1er Juin 2025 |
UN SIÈCLE D'HISTOIRE
DU CALVADOS |
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BLONVILLE s/ MER |
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Canton de Trouville-sur-mer |
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— 140 greffes aux arbres de M. Meslier, notaire à Bonnebosq, ont été détruites. Le préjudice est de à 300 fr. (Source : Le Bonhomme Normand)
Mai 1903 - Orages. - Lundi, vers midi, un orage de pluie et de grêle s'est abattu sur Paris. Les rues, dans une obscurité presque complète, étaient couvertes d'un tapis de glace blanche. A sept heures du soir, l'orage, poussé par le vent, a passé sur la Seine-Inférieure où il est tombé beaucoup d'eau ainsi qu'à Cherbourg. — A Blonville-sur-Mer, prés de Trouville, la foudre est tombée sur la villa « Blanchette », occasionnant 1 500 fr. de dégâts. . (Source : Le Bonhomme Normand)
Août 1903 - Amateurs de bicyclettes. - Deux bicyclettes ont été volées dans la halte de Blainville, près Caen. L'une appartient à Mme Barret, de Douvres et l'autre à M. Couturier, de Paris. — Deux bicyclettes ont été également volées, par effraction, à là halte de Blonyille, au préjudice de la Compagnie de l'Ouest. (Source : Le Bonhomme Normand)
Septembre 1903 - Voleur volé. - Le coffre-fort enlevé à M. Lemazurier, négociant en charbon à Deauville, a été retrouvé intact enfoui dans un terrain vague à Blonville. Les malfaiteurs n'ayant pas pu le défoncer. (Source : Le Bonhomme Normand)
Septembre 1903 - Chaleurs. - Après le froid et la pluie, les chaleurs. Le thermomètre est monté à 25°. Pourtant, les gens d'Espagne sont plus à plaindre que nous. Ils ont eu 49° à l'ombre et 59° au soleil. Pas étonnant que les Espagnols aient la tête chaude. (Source : Le Bonhomme Normand)
Septembre 1903 - A propos de pommes. - Les Allemands boivent du cidre comme les Normands. D'ordinaire, ils nous achètent nos pommes, mais, comme ils savent que cette année nous n'en avons guère, ils les font venir de Bohème où la récolte est très abondante. On ne s'attendait guère, chez nous, à voir les Bohémiens nous faire une semblable concurrence. (Source : Le Bonhomme Normand)
Août
1904 -
Une enquête. -
Une descente du parquet de Pont-l’Évêque a eu lieu à Blonville
à la suite de la mort mystérieuse d'une femme. On a refusé le permis
d'inhumer, et une enquête est ouverte. On soupçonne un assassinat.
(Source : Le
Bonhomme Normand)
Février
1907 -
Médailles
d'honneur agricoles.
- Par décret du
ministre de l'agriculture en date du 30 janvier 1907, la médaille
d'honneur agricole a été conférée aux métayers, métayères,
ouvriers, ouvrières agricoles et serviteurs ruraux désignés ci-après :
MM. Bellière, chez M. Dudonnez, à Mittois-en-Auge. Mlle
Thomasse, chez M. Lempérière, à Campeaux. Mme
Labbé, née Lemonnier, chez M. Poisson, aux Moutiers-en-Cinglais.
Queudeville,
chez M. Lemaître, à Bretteville-l'Orgueilleuse. Gargatte,
chez Mme veuve Sorel, à Honfleur. Féron,
chez M. Binet, à Robehomme. Piou,
chez M. de Quélen, à Mézidon. Bunel,
chez M. Doudeville, à Bonville. (Source :
Le Moniteur du Calvados)
Juillet 1914 - Service téléphonique. - Le préfet du Calvados a l'honneur d'informer le public que la mise en service du téléphone à Douvres et des circuits téléphoniques ci-après : Bénouville - Ouistreham, Villers-sur-Mer - Blonville-sur-Mer, Deauville -Cabourg, Houlgate - Villers-sur-Mer a été fixée au 1er août 1914., Deauville -Cabourg, Houlgate - Villers-sur-Mer a été fixée au 1er août 1914., Deauville -Cabourg, Houlgate - Villers-sur-Mer a été fixée au 1er août 1914., Deauville -Cabourg, Houlgate - Villers-sur-Mer a été fixée au 1er août 1914., Deauville -Cabourg, Houlgate - Villers-sur-Mer a été fixée au 1er août 1914., Deauville -Cabourg, Houlgate - Villers-sur-Mer a été fixée au 1er août 1914., Deauville -Cabourg, Houlgate - Villers-sur-Mer a été fixée au 1er août 1914., Deauville -Cabourg, Houlgate - Villers-sur-Mer a été fixée au 1er août 1914., Deauville -Cabourg, Houlgate - Villers-sur-Mer a été fixée au 1er août 1914.
Juin 1916 - Funèbre repêchage. - On a découvert, ces jours derniers, sur la plage de Blonville, le cadavre d'un individu qu'on suppose être, d'après des papiers trouvés sur lui, celui de Marcel Morinet, fusilier marin de la défense du Havre. On ignore les causes de la mort.
Juin 1916 - Le temps qu’il fait. - Il a plu le jour de Saint-Médard, grand pleurard, mais, Il n'est rien tombé le jour de Saint-Barnabé, pour la bonne raison que ce saint a été, cette année, rayé de la plupart des calendriers, on ne sait trop pourquoi. Les savants expliquent que les périodes de mauvais temps actuelles sont dues aux immenses champs et montagnes de glaces détachés, brusquement du pôle par les chaleurs anormales d'il y a quelques semaines. Le Gulf-Stream a entraîné ces glaces jusque dans les mers tempérées. L'activité calorique du soleil, particulièrement intense cette année, a causé ces ruptures, et les glaces, au lieu de fondre la-haut, ont fondu sur nous. Cela revient à dire que, s'il fait si froid, c'est parce que le soleil chauffe trop. Qu'il se calme donc un peu pour qu'où sue
Juillet
1917
- Les dangers du bain.
-
Un jeune employé
de commerce de Paris, Robert Schièle, 20 ans, en villégiature chez son
oncle, M. Bourachot, restaurateur à Blonville, se baignait, en mer, en
compagnie de son cousin et d'un ami. Soudain le jeune Schièle disparut,
et quand les deux baigneurs, s'étant aperçus de sa disparition,
revinrent, ils le trouvèrent flottant entre deux eaux. Tous les soins
furent inutiles, le malheureux jeune homme était mort.
Octobre
1918
- Voies de fait.
- Le
femme Damerold,
née Pouettre,
journalière
à Blonville-sur-rner,
a porté
plainte
contre
son mari,
Joseph
Damerold,
47 ans,
soldat
au 1er
Génie,
né à
Reviers,
qui l'a
frappée
avec une
brutalité
révoltante,
et l'a
sérieusement
blessée
à la tête
et au
Mars
1919 - Arrestation
de prisonniers de guerre. - Deux prisonniers de guerre, qui s'étaient
évadés du camp anglais de Deauville, l’adjudant Robert Grever et le
caporal Henri Borowski, ont
été arrêtés, mercredi, à Blonville-sur-mer, par les gendarmes de
Villers.
Avril 1919 - Le vandalisme de deux Boches. - Les deux prisonniers de guerre, Grayer et Borowski, dont nous avons annoncé l'arrestation, ont été capturés dans les conditions suivantes : M. Aimé Marie, propriétaire à Blonville-sur-Mer, s'était rendu, mercredi, avec son ouvrier, Alfred Lesieur, à sa villa « La Famille », située rue de la ……., qui n'est habitée que l'été et qu'il ne visite que rarement. Un carreau était brisé : le chauffe-bain avait été détérioré : la batterie de cuisine venait d’être utilisée et des meubles avaient été brûlés pour faire du feu ; aux étages les matelas, les Oreillers, les traversins étaient souillés : les rideaux avaient été déchirés. Une chambre du 2eme étage fermée à double tour. En prêtant l'oreille M. Marie entendit des pas. Immédiatement, avec le concours des voisins, la villa fut cernée pendant qu'un autre prévenait par téléphone les gendarmes de Villers-sur-Mer.
Mai
1919 - Médaille
militaire. - La,
médaille militaire vient d'être décernée à M. Adolphe Lamy, de
Blonville, avec la citation suivante : « Conducteur qui a fait preuve de
beaucoup de courage et de dévouement dans l'accomplissement de son
devoir. A été grièvement blessé, le 16 avril 1917, à Braines.
Énucléation de l’œil gauche ».
Août 1920 - Visite indiscrète. - M. Yves Madec, 62 ans, journalier à Blonville, arrondissement de Pont-l’Évêque, eût la désagréable surpris, en rentrant de son travail, de trouver cambriolée, la maison de la femme Césarine Pestel, sa concubine. On
lui a dérobé, dans son armoire, une somme de 400 francs et environ pour
300 francs de linge. On recherche l'audacieux voleur. (Source : Le
Bonhomme Normand)
Juillet
1921 -
Pour briser la glace. -
Pascal Brument, marchand de journaux à Dives-sur-Mer, de
passage au restaurant Rattel, à Blonville, canton de Pont-l’Évêque, a
tiré un coup de revolver dans les glaces de l'établissement, et a cassé
celle de la porte d'entrée. Heureusement, il n'y a pas eu d'autre
accident. (Source : Le Bonhomme Normand)
Juillet
1921 -
Et les mœurs ! -
Ces jours derniers, un individu se faisant passer pour le
gardien de la plage, à Blonville, canton de Pont-l’Évêque, a attaqué
Mme Vallet, tenancière du bazar de la rue de la Mare, qu'il a essayé de
violenter. Mme Valet a porté plainte. Au cours de l'enquête, elle a
reconnu pour non agresseur Joseph Cotentin, gardien à Bénerville, qui,
malgré ses dénégations, a été arrêté. (Source : Le Bonhomme
Normand)
Septembre
1921 -
La dernière corvée. -
M. Serge Kokanenko, 29 ans, sujet russe, cuisinier chez M.
Weinstein, ancien avocat à la Cour d'appel de Petrograd, en villégiature
à Blonville-sur-Mer, canton de Pont-l’Évêque, est mort subitement à
la villa « La Malmaison ». où il était venu faire une course pour son
patron. (Source : Le
Février 1922 - Collectionneur de bécanes. - On a volé, pendant la nuit, dans la cour de M. Lechanteur, épicier à Blonville-sur-Mer, canton de Pont-l’Évêque, une bicyclette d'une valeur de 400 francs. Des soupçons s'étaient portés sur le jeune André Maretteau, 46 ans, sans profession ni domicile fixe. Après
bien des difficultés il a avoué en être l’auteur. D'autres vols de
bicyclettes lui sont reprochés, mais il s’en défend. II a été
arrêté et écroué. (Source : Le Bonhomme Normand)
Août 1922 - Série de vols. - Étant à la fête de Blonville, Mme Suzanne Paquelin, caissière à Lisieux, voulut exercer son adresse à un tir. Elle confia son sac à une amie qui se le fit subtiliser. Le carton de Mme Paquelin lui revient à plus de 250 francs. On recherche le voleur. — Mme Jeanne Marindaz, en villégiature à Tourgéville, canton de Pont-l’Évêque, a constaté qu'on lui avait volé, entre 10 et 11 heures du soir, une certaine quantité de bijoux qu'elle estime à 200 000 francs environ. (Source : Le Bonhomme Normand)
Septembre 1922 - Accident d’auto. - Mme Patey, employée de culture à Blonville, canton de Pont-l’Évêque, revenait de son travail dans l'auto de son patron. Elle s'était assise sur le plancher, les pieds sur le marchepied. En route, une des roues d'avant s'étant effondrée, Mme Patey a eu la jambe prise sous le marchepied. On l'a transportée à l'hôpital dans un état grave. (Source : Le Bonhomme Normand)
Avril 1923 - Sur les dunes. - Le pêcheur Pierre Aupée, de Blonville-sur-Mer, canton de Pont-l’Évêque, voulant interdire à la femme Etable, journalière, qui campe dans les dunes, l'accès d'un chemin aménagé par elle, est venu faire du tapage et proférer des menaces à sa porte. La
femme Etable ayant fait usage d'un bâton pour se défendre. Aupée la
enfermée à double tour et a emporté la clef, en la menaçant de la tuer
si elle portait plainte. (Source : Le Bonhomme Normand)
Avril 1923 - La dernière. - Après avoir bu jusqu'à la cuite avec Auguste Rivière, manœuvre à Blonville-sur-Mer, Victor Renard, 50 ans, ouvrier serrurier à Villers-sur-Mer, voulut rentrer chez lui à bicyclette. En descendant la côte de Blonville, il perdit l'équilibre et fit une chute grave. Relevé
avec plusieurs blessures, on le transporta à l'hôpital de
Pont-l'Évêque où il mourut en arrivant. (Source : Le Bonhomme
Normand)
Août 1936 - Moto contre autos. - En revenant de son travail, M. Alfred Broc, couvreur à Blonville-sur-Mer, qui circulait en motocyclette, est entré en collision avec l'automobile conduite par Mlle Goldschmidt, qui arrivait en sens inverse. La
victime, qui portait des blessures aux genoux et à la tête, a été
conduite dans une clinique. (Source : Le Moniteur du
Octobre 1936 - La commune est autorisée a faire un emprunt. - La commune de Blonville est autorisée à emprunter 600 000 francs, remboursables en trente ans, en vue de la construction de la première tranche d'un réseau d'égouts. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Août
1937 -
Les écumeurs des plages. -
Dernièrement,
on signalait les méfaits d'une bande organisée qui mettait à sec les
villas de Berneville et Deauville. Jeudi,
dans la journée, les deux hôtels « La Rive Normande » et « Le
Pavillon-fleuri », de Villers-sur-Mer, ont reçu leur visite peu
agréable : à « La Rive normande », un vol de 700 francs en numéraire
a été commis dans une chambre louée à un estivant de passage. Au «
Pavillon fleuri », le coup fait a rapporté 12 000 francs de bijoux et a
été effectué dans l'espace de trois-quarts d'heure en plein
jour. D'autre
part, dans la même journée d'hier, à Blonville-sur-Mer, plage voisine
de Villers-sur-Mer, la « Villa des Arts » a reçu une visite inopinée
d'un membre de la fameuse bande. Cette incursion dura juste un quart
d'heure et rapporta à son auteur 500 francs en numéraire et une certaine
quantité de bijoux. Les
brigades de gendarmerie de Villers-sur-Mer, Trouville, Pont-l'Evêque ont
été immédiatement alertées et procèdent actuellement à une enquête
très serrée. D'autre part, la police mobile a détaché ses plus
fins limiers qui sont arrivés dans la soirée et ont commencé
immédiatement leur enquête. Nous espérons que d'ici peu les plages de la côte normande seront purgées de cette bande indésirable. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Août
1937 -
Le
vol de bijoux de Blonville.
- Nous
avons relaté il y a quelques jours l'important vol de bijoux commis à
Blonville-sur-Mer. Voici les premiers résultats de l'enquête : Il
s'agit bien du vol de 15 000 francs de bijoux comprenant une montre de
platine garnie de brillants et de saphirs estimée 7 000 francs et un
collier de perles de culture avec fermoir à 6 brillants d'une valeur de 8
000 francs. En outre, une somme de 500 francs en numéraire a été
subtilisée. Interrogée,
Mme Gratieux Julie, âgée de 60 ans, sans profession, demeurant à Paris,
87 bis, avenue de Wagram, en villégiature villa « Les Autans », a
précisé qu'elle s'est absentée toute l'après-midi à la plage avec ses
trois petites filles. La cuisinière laissa la villa fermée, et seul un
ouvrier plombier travaillait dans la cave. Ce dernier s'absenta à son
tour environ un quart d'heure. Le vol aurait été commis durant ce peu de temps. Pour l'instant, il n'y a aucune piste. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Septembre
1937 -
Une auto contre un tandem.
- Une
collision s'est produite sur la route nationale de Deauville à
Villers-sur-Mer. Une voiture automobile, conduite par M. Lozahic Jean, 65
ans, chauffeur au château des Enclos, à Benerville-sur-Mer, se dirigeait
vers Blonville. Tout
à coup, arrivé à la hauteur d'un tandem conduit à la main par son
propriétaire, cheminant sur sa droite, le chauffeur fut surpris par une
manœuvre du piéton qui fit un écart sur la
gauche, plaçant sa machine en travers de la route.
L'homme
fut relevé gravement touché à la colonne vertébrale et aux reins. Il a
été admis à l'hôpilal-hospice de Pont-l'Evêque. Pendant
ce temps, poursuivant sa route vers la gauche, le chauffeur de
l'automobile ne put éviter l'autre cycliste venant en sens inverse en
tenant bien sa droite. Avec une violence égale à celle du premier choc,
il catapulta véritablement le malheureux cycliste. M. Chemin Robert,
demeurant à Montrouge (Seine), 46, rue Racine, beau-frère de la
première victime, M. Autour Lucien, demeurant également à Montrouge
(Seine). L'automobiliste réussit malgré tout à arrêter sa machine sur le trottoir gauche, après avoir provoqué ces deux collisions. Les deux victimes ont été admises à l'hôpital-hospice de Pont-l’Evêque dans un état très grave. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Octobre 1937 - Palmes académiques. - Est nommée Officier d Académie, Mme Lepauvre, institutrice retraitée à Blonville-sur-Mer. (Source : Le Moniteur du Calvados)
Août
1938 -
Un marin imprudent se
noie. -
Profitant du quartier
libre, le matelot-canonnier Arthur Gabel, 22 ans, du Bataillon
d'artillerie de côte de Querque ville, détaché à l'aménagement
de la batterie du Mont-Canisy, près de Deauville, se rendait sur la plage
de Blonville pour y prendre un bain. Imprudemment, le marin, qui ne savait
pas nager, s'aventura hors des zones de sécurité et fut emporté par une
lame. Le
corps du malheureux fut rejeté sur la grève trois-quarts d'heure plus
tard. Trois médecins, en villégiature à Blonville, s'efforcèrent de le
ranimer, mais en vain. La famille de M. Gabel, qui habite les environs de
Douai, a été prévenue. (Source :
Le Moniteur du Calvados)
Juin
1940 -
Lasses de la vie. - Dernièrement,
deux étrangères, réfugiées en Normandie, Mme Mendel, 54 ans, et sa
fille Suzanne, 27 ans, ont tenté de se jeter à la mer à Blonville. Repêchées,
elles furent conduites à l'hôpital de Blonville, aux Mlle Suzanne Mendel
déclara qu'elles avaient décidé toutes deux d'en finir avec
l'existence. Mme Mendel mère a dû être hospitalisée à
Pont-l'évêque où son état a été jugé sérieux.
Août
1941 -
Plus
d'estivants sur la côte.
- Conformément aux
instructions du chef de l'Armée d'Occupation en France et des
Feldkommandanten locaux, l'interdiction des séjours d'estivants dans les
régions côtières vient d'entrer effectivement en vigueur dans toute la
zone du littoral dans la France occupée. Des
dispositions locales prises, il convient de retenir qu'est interdite pour
toutes les agglomérations situées sur la côte ou à proximité de la
cote, l'installation : 1° des estivants ou baigneurs ; 2°
des propriétaires de villas ou maisons qui n'ont pas leur domicile dans
la commune où est située cette dite villa ou maison. En conséquence,
les personnes qui Dans
chaque département, l'autorité fixe ,
par des dispositions précises, les cantons qui doivent être considérés
comme zone côtière. Il est précisé que les contrevenants aux
prescriptions édictées sont punissables en vertu de l'ordonnance
allemande relative aux déclarations obligatoires et aux séjours
interdits en date du 9 novembre 1940 (« Journal Officiel des
Ordonnances », p. 143.) En outre, sont interdits dans la zone côtière indiquée ci-dessus, les camps de tous genres, tels que camps de jeunesse, foyers pour enfants, colonies de vacances, etc., étrangers à la commune, ainsi que les camps de travailleurs agricoles. Tous les camps existants doivent être fermés poulie 20 août prochain.
Mai 1942 - Fait divers. - Au soir du 21 mai, à Blonville, des voisins de Mme Pasck, 44 ans, femme d'un prisonnier de guerre en Allemagne, étonnés de ne pas la voir, se rendirent chez elle. Ils la trouvèrent inanimée, en chemise de
nuit, sur le seuil de sa porte. La mort remontait à plusieurs heures. Gênée dans la nuit précédente par une fuite de gaz provenant du sous-sol, Mme Pasck avait voulu sortir de sa chambre, mais trop tard. L'asphyxie avait commencé son oeuvre.
Octobre 1942 - Une tentative de vol. - Dimanche soir, Mme Fleury, propriétaire d'une pension de famille à Blonville, route Nationale, entendant un bruit insolite, découvrait dans sa chambre un homme qui, ayant forcé l'armoire, s'apprêtait à emporter une somme de 6 000 fr. Surpris, il se jeta sur Mme Fleury et tenta de l'étrangler. Mais cette dame, d'une taille au-dessus de la moyenne, se défendit âprement et réussit à empêcher son agresseur de saisir son couteau tombé à terre. Au bruit, des clients accoururent, mais le malfaiteur profita du désarroi pour s'enfuir. Il s'agit d'un nommé Jean Vallée, 20 ans, de Trouville, employé depuis peu à Villers-sur-Mer. On le recherche activement. Il s'est déjà rendu coupable de divers vols de vélos et lapins. (Bonhomme Normand)
Octobre 1942 - L’accès en zone côtière. - Dans le Calvados, la zone côtière interdite est délimitée de la façon suivante, d'Est en Ouest : A la limite du Calvados et de l'Eure, le Sud de la route nationale 815 jusqu'à l’intersection avec la route nationale 179 et 834, Pont-l'Évêque (exclus) à la sortie ouest de Pont-l'Évêque, sud de la route nationale 815 jusqu'à la Dives. La ligne passe ensuite au Nord de l'agglomération de Troarn (exclus) puis, à la sortie de Troarn, le Nord de la R.N. 815 jusqu'à Démouville (exclus), Cuverville (inclus), Hérouville (inclus) et reprend le Nord de la R.N. 13 à la sortie ouest de l'agglomération de Saint-Germain-la-Banche-Herbe (exclus), au-dessus de St-Vigor-le-Grand (exclus) pour traverser la R.N. 13 à Vaucelles et aller rejoindre le Sud de la voie ferrée Paris-Cherbourg en passant entre Cussy (inclus) et Barbeville (exclus) puis Cottun (exclus), Crouay (exclus), Blaye (inclus), à partir de ce point, le Sud de la voie ferrée Paris-Cherbourg jusqu'à sa sortie ouest du département. Cette
délimitation n'est donnée qu'à titre indicatif. Des écriteaux en
Français et en Allemand indiqueront de façon précise la délimitation
de la zone interdite. (Bonhomme
Juillet
1943 -
Fait divers.
-
A
Blonville, deux villas ont été cambriolées : Celle de M. Masson, de
Paris, où M. Maigon, agent de location, avait entreposé un
important mobilier. 40.000 fr. de lingerie, tissus d'ameublement, 10
descentes de lit, valises, vêtements et divers objets ont été enlevés. A la villa « Les Quatre-Vents », à M. Pijean, de Nancy, des déprédations ont été commises, et du tissu emporté.
Août 1943 - Fait divers. - Ayant trouvé un détonateur au Mont-Çanisy, le jeune Gino Barazetti l'emporta chez lui, à Blonville. Il voulut démonter l'engin, mais une forte explosion se produisit, qui déchiqueta 3 doigts du malheure ux
enfant.
Septembre
1943 -
Un
mitraillage.
- Samedi,
vers midi, un peut vapeur du port de Rouen, « Commandant-Donnoy », est
venu s'échouer sur la plage de Blonville-sur-Mer. Il avait été
mitraillé par des avions anglo-américains dans la baie de la Seine. Sur les cinq hommes d'équipage, deux étaient tués, le capitaine du bateau, M. Yves Scouarnec, né en 1896 à Carantec, domicilié au Havre, et Paul Hervieu, pilote de la Seine, né en 1884, à Quillebœuf, et y demeurant. Deux marins étaient blessés, dont un grièvement, Cadet Guillaume, 31 ans, du Havre, qui fut transporté à la clinique de Deauville. Le malheureux a dut subir l'amputation de la jambe droite et du bras droit.
Mai 1944 - L'église de Bénerville est endommagée par les bombes. - Samedi, vers 20 heures, des avions anglo-américains venus en trois vagues successives, ont arrosé de bombes de gros calibre les agglomérations de Blonville-Plage et de Bénerville. Une quarantaine de villas ont été détruites, et autant endommagées. L'école de Blonville-Plage a été anéantie. Enfin,
la petite église de Bénerville a été sérieusement endommagée
Construite au début du XIe siècle, elle était à ce titre,
l'une des plus anciennes églises du département. Elle s'élevait sur une
falaise escarpée qui domine la mer et elle était, par son ancienneté
une curiosité archéologique et par le site environnant un centre
touristique fort apprécié On ne déplore aucune victime. (Journal de
Normandie)
Mai 1944 - Sous la mitraille anglo-américaine. - Dimanche, vers 19 h. 30, l'express Paris-Cherbourg a été mitraillé par des avions anglo-américains à St-Mars-de-Fresne, entre Bernay et Lisieux. Deux voyageurs ont été tués et on compte 21 blessés, dont le mécanicien, M. Levergeois, demeurant à Caen, rue de la Marne, qui a une jambe coupée. Samedi
soir, en 3 vagues successives, des avions anglo-américains ont arrosé de
bombes de gros calibres, les agglomérations de Blonville-Plage et de
Bénerville. Une quarantaine de villas, plus l'école de Blonville, ont
été détruites et autant endommagées. La petite église de Bénerville
a été sérieusement atteinte. Construite au début du XIe
siècle, elle était l'une des plus anciennes églises du
département. Elle s'élevait sur une falaise qui domine la mer et elle
était, par son ancienneté, une curiosité archéologique et par le site
environnant, un centre touristique réputé. On ne déplore aucune
victime. (Journal de
Juin 1944 - Sous la mitraille anglo-américaine. - Samedi soir, en trois vagues successives des avions anglo-américains ont arrosé de bombes de gros calibres, les agglomérations de Blonville-plage et de Bénerville. Une quarantaine de villes, plus l'école de Blonville ont été détruites et autant endommagées. La petite église de Bénerville a été sérieusement atteinte. Construite au début du XIe siècle, elle était l'une des plus anciennes églises du département. Elle s'élevait sur une falaise qui domine la mer et elle était, par son ancienneté une curiosité archéologique et, par le site environnant un centre touristique réputé. On ne déplore aucune victime.
Décembre 1944 - Le déminage des zones côtières. - Les populations côtières sont invitées à donner aux agents de l'Inscription Maritime dans les ports tous les détails sur les zones minées par les allemands ainsi que sur l'emplacement des mines isolées qu'elles peuvent connaître afin que des mesures de déminage soient entreprises.
Janvier
1945 -
Toujours les mines. -
Un enfant de 9 ans, Henri
Aupée, dont les parents demeurent rue de la Gare, à Blonville,
traversait un chemin, lorsque le chien qui l’accompagnait heurta une
mine. Blessé à la cuisse et au ventre et atteint d’une perforation de
l’intestin, le malheureux garçonnet a été transporté dans une
clinique de Deauville. (Source :
Le Bonhomme Libre)
Mai
1945 -
Les engins de guerre ont
fait de nouvelles victimes.
- A Blonville, une
équipe du centre de déminage de Cabourg procédait au nettoyage du
quartier de la gare, lorsqu’une violente explosion se produisit,
provoquant la mort de M. Jules Soyer, demeurant à Deauville. Au
lieu dit « Chesnay », à Bonville également, deux enfants,
les frères Robert et Bernard Fasquet, 15 et 13 ans, ont été tués par l’explosion
d’un obus qu’ils tentaient de désamorcer
afin de se procurer de la poudre.
Septembre
1945
-
Zone
interdite !
-
En raison des opérations de déminage qui vont se poursuivre
activement, l’accès de la plage est interdite, matin et soir, à marée
basse, entre la rue de la Rosière et Blonville-sur-mer. (Source :
Le Bonhomme Libre)
Mai 1946 - La belle. - Trois prisonniers allemands se sont évadés de leur Kommando installé dans les dépendances du Grand Garage, à Blonville. Après avoir cisaillé le grillage de leur fenêtre et pris contact avec le sol en se laissant glisser le long d’un câble téléphonique, les lascars forcèrent la port du garage de M. Chesnel, charcutier, et prirent la route en direction de Paris dans l’automobile du commerçant. Une
panne ayant immobilisé celle-ci aux environs d’Évreux, les fugitifs
ont « emprunté » une nouvelle voiture qu’ils durent
bientôt abandonner faute de carburant. Espérons que les gendarmes ne
tarderont pas à mettre fin à cette randonnée mouvementée. (Source :
Le Bonhomme
Juin 1946 - Les dangers de la récupération. - Deux habitants de Blonville, René Jeanne, 32 ans, et Hélène Devinast, récupéraient, pour leur compte, des douilles d’obus sur le territoire de la commune de Ranville. L’un des engins fit explosion tuant sur le coup René Jeanne. Grièvement blessée, sa compagne fut transportée à l’hôpital de Caen où elle a subi l’amputation de la main droite. Un
polonais, nommé Micheliech qui se trouvait sur les lieux n’a pas été
atteint par les éclats du projectile. (Source :
Le Bonhomme Libre)
Juillet 1946 - Un drame sur la plage. - M. Marcel Massiot, industriel à Neuilly-sur-Seine, en villégiature à Blonville, effectuait une promenade en mer en compagnie de sa fille et de son fils âgés respectivement de 11 et 13 ans, lorsque le canoë dans lequel ils étaient montés chavira à 150 mètres du rivage. Deux jeunes filles qui se trouvaient dans une embarcation voisine, se portèrent à leur secours. L’une d’elles se jeta à l’eau et fut assez heureuse pour ramener le fillette sur la plage, tandis que le garçonnet se sauvait par ses propres moyens. Quant à M. Massiot, frappé de congestion, il coula à pic et l’on ne retrouva qu’un cadavre. (Source : Le Bonhomme Libre) Juillet 1946 - Sinistrés, attention ! - C’est le 31 juillet prochain qu’expire le délai prévu pour le dépôt des déclarations de sinistrés concernent les dommages de guerre. Sauf en ce qui concerne les mobiliers familiaux et les personnes n’ayant pas la qualité de commerçant. Il est suffisant que ces déclarations contiennent des précisions sur l’identité du sinistre, la nature et l’emplacement du bien détruit ou endommagé et l’origine du sinistre. Le dossier complet ne sera exigé qu’ultérieurement. Renseignements
complémentaires dans les mairies ou les délégations départementales de
la Reconstruction. (Source :
Le Bonhomme Libre)
Octobre
1946 -
Le filet à file. -
Un
marin-pêcheur de Blonville, M. Pierre Aupée, avait tendu en mer 12
trémails représentant une longueur de 660 mètres de filets évalués 30
000 frs. Quand il voulut relever ses engins, ceux-ci avaient disparus.
Comme le mauvais temps n’a pas sévi sur la cote, le propriétaire a
signalé sa mésaventure aux gendarmes. (Source :
Le Bonhomme Libre)
Août
1947 -
Un singulier cambrioleur. –
En revenant de la plage, une parisienne en villégiature à
Blonville, Mme Boudin, chalet de la « Colinière », a
constaté qu’un malfaiteur s’était introduit chez elle et avait fait
main basse sur 70 000 fr. en billet de banque. Le malandrin a dédaigné
des bijoux qui se trouvaient placés prés de l’argent. (Source :
Le Bonhomme Libre)
Octobre
1947 -
Des malfaiteurs opèrent à la mairie de Blonville.
- Durant la nuit
des malfaiteurs se sont introduits dans les bureaux de la mairie. Ils ont
fait main basse sur une centaine de cartes de pain et d’un nombre
équivalent de cartes de matières grasses. Par la même occasion, ils ont
raflé trois enveloppes renfermant une somme totale
Juin
1948 -
Un marin je joue du couteau.
- Se
trouvant en état d’ébriété, Adrien Edelin, marin-pêcheur à
Blonville a cherché querelle à son collègue Pierre Aupée qu'il a blessé
de trois coups de couteau. (Source : Le Bonhomme Libre)
Juillet 1948 - Les édiles blonvillais au travail. - Au cours de sa dernière réunion, le Conseil Municipal de Blonville s'est occupé du groupe scolaire. Un premier projet d'aménagement du Normandy a été renvoyé à l'étude. L'architecte doit trouver une meilleure solution pour la cantine scolaire en réservant la partie Est de l'hôtel pour le chantier municipal. Dans l'impossibilité de trouver un autre logement pour l'instituteur, le Conseil a décidé de demander le renouvellement de la réquisition de « Belle Mirette ». La
taxe de séjour a été fixée comme suit pour 1948 : Grand Hôtel, 8
francs par jour ; hôtels deuxième catégorie et villas : 5 fr. 20 par
jour. (Source : Le Bonhomme Libre)
Juillet
1948 -
Des voleurs de bestiaux opèrent.
- Au lieu-dit
« Le Cours Mallet », à Blonville, deux vaches grasses, au
pacage dans un herbage et représentant une valeur de 150 000 francs ont
été volées au préjudice de M. Lepeudry, cultivateur à Vauville.
(Source : Le Bonhomme Libre)
Août
1948 -
Un fonctionnaire indélicat.
- Les gendarmes de
Bannalec (Finistère) ont appréhendé Louis Tallec, 41 ans, facteur des
P.T.T., domicilié à Blonville-sur-Mer, objet d'un mandat d'arrêt du
Parquet de Pont-l'Évêque pour abus de confiance. (Source : Le
Bonhomme Libre)
Août 1948 - Des résistances récompensés. - M. Fernand Coudrey, ancien chef du secteur de Pont-l'Évêque dans la Résistance, a été promu commandeur du Mérite Franco-Belge. À
l'occasion des manifestations Franco-Belges qui ont marqué dimanche le 4e
anniversaire de la libération de Villers-sur-Mer, Mmes Poulain, bouchère
à Blonville, et Talmeau, de Villers, dont les maris sont morts dans la
Résistance, et M. Bagot, ont été décorés de la Croix de chevalier de
l'Ordre de Léopold. nos félicitations. (Source : Le Bonhomme Libre)
Septembre 1948 - Y a de l'abus. - Rencontrant près de Blonville, Ambroise Foissotte, 37 ans, machiniste à Levallois-Perret, qui transportait dans un camion cinq poteaux en ciment armé, les gendarmes de Villers-sur-Mer eurent la curiosité de s'enquérir auprès du déménageur de la provenance de son chargement. Celui-ci déclara sans difficulté qu'il avait ramassé, à demi enfoui sur le bord de la route le matériel qu'il croyait abandonné. Foissotte
a été gratifié d'une contravention pour vol au préjudice de la Sté
Centrale Immobilière, à Paris. (Source : Le Bonhomme Libre)
- Condamnée à 13 mois de prison et à 150 000 francs d'amende pour émission de cheque sans provision, une dame Solange Dubois, née Renaudin, en résidence à Blonville, objet d'un mandat d'amener du Parquet de la Seine, a été également appréhendée. (Source : Le Bonhomme Libre)
Janvier
1949 -
Le Calvados à l'honneur.
- Enfin
! Enfin ! Après Caen, Falaise, Lisieux, Vire, Saint-Aubin-sur-Mer, un
nombre imposant de localités de notre département viennent de se voir
discerner la Croix de Guerre que leur ont mérité leur martyre au cours
des combats pour la libération. Voici l'éloquent tableau d'honneur que nous sommes heureux de publier en espérant que ceux de nos villages encore oublié vienne bientôt ajouter leurs noms au livre d'or de l'héroïsme. Les lettres placées entre les parenthèses indique lors de la citation : R : régiment ; D : division. Arrondissement
de Lisieux.
Canton de Pont-l'Évêque : Pont-l'Évêque (R) ; Blonville (R). (Source : Le Bonhomme Libre)
Mai
1949 -
Une épouse pas commode. -
Au cours une querelle une ménagère de Blonville, Mme Anfry, a
frappé son mari à coups de poing et de pied. Battu et pas content ce
dernier a porté plainte à la gendarmerie et fourni un certificat
médical. (Source : Le Bonhomme Libre)
Juillet 1949 - La remise de la Croix de guerre à Blonville. - C'est le 21 août, qu’à l’occasion du cinquième anniversaire de la Libération de la localité sera remis à Blonville-sur-Mer la Croix de Guerre avec étoile de bronze qui lui a été décernée et qu'accompagne la citation suivante : « Village qui eut pendant l'occupation ennemie une attitude très digne. Donna asile, en juin 1944, à un groupe nombreux de parachutistes britanniques isolés, loin derrière les lignes ennemies et assura leur salut et leur retour dans les lignes alliés ». Ce
même jour seront inaugurées les rues Général-de-Gaulle et
Général-Leclerc. (Source : Le Bonhomme Libre)
Août 1950 - Les baignades tragiques. - Sur la plage de Blonville, une fillette de 8 ans la petite Edith Fauquet, dont les parents demeurent à Fours-en-vexin, (Eure) a été emportée par une lame. La mer devait rejeter le corps de la pauvre enfant quelques heures après.. - Un bijoutier parisien, M. Gilles Mayer, 50 ans, père de 7 enfants, qui prenait un bain près du Club des Canards, a perdu pied et s’est noyé. Ramené sur le rivage par des maîtres nageurs, M. Mayer n'a pu être ranimé. - Venu dans un car d'excursion pour passer une journée à la mer, M. Etienne Lubin, 18 ans, domicilié à Gatelle (Eure-et-Loir) s'est noyé en prenant un bain. Ce ne fut qu'une heure plus tard que le corps du malheureux jeune homme a été retrouvé. Tous les efforts pour le ranimer sont demeures vains. -
Un jeune campeur, M. Marc Leclerc, de Levallois-Perret, qui
séjournait à Villers-sur-Mer, s'est noyé à proximité de la nouvelle
digue. Son cadavre a été retrouvé à marée basse. ( Le Bonhomme Libre)
Septembre
1950 -
Une razzia chez les campeurs.
-
Une bande de malfaiteurs a visité plusieurs tentes dressées dans
le camp Simar situé en bordure de la route nationale entre Blonville et
Villers-sur-Mer. Ils ont raflé 6 000 francs dans la tente d'une
parisienne. Mme Raymonde Petaut, puis passèrent dans celle de la famille
Gambier, de Villejuif où ils s'emparèrent de 3 500 francs et d'une bague
en or évaluée 15 000 francs. (Le Bonhomme Libre) |
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23 BLONVILLE-SUR-MER - Rue de la Mer |
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51. - BLONVILLE-sur-MER (Calvados) - Route de Villers - Hôtel du Casino |
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243 BLONVILLE-SUR-MER (Calvados) - Vieille Hostellerie. - ND |
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BLONVILLE-SUR-MER - Café de la Gare |
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BLONVILLE-SUR-MER (Calvados) - Route et Villas. - Villas Road. |
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