement accidentelle. (Source : Le Moniteur du Calvados)

 

Mars 1938   -   La rupture d'une direction cause un accident mortel.   -   M. Gervais, demeurant à Amayé-sur-Orne, circulait hier après-midi au volant de son auto, route de Saint-Lô, à  Évrecy, se dirigeant vers cette dernière localité lorsque, arrivé sur le territoire de la commune de Livry, sa direction manqua au moment précis où il abordait un virage.

L'auto fit une embardée sur la gauche et s'écrasa sur une haie bordant la route. M. Farin. maréchal-expert à Évrecy, qui se trouvait aux côtés du chauffeur, heurta malencontreusement un  arbre et fut tué sur le coup.

Les gendarmes de Caumont-l'Éventé ont procédé à l'enquête. (Source : Le Moniteur du Calvados)

 

Août 1938   -   Un vol de 15 000 francs.   -   Un malfaiteur s'est introduit, après avoir brisé un carreau, dans l'habitation de M. Vaussy, 78 ans, instituteur honoraire.

Le cambrioleur s'est emparé d'une somme de 15 000 francs composée en billets de mille, de cinq louis d'or et de 50 francs de menue monnaie.

Une enquête a été ouverte par la gendarmerie de Caumont-l’Éventé, qui a alerté les brigades voisines. (Source : Le Moniteur du Calvados)  

 

Octobre 1938   -   Un cycliste fait une chute et se blesse gravement.   -    M. Joseph Roussel, 40 ans, journalier, sans domicile fixe, qui travaille actuellement à Anctoville, a été trouvé inanimé sur la route près de sa bicyclette.

Il a fait une chute dans des circonstances absolument indéterminées, car il n'a pas encore pu prononcer une parole.

Il reçut les premiers soins du Dr Picot, de Caumont-l’Èventé, qui ordonna son transfert immédiat à l'hôpital de Bayeux.

Le blessé est atteint d'une fracture du crâne. Son état est grave, mais néanmoins ses jours ne semblent pas devoir être en danger. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Décembre 1938   -   L'offensive du froid.   -  Les froids intenses signalés ces derniers jours en Russie et en Allemagne taisaient présager l'arrivée d’une vague glaciaire dans nos régions. Elle a arrivée dans la nuit de samedi à dimanche, faisant éclore sur nos fermes une riche floraison de givre, et surprenant autant par son apparition soudain que par sa rigueur inaccoutumée.

Le thermomètre avait, en effet, marque 7 degrés sous zéro. Mais il ne devait pas s’arrêter en si beau chemin, et cette nuit, il est descendu aux environs de 12, ce qui ne s'était pas vu  depuis 1929.

il en est résulte de graves inconvénients pour la circulation et pour la vie ménagère. Nombreuses sont les habitations où l'eau et le gaz sont coupés, par suite du gel des canalisations ou  des compteurs. Le vent reste à l’Est, et le froid peut durer. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Décembre 1938   -   Pendant le marché, deux maisons sont cambriolées.   -   La paisible commune de Livry vient d'être le théâtre de deux cambriolages : l'un chez M. Edmond Victor, 45  ans, cultivateur à Livry, au lieu dit « Le Repas » ; l'autre chez M. Alexandre Pascal, 60 ans, cultivateur, demeurant au hameau de « Mitrécaen », commune de Livry.

Dans les deux cas, les malfaiteurs profitèrent de l'absence des habitants, pour opérer. M. Victor, était parti au marché de Caumont-l'Eventé : M. Alexandre Pascal, lui, travaillait dans un pré  attenant à sa maison pendant que le cambriolage s’effectuant. Un peu sourd, il n'entendit rien.

Les portes des deux habitations étaient fermées à clé. Chez M. Pascal, le carreau d’une fenêtre de la cuisine fut brisé. Après avoir tout fouillé et bouleversé, les malfaiteurs  partirent en emportant divers bijoux : broches, alliances, sautoirs et médailles. De plus, une somme de 1 200 francs en billets et 100 francs en monnaie qui se trouvaient dans la chambre de Mlle Pascal, ont disparu.

De part et d’autre, une plainte a été déposée à la gendarmerie de Caumont-l'Éventé contre les auteurs du vol. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Janvier 1939   -   Une affaire de vol de linge militaire.  -  Les gendarmes de Caumont-l'Éventé ayant été prévenus qu'un garçon boucher de Livry, devant bientôt quitter la région, Alphonse Sacier, âgé de 24 ans, possédait du linge militaire, se rendirent sur place pour procéder à une enquête.

Le jeune homme, pour se disculper de l'accusation portée contre lui, les invita lui-même à vérifier ses affaires. Mal lui en prit, car dans sa valise se trouvaient cinq paires de treillis, trois caleçons, quatre flanelles, sept chemises, neuves pour la plupart, le tout immatriculé au chiffre de 128e Régiment d'Infanterie, à Caen, caserne Lefebvre.

Pressé de questions quant à la provenance de ce linge, Sacier finit par reconnaître qu'il l'avait dérobé alors qu'il effectuait son service militaire à ce régiment, du mois d'octobre 1935 au mois d'avril 1937. Il précisa qu'ayant assez rapidement été affecté comme cuisinier, c'est une femme de service qui lui sortait le linge approprié par lui et il allait ensuite le chercher chez elle.

Cette dame, dont, il a fourni le nom et l'adresse, est actuellement recherchée. (Source  : Le Moniteur du Calvados)

 

Août 1940  -  Une brute.  -  Mme Marie Boudier, 36 ans, ménagère à Llvry, avait chargé son fils Henri, âgé de 15 ans, d'une commission. Au bout d'un moment elle le vit revenir le visage ensanglanté. Le jeune homme lui raconta alors qu'il venait d'être battu par leur voisin Eugène Lévesque, 43 ans, cultivateur. Celui-ci s'était jeté sur le jeune Henri, le frappant à coups de poing au visage. Ayant fait tomber sa victime à terre, il s'acharna sur elle à coups de pied. Atteint de plaies à l'oreille droite, à la lèvre supérieure et à la narine gauche, le jeune homme se plaint en outre de vives douleurs dans la cuisse et dans la poitrine. Le lendemain de cette sévère correction, il crachait encore du sang. Examiné par le docteur Couanet, de Caumont-l'Eventé, celui-ci lui a ordonné un repos complet de plusieurs jours.
Interrogé par les gendarmes de Caumont, saisis d'une plainte, Lévesque a seulement reconnu avoir donné une gifle au petit Henri.  

 

Décembre 1941   -   Avis à la population.   -   Le chef des Services régionaux de transmission des troupes d'occupation a pris l'arrêté suivant : « Des aviateurs anglais lancent depuis quelque temps au-dessus des départements du Calvados, de l'Orne et de la Manche des pigeons-voyageurs et invitent la population française à renvoyer ces pigeons avec des nouvelles.

Nous espérons que la population française, songeant aux graves conséquences de son geste, ne se prêtera pas à cette manœuvre, mais livrera ces pigeons et tous leurs accessoires au  bureau militaire allemand le plus proche ou à la mairie.

A l'avenir, toute personne qui livrera des pigeons-voyageurs ou le matériel servant à la transmission des nouvelles ou au lancement à terre du pigeon recevra une récompense par l'intermédiaire des Feldkommandanturs des départements du Calvados, de l'Orne et de la Manche.

Je compte sur la loyauté de la population et j'attends de toute personne qui découvrira des pigeons-voyageurs, etc., qu'elle les remette sans délai aux autorités allemandes ».

 

Janvier 1942   -   Révocation et démission d'office.   -   Par arrêté préfectoral démissionne d'office de ses fonctions de conseiller municipal de Livry, M. Authie, qui a commis diverses infractions à la réglementation sur le ravitaillement et acheté, notamment, du beurre au dessus de la taxe.  

 

Juillet 1932   -   Encore des vols sacrilèges !   -  Après les églises de Ste-Honorine-des-Pertes, de Maisy et d'Hermanville, celle d'Isigny vient d'être visitée à son tour par des malfaiteurs qui ont fracturé et vidé deux troncs. Aucun ornement ni objet du culte n'a été touché.

De même, à Livry, 4 troncs ont été visités, à Vierville-sur-Mer, la sacristie a été fouillée de fond en comble. Seul, le vin de messe a été emporté. Enfin, à Touques, des malfaiteurs ont fracturé des troncs et volé une croix qu'ils ont dû abandonner ensuite sur la place, étant donné son poids. (Bonhomme Normand)

 

Février 1945  -  Une mine explose.  -  Alors qu’elle allait mettre des vaches au piquet, Mme veuve Romuald, de Livry, a heurté une mine. Le pied gauche arraché, elle a été conduite à  l’hôpital de Bayeux.   (Source : Le Bonhomme Libre)

 

Juin 1945  -  Un retraité se suicide.  -  Très affecté par la port de sa femme et par celle de son fils, M. François Lecarpentier, 57 ans, retraité, demeurant à Livry, s’est suicidé par pendaison dans une étable attentant à son habitation. (Source : Le Bonhomme Libre)

 

Novembre 1945  -  Macabre découverte.  -  Une équipe de démineurs travaillant dans un champ, à Livry, a découvert le corps de deux soldats américains dans un état de décomposition avancée. (Source : Le Bonhomme Libre)

 

Novembre 1945  -  Deux ouvrier victimes d’une explosion.  -  Deux jeunes gens de Livry, MM. Guénée, 20 ans, et Guy Godard, 15 ans, ayant découvert un obus, voulurent le dévisser.

Une explosion se produisit tuant sur le coup M. Guénée. M. Godard est décédé à l’hôpital de Bayeux où il avait transporté. (Source : Le Bonhomme Libre)

 

Octobre 1948   -   Le contre coup du coup.   -   Au carrefour du Calvaire, à Livry, une automobile pilotée par M. Roland Vialon, forain à Caen, à heurté l'arrière d'une remorque conduite par M. Hervieu, au service de la Maison Lecordier, de Bayeux, qui appuyait sur la gauche pour se placer devant une camionnette de la même Maison, restée en panne et qu'il avait été chargé de ramener.

La voiture de M. Vialon vint ensuite tamponner la camionnette qui a subi de sérieux dégâts. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Avril 1949   -   Un individu malfaisant.  -  Pénétrant, au matin, dans l'étable de son exploitation, M. Albert Gosselin, cultivateur à Livry, constatait qu’un malfaiteur s'était introduit par effraction dans celle-ci et avait mutilé un veau de six semaines. Amenés à interroger un voisin de l'agriculteur, Georges Delaunay, 29 ans, manœuvre maçon, les gendarmes constatèrent la présence de taches de sang et de poils sur les vêtements de l'individu qui, pressé de question, se reconnut coupable.

Delaunay avoua également qu'il avait commis, l'an dernier, des méfaits identiques sur des animaux appartenant à M. Porée, de Parfouru-l'Éclin, et Châtel, de Livry. Il a mis ces actes sur le compte de l'ivresse. Le sadique a été écroué à Caen. (Source  : Le Bonhomme Libre)

 

Novembre 1949   -   Une rectification de frontières paroissiales.   -    Par ordonnance de Mgr Picaud, les hameaux de Mondant ( y compris le lieu dit « La Bruyère » ) et de l'Etoquet ont été détachés de la paroisse de Livry pour être annexés à celle de Caumont-l'Eventé. ( Le Bonhomme Libre )

 

Janvier 1968  -  Association.  -  En 1968, la commune s'associe à Parfouru-l'Éclin (147 habitants).

LIVRY   -   École des filles

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