UN
SIÈCLE D’HISTOIRE DU CALVADOS |
1 |
||
![]() |
HERMIVAL - les - VAUX |
|
|
Canton de Lisieux |
|||
![]() |
|
||
|
|||
Mars 1853 - Police correctionnelle. - Dans son audience du 1er mars, le tribunal correctionnel de Lisieux a condamné, à trois mois de prison et 50 fr. d'amende, pour vente de marchandise corrompue, une femme de la commune d'Hermival. —
Par jugement du tribunal correctionnel de Bayeux, du 9 courant, un
individu de Crouay, a été condamné à 6 mois de prison, a l'affiche
du jugement dans tous les marchés de l'arrondissement de Bayeux, et à
l'insertion dans les deux journaux de cette localité, pour avoir, à
différentes reprises, vendu de la viande à faux poids. (Source :
Le Journal de Honfleur)
Septembre 1873 - Empoisonnement d’animaux. - Depuis quelques jours, sept chiens ont été empoisonnés dans la campagne le Lisieux, aux environs d'Hermival. On ne sait encore s'il faut attribuer ces empoisonnements à la malveillance, ou si l'on doit croire que des boulettes, jetées dans les fourrés pour la destruction des animaux nuisibles, ont été la cause de ces accidents. Une enquête se poursuit pour en découvrir les auteurs.
Janvier
1879 -
Appropriations et réparations en 1878.
-
85 locaux,
appartenant à
73 communes,
ont été appropriés ou
réparés dans le
Calvados -
Arrondissement
de Lisieux :
Hermival, école
de garçons ; L'Hôtellerie,
école mixte ;
Marolles, école de garçons ;
Lisieux, école
de garçons ;
Saint-Désir, école de garçons ;
Saint-Germain-de-Livet, école
mixte ; Saint-Jacques,
école de
garçons ; Mesnil-Eudes, école mixte ; Saint-Pierre-des-Ifs,
école mixte,
etc....
Janvier 1881 - L’eau, la neige, le froid. - Pour la troisième fois depuis cinq mois, la commune de Louvigny a été inondée. Jamais la crue ne s'était élevée si haut. A Lisieux l'inondation, plus partielle, plus circonscrite que les précédentes, envahissait cependant des vendredi le quartier des Blanches-Portes, la route de Livarot sur une longueur de 100 à 150 mètres, une partie de la prairie Fleuriot, rues Bocage, des Deux-Sœurs, etc…. et 60 à 80 mètres du boulevard des Bains, où les rivières se confondaient. La Pasquine, débordée sur la route de Cormeilles, interrompait à Hermival la circulation.
Décembre
1883 -
Un curé mal endurant. –
Une enquête a
été ouverte pour l'établissement d'un champ de tir destiné à la
garnison de Lisieux. Plusieurs des affiches annonçant cette enquête
ayant été lacérées, notamment celle apposée à la porte de
l'église d'Hermival, l'administration ordonna une nouvelle publication.
Dans l'intervalle, une Le maire résolut alors de les apposer lui-même. A cet effet, il se rendit un matin à l'église, accompagné du garde champêtre, colla l'affiche et se retira en se dissimulant derrière des arbres voisins. Au bout de quelques instants, il vit arriver le curé qui, réalisant la menace de la lettre anonyme, enleva l'affiché. Le maire, ceint de son écharpe, sortit immédiatement de sa cachette et déclara procès-verbal au délinquant qui nie énergiquement avoir écrit la lettre anonyme.
Août
1885 -
Sanglier et belette. -
Les
sangliers continuent de fréquenter les environs de Lisieux, les
dégâts qu'ils commettent sont considérables. Il y a quelque temps, le
lieutenant de louveterie, vivement sollicité, consentit à faire une
battue de 2 à 5 heures d'après-midi, sur la commune de Roques. La
portion du bois appartenant à M. Descours fut respectée, car ce brave
propriétaire avait écrit au lieutenant de louveterie qu'aucune trace
n'avait été aperçue chez lui, aussi, la battue fut infructueuse et
les bêtes dormirent sans, inquiétude dans leur bauge. Dernièrement,
nouvelle sortie à Hermival. Après quelques heures d'attente, un
coup de fusil retentit. On fait sonner la curée. O déception !
l'animal tué était simplement une petite belette. Cette institution d'un lieutenant de louveterie, ainsi comprise, n'est-elle pas une amère ironie jetée à la face des propriétaires qui voient les sangliers par bandes de 12 à 15 fouiller leur terrain et dévaster leurs récoltes ? et le préfet ne pourrait-il pas autoriser des battues privées pour mettre fin à une situation aussi préjudiciable ?
Juin 1887 - Les fortes chaleurs. - Les fortes chaleurs que nous subissons ne sont rien auprès de celles que nos pères eurent à supporter. Ainsi, en 1803, la Normandie vit s'écouler une période de quatre-vingt-quinze jours sans pluie. En 1811, année de la fameuse comète, les rivières tarirent dans plusieurs départements. En 1844, nouvelles chaleurs, le thermomètre resta stationnaire entre 50 et 60 degrés. Dans quelques départements, les bestiaux périrent faute d'eau. En 1859, 1860, 1869 et 1874, le thermomètre monta à 38 degrés. L'année dernière, il y eut 20 degrés au mois d'octobre, température exceptionnelle pour la saison.
Juillet
1887 -
Phénomène.
-
Un veau
phénoménal est né chez le sieur Fontaine, cultivateur à Hermival. Il
a la tête, les pattes et la queue d'un dogue et appartient aux deux,
sexes. Le vétérinaire, M. Vernet, nous dit qu'il est très vivace et
qu'il vivra. La mère de cet intéressant sujet a probablement été
effrayée, ou poursuivie, pendant les premiers temps de sa
gestation, par quelque
Décembre
1887 -
Meurtre.
-
Samedi
dernier, à Hermival, commune voisine de Lisieux, il s'est passé un
acte de sauvagerie des plus révoltants. Les époux Lelièvre,
cultivateurs, avaient à
leur service un journalier
appelé Olivier, qui battait à la grange, ils avaient aussi embauché
pour quelques jours Cochin, jeune soldat du pays, en congé de trois
mois. Pendant que les époux Lelièvre étaient au marché de Lisieux,
Cochin offrit à Olivier un verre de poiré que celui-ci accepta, puis
il lui demanda d'aller chercher de l'eau-de-vie, et, comme, Olivier s'y
refusait, il lui asséna sur le côté de la tête un coup de bouteille
qui l’étendit par terre, puis, se servant du fléau, il lui brisa
toutes les côtes du côté gauche. Le malheureux journalier a
été transporté à son domicile où il n'a pas tardé à rendre le
dernier soupir. Le meurtrier a été arrêté.
Février
1891 -
Drame de la folie. -
Il
y a quelques semaines, le sieur Préaux, propriétaire et conseiller
municipal à Hermival-les-Vaux, atteint d'aliénation mentale à la
suite de chagrins de famille, était interné à l'hospice de Lisieux.
Dernièrement, sa mère vint le chercher, malgré l'avis de quelques
personnes qui lui faisaient remarquer que la guérison n'était
peut-être pas complète, rentrèrent tous les deux à Hermival. Le lendemain matin, une discussion s'éleva entre eux. Préaux, qui faisait quelque travail à son horloge, saisit un poids d'horloge et le lança à la tète de sa mère, celle-ci, atteinte, tomba, Préaux se rendit alors chez un voisin, le sieur Bordel, et dit simplement : « Je viens de tuer ma mère. » Justement effrayé, le sieur Bordel engagea Préaux à aller avertir le maire et se rendit auprès de la victime, à qui on donna les premiers soins, la malheureuse femme était étendue évanouie, elle avait un caillot de sang à l'oreille et l'écume à la bouche. Elle a reçu lundi les derniers sacrements. Préaux a été reconduit à l'hospice.
Avril
1891 -
Voleurs d’église. -
Des malfaiteurs inconnus ont pénétré la nuit dans l'église d'Hermival,
en fracturant une porte latérale. Ils ont brisé le tronc de la Vierge
dans lequel ils ont trouvé peu de chose. Un autre tronc a résisté à
leurs efforts. Ces voleurs ne sont pas des gens du pays, car ils n'ont
pas aperçu le tronc de la charité qui pouvait contenir 80 à 90 fr.
Septembre
1891 -
Les voleurs de bestiaux. -
On
a volé dans un herbage,
à Hermival-les-Vaux, un bœuf et un génisson de 18 mois,
appartenant au sieur Eugène Mainfroy, propriétaire.
—
Une génisse de 350 fr., qui était au piquet dans une pièce de
trèfle, a été volée, la nuit, au sieur Rysel, cultivateur à Trungy,
arrondissement de Bayeux. —
La nuit suivante, une vache, appartenant au sieur Varin,
cultivateur à Ellon, canton de Balleroy, a été volée dans un pré. —
Frédéric Hilaire, journalier à Vire, a été arrêté à
Torigni, au moment où il venait de vendre une vache qu'il avait volée.
L'acquéreur, M. Lebis, propriétaire à Giéville, n'avait pas encore
payé, ayant à faire la monnaie d'un billet de 1 000 fr. C'est grâce
à une dépêche arrivée de Vire que le voleur a été arrêté. Il a
tout avoué et a été conduit par les gendarmes de Torigni
à la prison de Saint-Lô. La vache volée appartenait à M.
Delahaye, propriétaire à Coulonces, à qui elle a été remise.
Novembre 1891 - Mort accidentelle. - Vendredi, un sergent-major du 119e, M. Joseph, avait quitté un instant la colonne qui se rendait au champ de manœuvres. S'est-il reposé sur l'herbe et s'y est-il endormi jusqu'à la nuit, c'est ce qu'on a tout lieu de supposer, puis, trompé par l'obscurité, en voulant retrouver sa route, il sera tombé dans la mare d'Hermival-les-Vaux, où on l'a découvert. Le sergent-major Joseph était rengagé, c'était un soldat modèle. (Source : Le Bonhomme Normand)
Décembre 1893 - Jeune fille noyée. - Vendredi, Marie Duchesne, 18 ans, demeurant avec sa mère à Hermival-Ies-Vaux, à été trouvée noyée dans la mare de la propriété qu'elles habitent sur la route de Lisieux à Aiziers. La malheureuse avait les bras retroussés jusqu'aux coudes et tenait encore à la main un morceau de linge. On suppose que la jeune fille, qui était à laver, a dû tomber dans la mare en se baissant pour atteindre la surface de l'eau qui était de 35 centimètres au-dessous du niveau du lavoir. (Source : Le Bonhomme Normand)
Janvier 1894 - Les morts de froid. - La température glaciale que nous avons ressentie dans notre région est commune non seulement à la France, mais à tous les pays étrangers. — Jeudi dernier, on a découvert sur la route de Paris, près Caen, le corps glacé d'un vieux mendiant qui, pendant la nuit, est tombé en chemin frappé par le froid. Il avait les mains ensanglantées, plusieurs branches de la haie ayant été cassées, il est présumable que, pendant les convulsions de l'agonie, ce malheureux se sera débattu et aura pris ce qui se trouvait à sa portée.
— Dans l'Orne, il y a eu plusieurs décès causés par le froid. Anatole Noël, 31 ans, célibataire, journalier au Plantis, étant pris de boisson, le froid l'a saisi, il est mort. — Le nommé Lecoq, 64 ans, a été troué mort de froid sur la route de Tinchebray. — François Levannier, 47 ans, journalier à Céaucé, avait quitté son domicile pour aller souhaiter la bonne année à plusieurs voisins. On l'a trouvé mort de froid dans un champ. — Le nommé Dubois, 60 ans, vivant de mendicité, est mort de froid dans l'écurie de la ferme de Basse-Passière, à Préaux, où on lui avait donné l'hospitalité pour passer la nuit. (Source : Le Bonhomme Normand)
Juin 1894 - Cyclone. - Jeudi, une trombe, qui semble avoir pris naissance dans la vallée d'Hermival, a dévasté les communes d'Hermival et d'Ouilly-du-Houlley. En quelques minutes, plus de 300 pommiers ont été arrachés. Plusieurs bâtiments ont été, détruits en partie. Les pertes sont énormes. (Source : Le Bonhomme Normand)
Mai 1895 - Les hannetons. - Le conseil général du Calvados a décidé d'accorder des primes de dix centimes par kilogramme de hannetons ramassés dans le département pour être détruits. Ces hannetons devront être apportés à la personne déléguée par le maire, pour être détruits. (Source : Le Bonhomme Normand)
Mai 1895 - Fuyez les arbres pendant l’orage. - Nous sommes menacés d'orages. Nous ne saurions trop recommander à nos lecteurs de ne jamais se mettre à l'abri sous les arbres pendant la tourmente. Quatre malheureux ont été victimes de cette imprudence la semaine dernière. Deux à Chaudoir et deux à Chambles. (Source : Le Bonhomme Normand)
Juin
1895 - Mauvais fils. - Alfred
Montfrey a 20 ans. Depuis
longtemps, il maltraite son père, qui habite Hermival. Il donne pour
excuse que son père l'a toujours maltraité et
Mars 1896 - Découvertes de cadavres. - On a retiré de l'entrée du port de Honfleur le cadavre d'un inconnu qui devait être noyé depuis quatre mois. Aucune trace de violences n'a été relevée sur le cadavre. — On a retiré de la rivière, à Hermival, le cadavre de la femme Lavigne, 63 ans, journalière à Lisieux, où elle était connue sous le nom de Chicopette. La mort semble purement accidentelle. — Delphine Grieu, femme Harel, 68 ans, nourrice, a été trouvée noyée dans une mare, au Pin, où elle s'était jetée. (Source : Le Bonhomme Normand)
Juin 1896 - Vols d’animaux. - A Blonville, près Trouville, un cheval a été dérobé au sieur Mabire, jardinier. — La veuve Lecoq, débitante à Beaufour, accuse son fils Albert, marchand de poisson, de lui avoir détourné une vache. — Un cheval a été dérobé au sieur Célestin Lafosse, cultivateur à Hermival-les-Vaux. — Une jument a été volée au sieur Paul Cuiller, à Goustranville. (Source : Le Bonhomme Normand)
Juillet
1896 -
Enfants disparus. - Deux
jeunes enfants, un petit garçon et une petite fille, de 8 et 9 ans,
nommés Louis et Berthe Toutain, ont disparu le soir du domicile de leur
nourrice, à Hermival-les-Vaux, et, malgré toutes les recherches
entreprises, sont restés introuvables. (Source : Le Bonhomme
Normand)
Septembre 1896 - Triste accident. - La semaine dernière, le sieur Eugène Mayeux, 21 ans, domestique à Hermival-les-Vaux, près Lisieux, conduisait une voiture. Ayant voulu descendre pendant que la voiture était en marche, il a eu la poitrine prise entre la roue du véhicule et un arbre qu'il croyait pouvoir éviter. L'état de ce malheureux est désespéré. (Source : Le Bonhomme Normand)
Octobre
1898 -
Grave accident de bicyclette.
- Le
sieur Lebourgeois, marchand de bestiaux à Moyaux, prés Lisieux,
rentrait chez lui à bicyclette, lorsque sur la route
Octobre 1898 - Mort des suites d’un accident de bicyclette. - Nous avons mentionné, dans notre dernier numéro, la chute terrible, à quelques mètres du calvaire d'Herminal-les-Vaux, du sieur Lebourgeois, 28 ans, propriétaire et marchand de bestiaux à Moyaux, par suite de la crevaison du caoutchouc creux de sa bicyclette. Le malheureux était mortellement atteint, il a succombé, le lendemain, à l'hospice de Lisieux, où on l'avait transporté. Est-il vrai que deux cantonniers des environs, les nommés Payet et Riquier, passant par là peu de temps après l'accident, après avoir reconnu le blessé, auraient poursuivi leur chemin sans autrement s'occuper de lui et se seraient contentés de prévenir, à Moyaux, quelqu'un de la famille. (Source : Le Bonhomme Normand)
Septembre 1899 - Suicide. - On a trouvé dans la rivière, à Hermival-les-Vaux, le cadavre de la dame Fayau, 31 ans, quincaillière à Lisieux. La malheureuse femme, disparue depuis vendredi, s'est noyée volontairement. On attribue ce suicide à des dérangements cérébraux causés par la perte d'un enfant. (Source : Le Bonhomme Normand)
Novembre 1900 - Un pauvre fou. - Alcide Atrel, 24 ans, né à Ecouché (Orne), entrait dimanche matin chez les époux Paul Jean, cultivateurs à Hermival, près Lisieux, et prit place à leurs côtés en disant qu'il était chez lui. On voulut le chasser, mais il résista, mit les époux Paul Jean à la porte, se barricada et monta au grenier pour y faire un lit et se coucher. S'étant mis à la fenêtre, Paul Jean lui tira un coup de fusil qui lui brisa une épaule. Épuisé par la perte du sang, Atrel fut emmené et enfermé en attendant l'arrivée des gendarmes qui l'ont fait transporter à l'hôpital de Lisieux dans un état des plus g raves. Le malheureux porte sur le corps les marques de coups de bâton qu'il a dù recevoir de personnes qui, comme Paul Jean, ne se sont pas. aperçus qu'il était fou, c'était cependant facile à voir, Paul Jean pourrait bien ètre poursuivi pour coups. (Source : Le Bonhomme Normand)
Cet individu, qui a déjà eu des démêlés avec la justice, a été arrêté et écroué à la prison de Lisieux. (Source : Le Bonhomme Normand)
Février 1901 - Coups de serpe conjugaux. - Après une trentaine d'années de ménage, les époux Victor Louvel, dépassant aujourd'hui la cinquantaine, ont demandé leur divorce. Un jour, le sieur Louvel vint forcer la barrière de la maison habitée par sa femme à Hermival-les-Vaux. Madame Victor, croyant sans doute que c'était pour se rapprocher d'elle, s’arma d'une serpe et en porta trois coups dans une direction qui ferait supposer qu'elle voulait à tout jamais en enlever le désir à son mari. Mais elle manqua son coup et le pauvre homme s'en est tiré légèrement blessé, mais heureusement, pas mutilé. Du
reste, madame Victor se trompait : ce n'était pas pour se rapprocher
d'elle que son mari avait forcé la barrière, mais pour enlever une
vache et s'en faire de la monnaie. La femme Victor n'a été condamnée
qu'à six jours par le tribunal de Lisieux.
(Source : Le Bonhomme Normand)
Mars
1901 -
Découvertes de cadavres. -
Le
corps du sieur Émile Prévost, 45 ans, a été trouvé dans une mare,
à Hermival-les-Vaux, près Lisieux. Comme il s'adonnait à la boisson,
sa chute à l'eau est attribuée à son état d'ivresse. Depuis six
semaines, il était occupé chez le sieur Herrier, cultivateur, il
était venu de Genneville, près Honfleur. —
Le cadavre du sieur Albert Lemoigne, 32 ans, demeurant depuis quelques
jours chez ses parents, à Crouay, et précédemment cultivateur à
Saint-Vigor-le-Grand, a été, trouvé, lundi matin, sur la route de
Cherbourg, entre Tour et Mosles. Lemoigne
avait été saisi dernièrement et se trouvait en instance de divorce.
Sa mort est attribuée à une congestion occasionnée par le froid. Dimanche
soir, on avait vu le malheureux errant à l'aventure, les yeux hagards
et prononçant des paroles incohérentes, ce qui fit croire qu'il était
ivre. Mais i! est probable que, brisé par la fatigue, Lemoigne est
tombé et n'a pu se relever. (Source : Le Bonhomme Normand)
Juillet 1901 - Grave accident. – Le sieur Adolphe Aunay, 32 ans, cafetier à Hermival-les-Vaux, revenait de Moyaux, monté sur une voiture chargée de trèfle. S'étant imprudemment penché pour reprendre ses guides ou pour rattraper son fouet qui tombait, les bottes glissèrent et le malheureux Aunay tomba sur la tête, se brisant la colonne vertébrale. Son état est désespéré. (Source : Le Bonhomme Normand)
Juillet
1901 - Mort des suites de ses blessures. - Nous
avons annoncé, dans notre dernier numéro, que le sieur Adolphe Aunay,
33 ans, cafetier à Hermival-les-Vaux, près Lisieux, s'était brisé la
colonne vertébrale en tombant du haut d'une voiture de fourrage qu'il
revenait de chercher à Moyaux. Le malheureux a succombé à ses
blessures. (Source : Le Bonhomme Normand)
Juillet 1901 - Disparition d’un facteur. - Le sieur Anthime Boussard, facteur rural à Lisieux, qui faisait la tournée d'Hermival-les-Vaux, est disparu depuis le 15 juillet. On a trouvé à son domicile un sac contenant encore plusieurs lettres. Il
avait touché, le jour même de sa disparition, quelques traites dont le
montant s'élevait à une centaine de francs. Entré depuis peu de jours
dans l'administration, Boussard
Novembre
1901 - Vache méchante. -
René Maillet, 16
ans, domestique chez le sieur Colard, propriétaire à Hermival-les-Vaux,
près Lisieux, venait de rentrer dans la cour de son patron, une tourte
de pain sur son épaule, lorsqu'une vache se mit à le poursuivre. Le
jeune homme essaya de fuir, mais, près d'être atteint par l'animal,
Maillet jeta sa tourte et se retourna pour saisir la vache par les
cornes, celle-ci le renversa et le piétina en lui faisant des blessures
graves qui ont nécessité son transport à l'hôpital de Lisieux.
(Source : Le Bonhomme Normand)
Avril 1902 - Nécrologie. - Lundi dernier, ont eu lieu, à Hermival-les-Vaux, les obsèques de M. Catherine, Maire de cette commune depuis 24 ans, et Conseiller Municipal depuis 42 ans. Dans l'assistance, on remarquait la présence de nombreuses notabilités. Au cimetière, deux discours ont été prononcés par M. Boivin-Champeaux, conseiller général et M. Bardel, adjoint.
Février 1903 - Fraude et faux témoignage. - Le sieur Isidore Grieu, 54 ans, cultivateur à Hermival-les-Vaux, et anciennement à Saint-Jacques, de Lisieux, avait été, condamné, le 31 octobre 1902, par Je tribunal 'correctionnel, de Lisieux à 5 000 fr. d'amende pour fraude aux droits de consommation d'un litre d'eau-de-vie qu'une femme Oblin, journalière, à Lisieux, avait acheté chez lui. Le
tribunal, sur opposition à ce jugement, l'a maintenu. Un des témoins
à décharge, la fille Rachel Deschamps, 18 ans, servante à Livarot,
qui avait été au service du sieur Grieu, a été condamnée à 2 mois
de prison pour faux témoignage au cours de cette affaire.
(Source : Le Bonhomme Normand)
Mai 1903 - Enfant brûlé vif. - La dame Levallois, cultivatrice à Hermival-- les-Vaux, près Lisieux, travaillait dans son jardin, ayant avec elle son petit-fils, âgé de 2 ans 1/2. Ce dernier, se plaignant tout à coup du froid, se rendit seul à la cuisine, malgré la défense de sa grand'mère, pour se réchauffer. Quelques instants plus tard, le feu se communiquait à la robe, du pauvre enfant qui poussa des cris déchirants. On lui porta secours, mais il expira quelques heures après. (Source : Le Bonhomme Normand)
Mai
1903 - Les pommiers. -
La température que nous subissons
depuis trop longtemps n'a pas, jusqu'à présent, causé de dégâts
trop sérieux aux pommiers, dont les
Juin 1903 - Morts accidentelles. - On a repêché d'une mare, au Gast, près St-Sever, le cadavre de la nommée Rosalie Foucher, célibataire, 76 ans. On croit à un accident, car cette femme avait la vue très faible. — Le sieur Benoît Corneville, 32 ans, journalier à Hermival-les-Vaux, près Lisieux, avait été blessé à une main d'un coup de fusil en tuant des rats. La blessure parut tout d'abord peu grave, mais, le tétanos s'étant déclaré, le malheureux est mort après d'atroces souffrances. — Lundi après midi, une barque de pêche montée par les sieurs Derelle, Morin et Madrainville, revenant de Trouville où ils étaient allés vendre du poisson, a chaviré tout à coup à l'embouchure de la Dives. Derelle et Morin parvinrent à gagner la rive, mais Madrainville coula à pic. (Source : Le Bonhomme Normand) Juin 1903 - Impôt sur le revenu. - Ce projet de loi a été déposé à la Chambre. Il se compose : 1° de la taxe personnelle portant sur le revenu provenant des loyers, des rentes, du commerce, du travail, des emplois et même des retraites. 2° de la taxe mobilière fixée d'après le loyer. — En ce qui concerne l'impôt sur le revenu, c'est le contrôleur qui l'estimera à charge par lui de prouver l'existence du revenu indiqué. Sont affranchis de l'impôt, ceux dont le revenu est inférieur à 500 fr., à 700 fr., à 900 fr., à 1 200 fr. et à 1 600 fr. selon l'importance de la population. A Caen, les personnes ayant un revenu inférieur à 1 600 fr. seront exonérées de l'impôt. (Source : Le Bonhomme Normand)
Octobre 1903 - Promenade en voiture. - Il faut se garder d'engager un domestique à la légère, M. Alexandre Leroy, cultivateur à Hermival-les-Vaux, près Lisieux, en sait quelque chose. Il avait pris à son service un nommé Rodolphe, se disait de St-Julien-de-Mailloc.
Décembre
1906 - Une fillette carbonisée.
- Un des enfants des époux Bocage, la petite Marcelle, âgés de
quatre ans, a été carbonisée complètement le 26 courant. Voici les
faits : le 26, le père de l'enfant, M. Arsène Bocage, 42 ans,
journalier, chantre à l'église d'Hermival-les-Vaux, était parti à 6
heures du matin pour sonner l'angélus. La femme était sortie depuis
5 heures pour traire les vaches chez un voisin M. Vasse. Vers
8 heures et demie, M. Bocage rentra chez lui et entendant les cris de
son fils, le petit Robert, âgé de deux ans, il prit l'escalier
conduisant dans la chambre du premier étage. Il
avait à peine gravi quelques marches qu'une fumée âcre le prit à la
gorge. Pressentant un malheur, il pénétra vivement dans la chambre et
trouva en travers de la porte de la pièce la petite
Marcelle, le corps carbonisé. Un médecin appelé aussitôt ne put que
constater le décès. L'enfant avait la déplorable habitude d'enflammer
des allumettes, et l'on pense avec juste raison que c'est en
s'amusant avec ces matières inflammables qu'elle trouva la mort. Le
père avait pris l'habitude de placer sous la tête de son lit une
boîte de tisons, l'enfant avait-il remarqué la cachette
peut-être ? Mais les allumettes étaient encore à leur place quand on commença l'enquête.
Avril
1907 - Incendie. -
Un
incendie a consumé sept hectares de petite arbres et de sapins
appartenant MM. Rousselet, maire de Firfol, près Lisieux ; de
Carvalay et Caron, propriétaires au même endroit. Le feu a été
courageusement combattu par les habitants de Firfol et d'Hermival-les-Vaux,
qui accoururent dès que l’alerte fut donnée. Les pertes sont assez
importantes et non couvertes par les assurances. (Source :
Le Moniteur du Calvados)
Juin
1919 -
Un
homme se suicide dans une brouette.
- On
a découvert le cadavre de M. Hondin. 55 ans, reposant dans une
brouette, un fusil entre les jambes. Les canons du fusil étaient à la
hauteur de la bouche. Le crâne avait été défoncé. M. Houdin
souffrait d'une affection du cœur et était atteint de paralysie du
bras droit.
Novembre 1920 - Une triste fin. - Des voisins, surpris de ne pas avoir vu depuis plusieurs jours le sieur Isidore Lerey, 73 ans, propriétaire à Hermival-Ies-Vaux, canton de Lisieux, se décidèrent à enfoncer la porte de son logement. Ils trouvèrent le malheureux vieillard étendu à terre, le visage rongé par les rats. (Source : Le Bonhomme Normand)
Novembre 1920 - Eau de la ville. - En raison de la sécheresse prolongé, il est recommandé de limiter la dépense d'eau au strict nécessaire et d'éviter tout gaspillage. (Source : Le Bonhomme Normand)
Août
1922 -
Un crime de l’alcool.
- Jules
Lecanu, 33 ans, domestique à Hermival-les-Vaux, canton de Lisieux,
étant ivre, est entré chez Mme veuve Courtonne, 85 ans. pour lui
demander de l'eau. Sans aucune raison, il l'a bousculée et jetée il à
terre. En tombant, la pauvre vieille s'est fait une fracture du col du
fémur gauche, Lecanu a été arrêté. (Source : Le Bonhomme
Normand)
Avril
1923 -
Médaille militaire. - Par
arrêté ministériel,
la médaille
militaire a
été attribuée
à la mémoire
du soldat
Fernand Leliévre,
du 36e
régiment d'infanterie,
Mort pour
la France,
avec la
citation suivante :
« Bon soldat,
courageux et
dévoué. Blessé
très grièvement
en faisant
son devoir.
Mort pour
la France
des suites
de ses
blessures le
30 mai 1915
(Croix de
guerre avec
étoile de
bronze ». Ce
brave était
le fil
de M.
et Mme
Lelièvre, cultivateurs
à Hermival.
Avril
1923 -
Élections municipales. -
Les
électeurs
d'Hermival-les-Vaux étaient
convoqués dimanche
à l'effet
d'élire cinq
conseillers municipaux
pour compléter
le Conseil.
Juillet
1924
- Coup de couteau. -
Les
époux
Bouillet
sont
en
instance
de
divorce,
et
depuis
le
11
mai
dernier,
la
femme
s'est
réfugiée
chez
un
voisin,
M.
Fernand.
Joëmelle,
couvreur.
Juillet
1925 -
Actes inqualifiables.
- Le
régisseur de
M. Fleuriot,
propriétaire
à Lisieux,
à sa
ferme
d’Herminal-les-Vaux,
constatait,
avec
surprise
qu'une
jument
libre
dans
un herbage
portait
une profonde
blessure
au-dessus
du jarret
gauche,
il crut
tout
d'abord
à un
accident. M. Fleuriot prévenu a porté plainte à la gendarmerie qui procède à une enquête en vue de découvrir l'auteur de ces actes de sauvagerie.
Août
1926 -
Demande d’abatage. - Le Conseil général, considérant que le Conseil municipal
d'Hermival-les-Vaux a demandé le 2 février 1926, l'abatage des arbres,
en bordure du chemin G. V. n° 19, dont, la cime est sèche. Que
le chemin dont il s'agit est considéré comme pittoresque par les
organisations touristiques, qu'il y a lieu de maintenir la beauté de
nos sites normands. Décide de faire enlever les arbres secs, en
limitant l'abatage à ceux-ci et de faire procéder à leur
remplacement.
Décembre 1926 - Incendie. - Un incendie s'est déclaré mardi chez M. Pottier, cultivateur à Hermival-les-Vaux, dans sa propriété située sur la route allant d'Hermival à Ouilly-du-Houlley, à environ 7 kilomètres de Lisieux. Le
feu a
pris naissance
dans un
bâtiment
d'exploitation dont
le rez-de-chaussée
est occupa
par des
caves, un
pressoir et
une bouillerie.
Les greniers
contenaient une
L'alerte fut donnée à 17 heures. Une première auto-pompe partait aussitôt de Lisieux pour porter les premiers secours et fut bientôt suivie d'une deuxième chargée des sapeurs-pompiers accourus immédiatement. Il fallut 3 heures d'efforts pour se rendre maître du sinistre et le déblaiement du foin et de la paille, sous lesquels le feu couvait, dura jusqu'à 1 heure du matin. Toute
la
toiture et
le plancher
sont consumés
les caves
et le
pressoir ont
été préservés.
Les dégâts
matériels sont
importants
et peuvent
être évalués
à environ
60.000 francs.
Octobre
1938 -
Un cycliste se jette sur une auto.
- Un
grave accident s'est produit, sur la route de Hermival-les-Vaux à
Ouilly-du-Houley, territoire de la commune de Hermival-les-Vaux. M.
Maurice Courtens, 29 ans, cultivateur, demeurant à Hermival-les-Vaux,
circulait sur la route en auto. Avec lui se trouvaient dans le
véhicule, son père, sa mère, sa sœur, ainsi que deux autres
voisins. L'auto
roulait doucement, et bien à droite lorsque, arrivée à un virage, il
vit soudain arriver à sa rencontre un cyciiste qui roulait à une
allure assez rapide, ne tenant pas complètement sa droite. M.
Courtens freina et en même temps donna un coup de volant à droite pour
éviter une collision. Mais le cycliste, M. Edmond Leboucher, âgé de
29 ans, charron, demeurant lui aussi à Hermival-les-Vaux, heurta
cependant l'aile avant gauche de l'auto. Descendant
de sa voiture, M. Courtens se porta au secours du cycliste qui était
inanimé sur la chaussée. Après
avoir reçu les premiers soins de M. le docteur Viel, il fut transporté
à la clinique de la Providence. (Source
: Le Moniteur du Calvados)
Septembre 1939 - La dernière dépêche de 15 h. – Le gouvernent a décrété la mobilisation générale et l'état de siège. Le premier jour de la mobilisation est le samedi 2 septembre. Le Parlement se réunira demain. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Septembre 1939 - Une scène de violences dans une ferme. – La gendarmerie de Lisieux a été prévenue qu'un nommé Isidore Legrand, âgé de 34 ans, cultivateur à Rocques, s'était présenté en complet état d'ivresse chez Mme Letellier, cultivatrice à Hermival-les-Vaux. Comme il obsédait Mme Letellier, cette dernière le renvoya. Legrand refusa de quitter la ferme et porta plusieurs coups de pied et de poing à la cultivatrice. Le beau-père de Mme Letellier, son mari et sa fille adoptive, Reine Hervieu, voulurent s'interposer. L'ivrogne bouscula tout le monde. M. Letellier, père, en tombant, se fit une entorse et Mlle Reine Hervieu a eu la cuisse gauche fracturée. Legrand sera poursuivi pour blessures involontaires. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Mai
1942 - Fait divers. - Dans la
nuit, un veau a été volé sur un herbage à M. Lucien Potter,
cultivateur à Hermival-les-Vaux. La bête a été ensuite tuée et
mutilée dans un fossé voisin où la tête et le tronc ont été
retrouvés par le propriétaire.
Décembre 1943 - Fait divers. - Étant ivre, le nommé Bouteiller, d'Hermival, échoua dans l'église de Moyaux où il se fit enfermer, le soir venu. Réveillé dans la nuit par le froid, iI tenta, vainement de sortir puis, toujours sons l'empire de l'alcool, il détruisit et endommagea divers objets, mit le feu à la nappe d'autel et brisa deux des plus beaux vitraux. Les
dégâts sont évalués à plus de 50.000 fr. enfin, il sonna les
cloches du chœur à l h. du matin. Ainsi alerté le sacristain accourut
et le délivra (pour le remettre aux gendarmes)
Juin 1947 - L’aide aux aviateurs alliés. – M. Gérard Jouanne, beau-fils et fils de M. et Mme Boire, agriculteurs à Castillon-en-Auge, a reçu du général Eisenhower, un témoignage de gratitude pour l’aide qu’il apporta à des aviateurs alliés tombés à Lessard-et-le-Chêne. La
même récompense a été accordée à M. Louis Lebourgeois, cultivateur
à Hermival-les-Vaux. (Source
: Le Bonhomme Libre)
Novembre 1947 - Une agression à Hermival-les-Vaux. - Dans la soirée, Mme Berthe Houssaye, 41 ans, cultivatrice, regagnait son domicile après avoir trait ses vaches dans un herbage situé au hameau de la « Clotière », en bordure de la route nationale, quand elle se trouva en présence d’un individu qui lui asséna un coup de bâton sur la tête. Faisant front à son agresseur, la fermière lui jeta le contenu de son seau au visage et le coiffa de son récipient. Le malfaiteur que Mme Houssaye reconnut pour être un nommé Eugène Lejolivet, 30 ans, cantonnier, avec lequel elle vit en mauvais termes, n’en continua pas moins sa bastonnade s’acharnant sur sa victime qui s’affaissa perdant son sang en abondance. Aux cris poussés par sa femme, M. Houssaye survint tandis que le malfaiteur s’enfuyait à la faveur de l’ombre. La blessée a été hospitalisée à la clinique Sainte-Thérèse. Mme Houssaye révéla que son agresseur portait une casquette plate. Une coiffure semblable a été retrouvée au domicile de Lejolivet, maculée de taches qui pourraient être du lait. Une analyse fixera les enquêteurs sur ce point. Conduit au Parquet de Lisieux, le cantonnier a protesté de son innocence et fourni des alibis qui n’en ont pas moins décidé le magistrat instructeur à maintenir l’accusé en état d’arrestation. (Source : Le Bonhomme Libre)
Octobre 1948 - Un « matériau » d'avenir. - À l'occasion du mariage de Mlle Lelièvre, fille du maire de Fervaques, avec M. Colombes, beau-fils de M. Leconte, maire d'Hermival-les-Vaux, un pâtissier lexovien, M. Kernéis, à reconstitué en nougatine et pâte d'amande le charmant manoir Saint-Laurent, propriété de M. Leconte. Ce chef-d'œuvre de patience et de goût n'a pas demandé à son auteur moins de 60 heures de travail. Des
maisons en nougatine, pourquoi pas ? M. Kernéis devrait bien
communiquer sa recette M.R.U. Son « matériau » nous paraît
aussi solide que celui dont certaines constructions préfabriquées ont
vulgarisé l'emploi. Et puis les sinistrés auraient toujours la
ressource de pouvoir lécher les murs. Mais qu’en pensera M. Coudé du
Foreste, grand maître de notre ravitaillement ? (Source : Le
Bonhomme Libre) |
|||
|
|||
![]() |
![]() |
||
HERMIVAL-LES-VAUX (Calvados) prés Lisieux - |
|||
Commentaires
et informations : Facebook - @ |
|||
|
|
![]() |
|
|