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BURES s/ DIVES |
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Canton de Troarn |
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Le
conducteur, réveillé en sursaut, en a été quitte pour appeler du
secours. Il était alors six heures du matin.
Mars
1867 -
Une bénédiction. -
Dimanche dernier, on a fait la bénédiction de l'église de Bures,
à laquelle on a fait d'importants travaux d'agrandissement, et notamment,
un chœur tout neuf avec un bel autel. La cérémonie était présidée par M. Ducellier, vicaire général, il était accompagné d'un grand nombre d'ecclésiastiques des communes environnantes, qui avaient été invités de participer à cette cérémonie, qui avait attiré un grand concours de fidèles.
Mai
1867 -
Un accident. - Le
vendredi 17 de ce mois, le petit garçon du sieur Pierre Lenglinay, de
Bures, qui était domestique dans une ferme des environs, a reçu à la tête,
un coup de pied de cheval qui met ses jours en danger. Il a eu le front
entre ouvert et un oeil presque sorti de son orbite.
Juillet
1867 - Un orage.
-
On nous écrit de Bavent, qu'un violent orage a éclaté sur ce
pays dans la nuit du 12 au 13 juillet. La foudre est tombée en plusieurs
endroits. À Bavent, elle a brisée un pommier et un peuplier ; à Bures, elle est tombée sur la cheminée du sieur Desloges, et en a détaché quelques pierres ; enfin sur le territoire de Basseneville, le tonnerre a réduit en cendres une meule de foin.
Septembre
1867 -
Deux ecclésiastiques. - Le
mercredi 4 de ce mois, M. le curé de Bures, et M. l'abbé Gillette,
s'engagèrent sur une passerelle établie sur la Muance, au Ils
se retirèrent de cette position désagréable sans avoir éprouvé aucun
mal. Le
garde général du syndicat de la Dives, M. Gustave Hélie, ayant été prévenu
de l'accident, s'empressa aussitôt de faire rétablir solidement
l'appuie-main de la passerelle dont il s'agit, et qui sert fréquemment au
passage des personnes qui se rendent de Bures aux marais de Troarn.
Janvier 1868
- Fait divers. -
Une magnifique outarde, de la grande espèce, tuée sur le
territoire de la commune de Bures, par M. Lemarinier de Bavent, viendra
enrichir la collection du cabinet d'histoire naturelle de Caen.
Janvier
1869 -
Un accident. -
Le 11 de ce mois, la demoiselle Caroline Devinas, demeurant à
Bures, après avoir mesuré des pommes dans un demi-hectolitre en bois, se
rendit au bord de la Dives, afin de nettoyer cette mesure. Comme
elle se livrait à ce travail, elle glissa et tomba dans la rivière. Elle
fut entraînée l'espace de 50 mètres par le courant, qui est très
rapide à l'endroit où elle s'était placée. Aux cris que poussa l'infortunée, et qui furent entendus, la dame Édouard Labey, de Bures, aidée de deux hommes qu'elle pria de l'accompagner, coururent à son secours. Ces personnes retirèrent la fille Devinas de sa position dangereuse. Sans leur secours inespéré, elle se serait infailliblement noyée.
Juillet 1869 - Fait divers. - Il y a environ deux mois, un propriétaire de la commune de Bures se rendit chez le sieur X..., débitant de la localité, pour y faire de la consommation. Ne trouvant personne à la maison, il profita de cette occasion favorable pour s'emparer d'une petite montre en or, qui était accrochée à un meuble, à côté d'une grosse montre en argent qu'il jugea à propos de respecter. Quand le propriétaire de la montre s'aperçut de sa disparition, il ne sut qui accuser d'en être l'auteur. Il y à environ trois semaines, ayant eu connaissance que le
propriétaire dont il s'agit en avait une semblable, le sieur X... en
informa les gendarmes à la résidence de Troarn. Ces militaires se
rendirent chez ce propriétaire et l'interrogèrent sur la provenance de
la montre qu'il avait en sa possession. Pris ainsi à l'improviste,
celui-ci balbutia et déclara qu'il l'avait trouvée à un endroit, désigné
sous le nom de Pont-des-Terres, situé à un kilomètre de Bures. Comme sa
réponse ne parut pas satisfaisante, procès-verbal a été dressé.
Octobre
1871 - Fait divers.
- Dimanche
matin, on a retiré de la Dives, au pont de Bures, le corps d'un homme qui
a été reconnu pour être celui du sieur Pautonnier, cantonnier,
demeurant à Janville, hameau de la Ramée. On présume que cette
mort est le résultat d'un accident.
Mars 1872 - Le gel. - Les désastres occasionnés par les gelées des nuits dernières sont plus graves qu'on ne je suppose généralement. Les lettres que nous recevons de divers points de la Normandie sont unanimes pour le reconnaître.
Mars 1872
- Les quêtes . -
Les dames quêteuses poursuivent
sans relâche, dans notre département, leur oeuvre de dévouement pour
l'affranchissement du territoire. Citons, entre mille, les trois faits suivants : A
Bures, le sieur X….. pour toute offrande, s'est contenté de répondre
aux quêteuses : Je n'ai pas perdu la France ; qu'ceux qui l'ont mise dans
l’état où elle est, là r'lèvent... Quant aux Prussiens, y n'me gênent
brin où y sont, qui z'y restent. » Un
gros et gras marchand de gigots d'Aunay a pris un autre prétexte pour ne
pas délier les cordons de sa bourse. Il a prétendu « qu’l’impôt su l’café et l'iau-de-vie
était monté trop hât »
— Qu’vo êtes, donc b...onnes ; vo n'veyez pas que j'viens de me fi…che un coup de martieau sur le daigt….
Mars 1873 - Tirage au sort. - On procède en ce moment au Tirage au sort. Malgré l’établissement du, service militaire obligatoire, ce tirage à été maintenu. Il a, du reste, une certaine importance, les jeunes gens qui tireront les numéros les plus élevés ne feront qu'une année de service, où même six mois, s'ils passent avec succès, au corps leurs examens. Les jeunes gens qui tireront les numéros les plus bas, 1, 2, 3, etc……, jusqu'à un chiffre que le ministre à la guerre fixera suivant le nombre de soldats dont il aura besoin chaque année, feront cinq ans de service.
Avril 1873 - Pêche miraculeuse. - La pêche du maquereau est miraculeuse en ce moment sur nos côtés de Normandie. Cinq bateaux sont entrés, rapportent 105 800 Maquereaux, 9 700 avaient été salés en route.
Mai 1873 - Les Événements. - Samedi soir, M. THIERS a donné sa démission, de Président de la République française. Il a été remplacé par le maréchal DE MAC-MAHON, duc DE MAGENTA. Le maréchal-Président est âgé de 65 ans.
Mai
1873
-
Incendie. -
Dimanche dernier, un incendie a éclaté à Bures, au domicile
du sieur Arsène Foison, et c'est propagé, en un clin d’œil, aux
autres maisons voisines appartenant aux sieurs Abel Foison, père du précédent,
Manuel Samson, et à la femme César Mazeline. Tous ces bâtiments étaient
contigus, construits en torchis et couverts en paille et roseaux, ils sont
devenus promptement la proie des flammes, ainsi qu'une bonne partie du
mobilier qui les garnissait. La perte immobilière est évaluée
approximativement à 10 000 fr. et la perte mobilière a 4 000 fr. Il n'y
avait que la maison et le mobilier d'Arsène Foison d'assurés. Cet
incendie est dû à l'imprudence de ce dernier. Le sieur Foison, après s'être
servi d'un torchon auquel le feu s'était communiqué, sans qu'il s'en
aperçût, l'avait accroché, suivant son habitude, à l'entrée de sa
maison, en dehors, contre le mur, et
Mai
1873
- Accident. -
Jeudi, dans l'après-midi, la
demoiselle Bertrand, demeurant à Bures, s'en alla laver son linge à la
Dives, et tomba dans la rivière, très profonde en cet endroit. La
demoiselle Léa Binet, dit Audrieu, témoin de sa chute, courut à son
secours et fut assez heureuse de la retirer.
Sans ce secours inespéré, la demoiselle Bertrand aurait péri
infailliblement, attendu que le courant l'entraînait.
Septembre
1873
-
Accident.
- Vendredi
dernier, le sieur Morand, âgé de 18 ans, demeurant à Bures, chez sa mère,
après avoir travaillé à son champ situé près de Troarn, se disposait,
vers onze heures du matin, à retourner chez lui. Étant monté sur le
devant de sa voiture, il fouetta ses chevaux pour les mettre en mouvement,
celui de devant partit à fond de train, sa course rapide fit tomber le
cheval de limon qui fut traîné pendant quelques instants et qui est
blessé au point qu'on sera obligé de l'abattre. Pendant cette course
effrénée, Morand fut précipité sur le sol et dans cette chute, il a eu
une cuisse cassée.
Juillet 1874 - Une révolution. - Des faits d'une brutalité inouïe se sont passés à Bures, le 19 de ce mois, à l'occasion de l'élection de deux conseillers municipaux. La commune étant, depuis longtemps, divisée en deux partis acharnés l'un contre l'autre, pour des motifs dont nous n'avons pas à nous occuper, chacun d'eux avait cherché, par tous moyens, a faire, passer les candidats de son choix, un seul réussît a faire nommer ses deux candidats. Ce succès, mit en fureur le parti vaincu, lequel proféra des menaces contre ses adversaires et ne tarda pas à les mettre à exécution. Plusieurs forcenés s'étant armés de bâtons, frappèrent avec fureur plusieurs personnes inoffensives, les sieurs Lequest fils, et Auguste-César Audrieu furent attaqués si violemment que leur vie a été un moment en danger. Depuis le dépouillement du scrutin, qui eut lieu vers 7 heures du soir, jusqu'à près de minuit, la commune de Bures fut sous l'impression d'une profonde terreur, les hommes et les femmes du parti vaincu, celles-ci en majorité, armées de bâtons, parcouraient la commune en proférant des menaces de mort contre ceux qui n'étaient pas de leur parti, personne n'osait sortir de chez soi, dans la crainte d'être assailli à coups de bâton. La
commune de Bures n'ayant pas de maire, l'adjoint, témoin du désordre,
n'a fait aucune tentative pour contenir les perturbateurs, il n'a donné
aucun ordre au garde champêtre pour faire cesser cette scène sauvage.
Les gendarmes, à la résidence de Troarn, ayant été informés de ce
fait scandaleux, se sont rendus sur les lieux et ont ouvert une enquête
à
Juillet 1874 - La canicule. - Le 24 juillet, a commencé la canicule, qui finira le 26 du mois prochain. Beaucoup de personnes croient que ce temps correspond aux plus fortes chaleurs de l’année. Nous en avons la preuve contraire cette année.
Juillet 1874 - Le réchauffement climatique. - La comète n'est pas étrangère aux grandes chaleurs que nous subissons. En 1811, une comète fut visible, et les chaleurs et la sécheresse furent telles qu'un grand nombre de rivière tarirent, en 1846, nouvelle comète, nouvelle sécheresse, l'eau devint tellement rare dans certains endroits que des bestiaux périrent de soif. En 1811 comme en 1846, le vin fut abondant et d'une qualité supérieure, on espère qu'il en sera de même en 1874, aussi les cours des vins sont-ils en baisse de 10 fr. par hectolitre. A Marseille, le thermomètre a marqué, à l'ombre, 40 degrés, à Paris, au soleil, 44 degrés. De nombreux cas d'insolation sont signalés.
Juin 1875
- Mauvaise action. -
Dernièrement, un malfaiteur, resté
inconnu, s'est introduit dans un pré, situé à Bures, appartenant au
sieur Saint-Bonnet, chaudronnier à Troarn, et a cassé entièrement les
greffes de plusieurs pommiers. Précédemment, un semblable fait a été
commis, à plusieurs reprises, dans la même pièce, dans laquelle on
introduit nuitamment des bestiaux pour dépouiller l'herbe au préjudice
du propriétaire.
Octobre 1875 - La vie. - On a fait un curieux travail sur la longévité comparée de nos départements. Il en résulte que le nombre annuel de décès, à l'âge de 100 ans et au-dessus, est en France de 148. Les départements qui se distinguent par la durée de la vie, sont les suivants : Calvados, Orne, Eure, Eure-et-Loir, Sarthe, Lot-et-Garonne, Deux-Sèvres, lndre-et-Loire, Basses-Pyrénées, Maine-et-Loire, Ardennes, Gers, Hautes-Pyrénées et Haute-Garonne.
Octobre
1875
-
Accident par la foudre. -
Pendant la nuit
orageuse de mardi à mercredi, le tonnerre est tombé dans la commune de
Bures, sur un peuplier situé près de la
Juillet 1897 - Viandes corrompues. - Constant Hamel, équarrisseur à Bures,; Agénor Desbois, garçon boucher, et Jules-Désiré Leclerc, tueur de porcs aux abattoirs de Caen, Pierre Boissais, meunier à Bretteville-sur-Odon, ont comparu mercredi dernier en police correctionnelle. — Voici, les faits l'équarrisseur Hamel avait acheté 12 fr., à M. Deloges, ancien député, un bœuf tombé accidentellement dans un fossé. Hamel en remit les pieds à Leclerc pour en faire ce qu'il voudrait, mais ils furent saisis aux abattoirs, en outre, ledit Hamel avait reçu du sieur Longuet, cultivateur à Robehomme, un jeune veau malade dont il ne trouva pas à se débarrasser. Quant au meunier Boissais, il avait une vache malade, Dubois l'acheva et l'arrangea pour être expédiée aux Halles, à Paris. On la retourna à l'expéditeur, quant aux tripes, elles furent saisies aux abattoirs. — Hamel et Desbois ont été condamnés à deux mois de prison ; Leclerc et Boissais à un mois, non pas pour avoir vendu de la viande mauvaise, mais pour avoir livré, préparé ou accepté, en vue de la vendre, de la viande saisie comme impropre à la consommation. Parmi les témoins se trouvait M. Leblanc, tripier aux abattoirs, dont nos lecteurs se rappellent la lettre de protestation. Il a reconnu avoir acheté des tripes dont il ignorait la provenance, sur ce, le président lui a fait remarquer « qu'il n'était pas trop délicat ». Le
5 août, viendront les autres affaires de viandes corrompues, qui sont à
l'instruction depuis plusieurs mois. (source
B.N.)
Novembre
1897 -
Gaminerie
coupable. -
Au passage
d'un train à Bures, près Troarn, les jeunes Georges Marie, 6 ans ½ ;
Joseph et Victor Devinast, 13 et 12 ans, se sont amusés à jeter des
pierres sur un wagon dont ils ont brisé une des vitres.
(Source B.-N.)
Avril
1899 - Saisie d'eau-de-vie de cidre.
- Les gendarmes se trouvant en service dans la commune
de Bures le 9
avril, virent venir vers eux un individu qui, en les apercevant, Procès-verbal
a été dressé contre Saillant, il aurait mieux fait de payer les droits
de régie.
Juillet 1912 - Victime des Élections - Le 12 mai, au retour des élections municipales, plusieurs personnes commentaient avec vivacité les événements devant le débit Coutances, à Bures. Un nommé Lechevalier eut l'imprudence d'aller se mêler à la conversation sans y être évité. Cela eut le Don d'impatienter Justin Claus, 28 ans, né à Courseulles, ouvrier d'usine à Dives. Il flanqua une formidable raclée à Lechevalier qui en est à peine remis les en porte encore les traces. Claus s'en tire avec un mois de prison et comme il n'a pas d'antécédents, il bénéficie du sursis.
Septembre
1916 -
Un hameau ravagé par l’incendie. -
Sur sept
habitations que comptait le hameau du Bosq, commune de Bures, près
Troarn, un violent incendie en a détruit complètement trois. Les bâtiments
d'exploitation de deux autres ont été aussi entièrement consumés. Les
époux Manvieu, âgés de 74 ans, ont péri dans les flammes. Les dégâts
s'élèvent à 100 000 francs. Le sinistre est dû à l’imprudence d'un
enfant de six ans, le jeune Georges Lenoble, qui jeta une allumette
enflammée sur du foin se trouvant dans la charretterie des époux Manvieu.
Janvier
1929 - Nos monuments
historiques. - Sont
classés comme
monuments historiques : à Blangy-le-château, la façade
et la toiture de l'ancienne auberge du Coq-Hardi ; à Bures, le manoir
de Tourpes ; à Canapville, la façade et la toiture du bâtiment
principal et le bâtiment en retour du manoir de Canapville ; à
Cambremer, le manoir du Bois de Bais ; à Notre-Dame-d'Estrées, le manoir
de la Planche.
Janvier
1931 -
les aides aux jeunes filles. -
Dots attribuées en 1930 aux jeunes filles de familles nombreuses.
La Commission départementale, chargée de l’attribution des dots y
Bures.
— Mlle Belliot Raymonde, âgée de 19 ans, appartient à une famille de
7 enfants vivants. La postulante est restée à la maison paternelle pour
aider à élever ses 4 frères plus jeunes. Le père de Mlle Belliot,
mobilisé pendant toute la durée des hostilités, est cantonnier du
Syndicat des Marais de la Dives. Les époux Belliot, jouissent de la
considération
publique. L'intéressée a contracté mariage, le 26 avril
1930, avec M. Boissard Marcel, ouvrier jardinier.
Janvier 1937 - Un accident à Bures. - Au début de la matinée, au carrefour du lavoir, à l'intersection du chemin de G. C. 95 et du chemin vicinal conduisant à la gare de Bures, un camion automobile de la Fromagerie Lepetit, de Cléville, piloté par le chauffeur Marcel Léon, 25 ans, qui roulait à vive allure, est entré en collision avec un cycliste, M. Albert Paysant, 53 ans, domestique au service de M. Gibrat, propriétaire à Bures. Dans
l'accident, M. Paysant a été blessé à la tête et à la jambe gauche.
(source le M. du C.)
Février 1940 - En défaut. - Pour avoir omis de faire renouveler sa carte de circulation, le belge Nicolas Muller, ouvrier agricole chez M. Deheegher, entrepreneur à Bures, a fait l'objet d'un procès-verbal.
Mai
1940 - A
quoi mène
l'espionnite.
- Dans
la soirée
d'hier, le
nommé Henri
Giffard, 52
ans, cultivateur
et conseiller
municipal, étant
fortement
pris de
boisson et,
par suite,
très surexcité,
menaçait les
personnes qu'il
rencontrait, du
fusil qu'il
tenait à la
main.
Décembre
1941
- Délimitation
de la région « Pays d'Auge ». - Elle comprend
pour le Calvados : a) Arrondissement de Lisieux (en entier, sauf
Thiéville) : b) Arrondissement de Pont-l'Evêque (en
entier) ; c) Les communes suivantes du canton de Troarn :
Amfréville, Argences, Bavent, Bréville, Bures, Cabourg.
Canteloup, Cléville, Janville, Merville, Petiville, Robehomme,
St-Ouen-du-Mesnil-Oger, Sallenelles, St-Pierre-de-Jonquet, St-Pair,
Troarn, Varaville ; d) Les communes suivantes du canton de
Bourguébus : Airan, Cesny-aux-Vignes, Moult : e) Les
communes du canton de Morteaux-Coulibœuf : Baron, Courcy, Louvagny,
Moutiers-en-Auge, Norrey-en-Auge.
Décembre
1943
- Modification
de nom. - Désormais,
la commune de Bures, canton de Troarn, porte le nom de Bures-sur-Dives. |
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SCENES DE LA VIE NORMANDE - Après la traite |
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